Répartition Chez Les Neoclassiques

théorie de la décision. Il l’a construite en appliquant les concepts de la théorie psychologique du comportement à l’organisation et l’économie. Le point de départ de son analyse est qu’il considère que si on veut analyser le vrai processus de décision chez l’homme, il faut supposer que l’homme n’est ni trop rationnel, ni trop affecté par l’environnement. Dans une organisation qui va être profondément marqué par les activités qu’elle effectue. L’homme doit être considéré comme ayant une conduite rationnelle

restait une question vaste. Au XVI apparait alors l'économie politique (terme d'A. De Montchrestien). On va alors s'intéresser aux moyens d'accroitre la richesse. Def classique de la pensée politique : s'intéresse à la production des matières, la répartition des revenus et la consommation. A l'époque, on s'est intéressé à l'État (fascination) notamment avec le mercantilisme, le pré-classique et le néo-classique. On a vu cependant apparaître des critiques avec par exemple deux célèbres contestataires

Mais dans la moitié des cas ces opérations sont un échec. - Les concentrations remettent en cause les principes de la concurrence pure et parfaite. Chez les néoclassiques est la condition nécessaire à l’obtention d’un équilibre général et à l’atteinte d’une situation optimale au sens de Pareto. Donc la concurrence pure et parfaite est chez les néoclassique sinéquanone à l’efficacité des marchés. De plus, en situation de monopole ou d’oligopole, les entreprises bénéficient d’un pouvoir de marché et d’une

pays, production de biens matériels, objets et biens que l’on possède. EX : JB.Say, ouvrage divisé en trois études (production de biens matériels, répartition et consommation). Question de la répartition des richesses produites. Définition trop partiel car elle ne prend pas en compte les services. 1. La science de l’échange marchand (Néoclassique, 19ème) : étudier la façon dont les hommes repartissent les richesses grâce à l’échange. Tout ce qui fait l’objet d’un échange sur un marché est économique

Classiques : Smith, Ricardo, JB Say, Malthus, Marx, Tocqueville, F. Quesnay...) 1 Loi, les marchés. 2 Fiscalité, R&D 1 Économie → Les classiques considèrent l'économie politique, comme la science qui étudie la production des biens, la répartition des revenus et la consommation. → Les classiques s'intéressent à l'économie de l'offre (JB Say : « L'Offre crée sa propre demande »). Pour les classiques il s'agit de construire une connaissance objective de la réalité économique, et donc de formuler

AUTRICHIENNES ET LES POLITIQUES LIBERALES……………………………………………………………………………………………………..………………………3 I –LE NEO CLASSIQUE…………………………………………………………………………………………3 1-Historique …………………………………………………...................................................3 2-L'analyse néoclassique……………………………………………………………………... 5 3-Les mathématiques comme nouvelle approche de l'économie ……………………………..7 4-Les critiques………………………………………………………………………………… 8 II-L’ECOLE AUTRICHIENNE D’ECONOMIE…………………………………………….. 9 1-Historique…………………………………………………………………………………

évolution des pensées, le message des auteurs classiques (état stationnaire) est remit en cause par d’autres classiques, qui s’appelleront les Néoclassiques. Le XIXème est un siècle de profonde injustice sociale, qui provoque l’émergence de théories qui vont s’efforcer de démontrer pourquoi cette économie n’a pas d’avenir. Dès 1948, premiers écrits néoclassiques. Si l’échange se réalise dans de bonnes conditions, la situation économique est un équilibre économique. Cet équilibre est la meilleure solution

tendance à se multiplier : les entreprises sont concentrées et donc éloignées de la plupart de leurs marchés, et la méconnaissance de son marché est que l’on produit au risque d’une inadéquation entre l’offre et la demande. LE ROLE DE L’ETAT : Chez lui, le concept d’interventionnisme devient évident mais il doit rester au niveau économique. Car il se rend compte qu’il vit dans un capitalisme sauvage, une concurrence excessive qui ne laisse pas sa place aux plus faibles et donc il faut que l’Etat

peu de chômage. Keynes a su se montrer persuasif pour savoir si le chômage est volontaire ou involontaire. 1936 : il y’a un paradigme dominant (néoclassique), le chômage n’est pas un problème social, de situation subie mais un problème d’équilibre du marché du travail. Il n’y a donc pas de chômage involontaire. 1859 – 1936 : macroéconomie des néoclassiques. On vit avec les préjugés de notre époque. Le chômage n’est pas perçu comme un fléau, mais comme une situation limite choisie. C’est l’extrême

« école du déséquilibre ») est une synthèse des théories keynésiennes et néoclassiques. Les économistes de cette école s'intéressent aux fondements microéconomiques de la macroéconomie. Sur certains points, tel la rationalité, les néokeynésiens sont plus proches des conceptions de Friedman que de celles de Keynes. Mais ils conservent le caractère non volontaire du chômage en intégrant les systèmes de marché des néoclassiques auxquels ils ajoutent des imperfections du marché du travail comme cause