Réflexion Sur L Homme

perfectionnement plus grand ↳ Éphémères / discontinuité des instants → Bonheur : qualité d’une existence, continuité d’efforts ↳ notion de durée Aristote dans “Éthique à Nicomaque”, Livre I, Chapitre IV ↳ “Une hirondelle ne fait pas le printemps, et un homme heureux ce n’est pas l’affaire d’un jour” ↳ Quantité alors que printemps = phénomène naturel ↳ Parler de “nuée d’hirondelle” : ⌀ de calcul possible → qualitative ↳ Excellence d’une existence : ne cesse d’être dans un mouvement ascensionnel

Introduction : ← Sujet = séquence de littérature, support Album jeunesse « Leçon de vol », de S Muschenmoser ← Résumé : Rencontre entre un homme, le narrateur, et un pingouin qui souhaite apprendre à voler. Tous 2 vont s’engager dans une recherche active de solutions pratiques (et drôles) pour répondre à ce rêve. Or, ce n’est pas par un procédé technique que le pingouin va enfin réussir à voler … ← Compétences visées : ← Participer aux échanges de manière constructive, ← rester

Dans une deuxième partie (l.2 « Dans l’effort » à « ses observations l.6), ils illustrent leur thèse avec un exemple, ils comparent le chercheur qui essaye de comprendre le monde à un homme qui essaye de comprendre le mécanisme d’une montre. Dans une troisième partie (l.6 « Il ne sera jamais » à « telle comparaison » l.8), ils traitent de l’impossibilité du chercheur à comparer ses résultats avec la réalité, toujours à travers l’exemple

tentatives pour comprendre cette peau. On suit les aventures du héros avec plaisir et le rétrécissement de la peau de chagrin nous invite à contempler la déchéance de l'être humain toujours avide et insatisfait. La Peau de chagrin est une formidable réflexion sur la quête du bonheur et l'insatisfaction. On y retrouve le thème fantastique du pacte avec le diable, si fréquent dans cette littérature mais aussi le thème de la richesse «Il n'y a pas d'échafaud, pas de bourreaux pour les millionnaires», le

La question de l'homme dans les genres de l'argumentation La question de l'homme dans les genres de l'argumentation Quels sont les enjeux de cet objet d’étude ? 1 Que dit le programme ? « L’objectif est de permettre aux élèves d’accéder à la réflexion anthropologique dont sont porteurs lesgenres de l’argumentation afin de les conduire à réfléchir sur leur propre condition. […] Dans cette perspective, on s’attache à mettre en évidence les liens qui se nouent entre les idées, les formes qui les

pas capable de les faire. Personnellement j'ai trouvé difficile de s’attacher aux personnages. Jenna est la narratrice de l'histoire, mais aussi l'héroïne principale. À cause de cela on suit son évolution petit à petit sans vraiment avoir de réflexions de la part des personnes extérieurs. Au final, on ne sait que peu de choses sur elle. En ce qui concerne ses parents, on ne peut que les détester puisqu’ils paraissent faux dés le début. En ce qui concerne les autres personnages de l'histoire, Ethan

pour cela il propose d’apprendre la connaissance des arbres avant d’apprendre un métier. Mais c’’est aussi la culture qui nous permet de vivre en société, Levi- Strauss disait « qu’un homme qui n’est pas peint n’est pas complet. » Sujet 2 : Faut-il être cultivé pour apprécier une œuvre d’art ? Tout d’abord il nous faudrait donner une définition de la culture et de l’art Le sens courant du mot culture est l’érudition de la terre, l’homme

nature et concept rousseauiste « d'état de nature » qui n'est pas une donnée historique mais une fiction méthodologique, une hypothèse pour comprendre comment se fait l'entrée de l'homme dans la culture. Enjeux du sujet : Il est demandé une réflexion sur ce que vaudrait une définition de la nature de l'homme par rapport au processus de formation ou d'acquisition d'une culture. Reformulation possible du sujet : le processus de formation, d'acquisition de connaissances, d'adaptation à un environnement

monumentaux ; tout comme les tsunamis, tornades ou autres, la seule solution est de se mettre à l’abri. Mais la menace première de l’homme est-elle la nature ou l’homme lui-même ? Freud citait les maladies que nous pouvons guérir, mais la façon dont les homme se traitent les uns les autres n’est elle pas tout autant source de maladie ? La nature nous rapproche les uns les autres, alors que les cultures nous différencient, nous divisent et parfois même nous mènent à la guerre. Par conséquent, il est difficile

embarras de savoir si la philosophie est un art ou une science. C’est un art dans ses fins et sa production. Mais le moyen, la représentation en concepts, elle l’a en commun avec la science. » Le philosophe comme l’homme de lettres doit avoir une réflexion sur l’existence des choses. Mais ils ne peuvent pas la faire au-delà de ce que permet le langage. Ce n’est qu’à travers une unification, d’un point de vue conceptuel, entre la pensée et la métaphore d’une œuvre d’art et, d’un point de vue de l’être