Réflexion Sur L Homme

 « Il n'y a de pensée que dans un homme libre; dans un homme qui n’a rien promis, qui se retire, qui se fait solitaire, qui ne s'occupe point de plaire ni de déplaire. L'exécutant n'est point libre; le chef n'est point libre. Cette folle entreprise de l'union les occupe tous deux. Laisser ce qui divise, choisir ce qui rassemble, ce n’est point penser. Ou plutôt c'est penser à s’unir et à rester unis ; ce n’est rien penser d'autre. La loi de la puissance est une loi de fer. Toute délibération

Sujet : Ce texte a-t-il pour intention de convaincre, persuader ou délibérer? Extrait des réflexions sur la guillotine, 1957 Albert Camus TEXTE Peu avant la guerre de 1914, un assassin dont le crime était particulièrement révoltant (il avait massacré une famille de fermiers avec leurs enfants) fut condamné à mort en Alger. Il s’agissait d’un ouvrier agricole qui avait tué dans une sorte de délire du sang, mais avait aggravé son cas en volant ses victimes; l’affaire eut un grand

La distinction entre nature et culture. A) Qu'est ce qu'on entend par " enfant sauvage " ? B) En quoi peut-on considérer sauvage un enfant dépourvu d'éducation ? 2) Le passage de l'état sauvage à l'homme. A) La perfectibilité B) Devenir un Homme social et civilisé. 3) Comparaison du livre et du film. A) Les choix du réalisateur par rapport à l'oeuvre. B) Comment peut-on interpréter la fin des " enfants sauvages " dans le livre et dans le film ? Conclusion. Bibliographie Annexes:

désigne d'abord les lettres humaines, (lettres d'humanité) : courant de pensée fondé sur le rapport aux savoirs ruraux . On cherche des modèles de vertu : On apprécie Platon pour ses textes, mais aussi pour sa façon d'être. « Les hommes ne naissent pas homme, ils le deviennent » Érasme La dimension érudiste de l'humanisme est inséparable de la dimension éthique => question de la dignité de l'homme => formation de l'homme par la connaissance et par l'éthique. Lettre de Gargantua à Pantagruel. Cette

Condorcet, Réflexions sur l’esclavages des nègres (épître dédicatoire) Introduction : Marie Jean Antoine Nicolas de Caritat, marquis de Condorcet, né le 17 septembre 1743 à Ribemont et mort le 29 mars 1794 à Bourg-la-Reine, est un philosophe, mathématicien, et homme politique français, représentant des Lumières qui consacra sa vie au combat pour les droits de l´homme. En 1781 sous le pseudonyme de Docteur Schwartz, prétendu pasteur suisse, Condorcet publia à Neuchâtel des Réflexions sur l’Esclavage

 Quelques réflexions sans ordre mais qui pourraient être intégrées à votre plan (J’aime bien le 2e plus thématique que le premier trop historiciste à condition toutefois que vous évoquiez aussi Olympe de Gouges, et pour le 20 e Simone de Beauvoir. (le 2e sexe : « on ne nait pas femme on le devient »….) 1° En expliquant Le féminisme , la naissance du mot, vous pourriez aussi sur un plan plus critique vous demander pourquoi on se réfère aux femmes alors qu’on n’a pas inventé un mot qui serait

respectée ? Ce qui nous oblige alors à une réflexion sur la politique. De plus, si la loi ne fait aucune distinction entre les hommes, les traitant également, le fait de ne faire aucune distinction entre les hommes, de les considérer seulement en tant qu’hommes renvoie à la notion d’égalité: tout homme aurait droit à cette dignité par le simple fait d’être un homme. Ce qui amène la question de qu’est ce qui fait d’un homme un homme ? Et même en sachant ce qu’est un homme, ne serait-ce pas de la vanité de

métier d’artiste est difficile .Lors d’un voyage d’étude en Italie, il découvre avec enthousiasme la sculpture de la Renaissance de Donatello et Michel- Ange. A 27 ans, son travail est enfin reconnu grâce à une statue grandeur nature représentant un homme si vivant que le génie de l’artiste s’impose. Maître reconnu, il s’oppose à l’art traditionnel et aime représenter le corps nu et ses mouvements avec réalisme et audace avec des sculptures qui choquent. À 43 ans, il tombe amoureux d’une jeune sculptrice

volumes d’articles et de planches sur de nombreux domaines. Cet ouvragé est doté d’une double vocation : Vulgariser les connaissances de l’époque et les faire connaitre à tous (visée universaliste) mais aussi lutter contre les préjugés et ouvrir une réflexion critique, tout en se basant sur les valeurs des Lumières : progrès, liberté, Raison … Dumarsais a donc écrit quelques articles dans l’Encyclopédie, dont Le Philosophe, dans lequel il fait un portrait et une défense du philosophe des Lumières. Il

constitue la meilleure des polices, qu'il tient chacun en bride et s'entend à entraver puissamment le développement de la raison, des désirs, du goût de l'indépendance. Car il consume une extraordinaire quantité de force nerveuse et la soustrait à la réflexion, à la méditation, à la rêverie, aux soucis, à l'amour et à la haine ; il présente constamment à la vue un but mesquin et assure des satisfactions faciles et régulières. Ainsi une société où l'on travaille dur en permanence aura davantage de sécurité