Répartition Chez Les Neoclassiques

que, face à l’incertitude, les comportements tendent à devenir mimétiques, et amplifient ainsi les déséquilibres (cf. les marchés financiers).  B. Les rigidités et entraves au bon fonctionnement du marché : l’autorégulation perdue  1. Le modèle néoclassique du marché est un modèle d’échanges purs, sans frictions, impliquant une fluidité et une flexibilité parfaites. La réalité en est très éloignée, et caractérisée par des « rigidités » de toutes sortes : de prix, de salaires, d’emplois, de qualifications

Marx comme pour Keynes, celle-ci se définit à partir de l'adhésion à certaines conceptions théoriques, et non à partir d'un découpage chronologique. Mais ils ne s'accordent pas sur le critère constituant la pierre de touche de l'économie classique : chez Marx il s'agit de la théorie de la valeur-travail, alors que Keynes attribue ce rôle à la loi des débouchés. Des frontières incertaines Une telle diversité de définitions ne contribue pas à clarifier la question des contours de l'économie classique

politique ou science économique (Aristote), économique ( à partir du XXème siècle Machall), dont l’économiste Britannique Adam Smith (économiste classique). Economie : Satisfaire un certain nombre de besoins en fonction de ressources rares (approche Néoclassique). Créer et répartir les richesses (approche Keynésienne). L’économie comme toutes les sciences humaines et sociales a pour objectif d’étudier les causes et conséquences des comportements humains. Tous les agents économiques ont un certain nombre

la vie de leurs auteurs), soit le fait d’extirper une idée de son contexte pour la généraliser la l’œuvre de l’auteur (main invisible). * Risque de rationalisation à postériori : on fait parader les idées en ordre, comme si tout était ordonné chez un auteur et qu’il y a une cohérence d’ensemble parfaite (Ricardo en 1817 ou Keynes en 1936 sont remarquablement désordonnés). Milton Friedmann nous rappel que les progrès dans une discipline peuvent être difficilement ramenés à l’ordre des choses

développement du capitalisme commercial, après le Moyen-âge, pour considérer la production de richesses étendue à l'échelle de la nation, et non pas limitée à la famille. Dés lors, l'accumulation de richesses sera encouragée par l'Etat, notamment chez les mercantilistes des XVIème et XVIIème siècles. L'économie devient politique, c'est-à-dire que son champ s'élargit, passant du cadre familial au cadre de la nation, comme l'illustre l'ouvrage d'Antoine de Montchrestien, "Traité d'économie politique"

contre l'injustice ( justice et police) - S'occuper des travaux d'infrastructures nécessaires pour le développement économique et non rentables pour le secteur privé ( constructions de ponts etc...) 2.2 La théorie de la répartition et le libre échangisme de David Ricardo °Economiste classique D.R ( 1772-1823) présente sa conception de l'économie dans un livre. ---- Selon D.Ricardo, la valeur d'échange des marchandises sépend de la quantité de travail nécessaire pour les produire

éliminer le principe de précaution. A) L'approche néoclassique (libérale). L'approche néoclassique est largement épaulée par le discours de l'économie politique. Il existe dans nos systèmes socioéconomiques des lois économiques qui vont régir nos comportements. Il y a des lois naturelles (elles vont simposer aux individus), éternelles et universelles (on peut les rencontrer partout). L'individualisme méthodologique : un système pour les néoclassiques est un ensemble d'individus en interaction dynamique

l’industrie et du commerce les éléments moteurs de la richesse des nations et des souverains ; * Le système d’agriculture (pensée des physiocrates) qui se propose de découvrir les lois naturelles auxquelles obéit l’activité économique, et décrit la répartition des richesses entres les différentes classes de la société. Note sur la pensée classique. Cette pensée peut-être caractérisée par son champ d’investigation : les classiques étudient les principes de l’enrichissement de la nation et ainsi les

Chapitre 1.2. Histoire de la pensée économique Modifié le : 21/10/07 Section 1 Le courant fondateur des classiques Section 2 Les grands courants de la pensée économique contemporaine (néoclassique, keynésien, marxiste) Section3 Repérage des orientations théoriques récentes Section 4 Analyse des divergences et des convergences Prolégomènes : quelques définitions de base I. L’économie Économie signifie en grec les règles (nomos) de la maison (oikos). Elle s’intéresse aux

Du point de vue idéologique, on peut distinguer 3 courants principaux dans la formation de cette science : - l’économie politique néoclassique fondée sur l’action régulatrice des marchés, une faible intervention de l’Etat, la liberté d’entreprendre et d’accumuler. - l’économie marxiste qui démontre le degré d’exploitation auquel sont soumis les travailleurs par le capitalisme et l’impérialisme et qui cherche à construire les bases économiques du socialisme. - l’économie keynésienne, marquée par