Répartition Chez Les Neoclassiques

science qui analyse les actions entreprises par les êtres humains pour satisfaire leurs besoins en aménageant les ressources rares. Ces actions sont en fait les actes de production de répartition et de dépenses (consommation + investissement). Ces trois actes constituent l’activité économique. Production ( Répartition ( Dépense Activité économique C’est la comptabilité nationale qui appréhende cette activité ainsi que l’ensemble des flux qui en résulte. « C’est une technique statistique

Economie BIS La science économique est la science qui étudie la production, la répartition et la circulation des richesses, entendues au sens de biens et services résultant d’une activité productive.D’une manière plus formelle, c’est la science qui étudie l’allocation optimale des biens rares à des fins alternatives (Lionel Robbins).  Pourquoi rares ? Parce que l’économie ne concerne que ce qui relève directement ou indirectement de l’activité productive. Or, tout bien qui est disponible en quantité

TD de analyse économique semestre 1 sujet: La répartition de la valeur et dynamique du capitalisme chez Smith, Ricardo et Marx. Bibliographie: d'après les cours d'amphithéâtre: chapitre II chapitre III partis1,2,4 Jean Boncoeur et Hervé Thouément, Histoire des idées économiques de Platon à Marx, Armand Colin, 2007, chapitre 5, 6, 9. 1/5 Smith, auteur du XVIII ème siècle dit comme un libérale optimiste constitue un des acteurs phare de l'économie classique. Tout comme Ricardo, auteur du

général pour vu que les individus soient libres. Ainsi, l’Etat ne doit pas intervenir dans l’économie, il faut laisser libre l’initiative privée. D’où le principe de « laisser faire, laisser passer ». II.2. MALTHUS (1766-1834) : la loi de la répartition et le libre échangisme Publié en (1798) et intitulé « essai sur le principe de la population », l’ouvrage de MALTHUS constitue une recherche sur la grande misère ouvrière existante à la fin du XVIIIème siècle en Angleterre. SMITH croyait que

contraire. On appel thésaurisation le montant de monnaie qui est conserver dans sa poche, ou dans son coffre fort. Section 1) l’arbitrage entre consommation et épargne. Section 1.1) les déterminants selon l’analyse néoclassique. Il existe 4 déterminants dans l’analyse néoclassique : * Le taux d’intérêt * La hausse des prix * Le cycle de vie * Le revenu permanant A) Le taux d’intérêt : La propension a épargné c'est-à-dire l’augmentation d’épargne induite par la hausse du revenu

construite la théorie du CI, et sa logique de fonctionnement. Remarque1 : Contrairement à d’autre domaine, dans le domaine du CI il n’y a pas de débats, des théories différentes ⇒ il y a qu’une seule théorie qui domine, c’est la théorie néoclassique. La théorie néoclassique est la théorie qui s’applique sur les concepts d’un modèle d’équilibre générale. Or cette théorie est la plus irréaliste Remarque 2 : Cette théorie a connue au cours des années 80 une mutation importante, les modèles traditionnels

face à l’incertitude, les comportements tendent à devenir mimétiques, et amplifient ainsi les déséquilibres (cf. les marchés financiers). B. Les rigidités et entraves au bon fonctionnement du marché : l’autorégulation perdue 1. Le modèle néoclassique du marché est un modèle d’échanges purs, sans frictions, impliquant une fluidité et une flexibilité parfaites. La réalité en est très éloignée, et caractérisée par des « rigidités » de toutes sortes : de prix, de salaires, d’emplois, de qualifications

machines. IBPM 1 Problèmes Economiques Contemporains 2014-2015 B. Histoire de la pensée économiques économique o Le libéralisme o Trois écoles de pensée libérale sont apparues depuis 1750 : o Les physiocrates o Les classiques o Les néoclassiques IBPM 1 Problèmes Economiques Contemporains 2014-2015 B. Histoire de la pensée économiques économique o Le libéralisme o Les physiocrates o La physiocratie : signifie la puissance de la nature o Un courant de pensée contestataire

maqué par des théories appartenant a des courants de pensés différentes vue l’évolution temporelle, ces dernier trouve leur justification dans les limites des théories antérieur, et parmi ces courants on trouve l’approche classique et l’approche néoclassique, l’approche keynésienne et l’approche des monétaristes… En effet chaque école a sa manière, cherchait à théoriser et a formaliser les lois économiques qui régissent l’ordre économique Dans notre exposé on va se focaliser sur l’approche classiques

face à l’incertitude, les comportements tendent à devenir mimétiques, et amplifient ainsi les déséquilibres (cf. les marchés financiers). B. Les rigidités et entraves au bon fonctionnement du marché : l’autorégulation perdue 1. Le modèle néoclassique du marché est un modèle d’échanges purs, sans frictions, impliquant une fluidité et une flexibilité parfaites. La réalité en est très éloignée, et caractérisée par des « rigidités » de toutes sortes : de prix, de salaires, d’emplois, de qualifications