Répartition Chez Les Neoclassiques

imperfections "indirectes" La demande de travail est une demande dérivée par rapport à celle de biens et services : les dysfonctionnements du marché des biens et services rétroagissent sur le marché du travail. § 2 - L'analyse néo-classique de la répartition A) L'analyse en régime concurrentiel -1- La fonction de production de Cobb-Douglas et ses propriétés Q = A Ka Lb - A, a et b sont des constantes positives, - A est un coefficient de dimension, © Les textes édités sur ce site sont la propriété

d’un ensemble de connaissances pour mieux appréhender son environnement économique. partagée par les membres d'une communauté donnée. » = idée d'une matrice disciplinaire à un moment donné. Paradigme : groupe donné d'associations liées à un mot. Chez Kuhn le paradigme devient: " la constellation de croyances, valeurs, techniques, etc... Problématique générale : Quand et comment est née la pensée économique ? Quelle est la place des valeurs religieuses dans la construction de la pensée économique

et externe. * Protection de chaque membre de la société de l’injustice des autres. * Mise en place de travaux publics (routes, éducation…) et gérance des institutions publiques. L’argent en surplus est distribué dans la société mais la répartition de ce profit est l’objet d’une lutte entre les classes. KARL MARX : Une structure économique bien précise crée une division au sein de la société civile la production des intérêts de classe. Pour les marxistes, les capitalistes vont faire travailler

la fin du XIXe siècle, le courant néoclassique voit le jour, supplantant les idéologies précédentes. Quelques concepts sont repris tels que la liberté économique, la libre concurrence ou encore l’intervention limitée de l’Etat. Cependant les néoclassiques abandonnent la théorie de la valeur du travail afin de la remplacer par celle de la valeur-utilité. Cette dernière met en avant l’utilité d’un bien économique et son évaluation. Par la suite, les néoclassiques instaurent une nouvelle théorie : celle

de la mondialisation », Poitiers 14-15 mai 2009. RESUME Ce travail analyse la pensée de François Perroux, l’économiste français le plus original et le plus fécond du XXème siècle, en matière de développement. Partant d’une critique des théories néoclassique, keynésienne et marxiste, Perroux propose sa vision dynamique de l’équilibre général des unités actives. Cette vision est particulièrement bien adaptée à l’analyse des pays sous-développés qu’il entame dans les années cinquante avec ses « Trois

hommes commencent par créer des richesses c'est-à-dire produire ; puis, dans une seconde, ils se partagent les revenus (revenus d’activité, revenus de la propriété) qui sont des droits monétaires pour accéder à cette richesse : ces opérations de répartition primaire et secondaire permettent de déterminer le revenu disponible des ménages. Enfin en une troisième étape, le processus s’achève par un arbitrage entre consommation ou épargne. Consommer un aliment c’est le faire disparaître ; consommer

l’accumulation de richesse. Ils prônent « Le laisser passer les hommes, laisser faire le marché ». Le capitalise est autorégulé par les lois naturelles et la concurrence. Les lois économiques sont naturelles. La nature va déterminer un ordre social idéal. Chez les classiques il y a une séparation entre économie réel (production, emploi, investissement) et l’économie monétaire = approche dichotomique les prix relatifs dépendent des coûts relatifs. Monnaie fonction d’échange (Steward Mill) Les auteurs :

rapidement, les économistes classiques chercheront à expliquer fondamentalement pourquoi une marchandise s’échange contre une autre. L’économie apparaîtra alors comme la science des échanges marchands. Retenant l’individualisme méthodologique, les néoclassiques parlent d’une représentation de la société comme simple agrégation des individus qui la compose. Il cherche alors à résoudre la question de l’incompatibilité des choix individuels en situation de rareté. Selon eux, la solution est donnée par le

l’économie sociale dont l’objet est la répartition de la richesse. Il cherche tout au long de son œuvre à inscrire l’économie politique comme une branche des mathématiques. Walras s’inscrit dans le courant marginaliste apparu avec la publication quasi simultanée des travaux de Jevons, Walras et Menger, chacun donnant une définition de l’utilité marginale, que Walras appellera la rareté. Il représente l’Ecole de Lausanne, où apparait une branche de la théorie néoclassique caractérisée par le formalisme mathématique

Nous retiendrons d’Edmond Malinvaud : « l’économie est la science qui étudie la façon dont les ressources rares sont employées pour la satisfaction des besoins des hommes vivants en société ». Le besoin se manifeste par une sensation de manque chez les humains. Il existe des besoins vitaux (se nourrir, boire, se loger…) et des besoins liés au confort comme le besoin de se divertir. Les 1er besoins sont appelés besoins primaires ou physiologiques. Les 2nd sont des besoins secondaires ou de