Résumé Acte Par Acte De Phèdre

héroïques, que les passions y soient excitées, et que tout s’y ressente de cette tristesse majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie ». On retrouve cette idée de dignité dans l’expression de la souffrance notamment dans la scène 4 du premier acte d’Andromaque de Racine, un dialogue entre Pyrrhus, roi d’Epire, et sa captive Andromaque, princesse troyenne, dont il tombe amoureux. Cette scène offre au lecteur un visage de Pyrrhus impétueux égaré par l’amour, mais aussi manipulateur, contrastant

qui est une description physique plus détaillée.7. Extrait passage princesse de ClèvesA faire8. Le dilemme cornélien, Les stances de Rodrigue, I,6, Le Cid, Corneille. Voir analyse -> https://commentairecompose.fr/le-cid-acte-1-scene-6/Les stances sont un passage intense d’émotion, dont la forme, très particulière, traduit l’intensité. En effet les vers ne se suivent pas avec régularité comme dans le reste de la pièce (succession d’alexandrins à rimes plates, embrassées

avec Le Cid. Racine, toutes ses pièces = quelques heures. Phèdre : une journée. Unité de lieu : règle créée par les théoriciens italiens au XVI, dans le but de rapprocher l’espace et la temporalité de la fiction / temporalité du spectateur. Selon D’Aubignac, le fondement de l’unité de lieu : le bon sens : impossibilité de changer de décor. Unité d’action : action doit être unifiée mais pas unique. Ex : Phèdre : passion vouée par Phèdre à Hippolyte / passion réciproque d’Hippolyte et d’Aricie

spectateur voit doit sembler vrai. Il faut donc que le personnage ait une logique interne, que l’action soit, elle aussi, logique, que les genres ne se mélangent pas. Les auteurs et les œuvres classiques sont très fameux. L’on retrouve ainsi Racine et Phèdre, Mme de Lafayette et La Princesse de Clèves, La Fontaine et Fables, Bossuet et Sermon sur la mort, Boileau et Art poétique ou même encore La Rochefoucauld et Maximes. Le classicisme se développe aussi dans de nombreux autres arts comme dans

était de solidité apparente dans l’état physique. Le sublime c’est ce qu’il serait un peu au dessus de l’état habituel, un acte sublime c’est un acte dans lequel se manifeste ce qui dépasse la nature ordinaire d’un être humain. Autre solution : c’est ce qui dépasse la nature commune, un air sublime transporte dans un état qui n’est pas l’état habituel dans lequel on vit. Un acte sublime dépasse les limites de l’habituel. Le sublime est ce que le génie produit. C’est compliqué de défendre ça sur une

« Va, cour, vole et nous venge » ; cette citation cornélienne pourrait à elle-seule résumer l’un des thèmes préférés des classiques : la vengeance. C’est également ce sujet que développe Victor Hugo dans la scène d’exposition de Ruy Blas. Chef de file du drame romantique, mouvement du XIX° siècle qui prône le renouveau et la rupture, l’auteur nous présente dans cet extrait Don Salluste, personnage fourbe et machiavélique de la pièce, à l’orée de son projet de revanche sur la reine. Il nous semble

théâtres habituels et c’est ainsi qu’il en vient à participer, avec le soutien du duc d’Orléans, qui souhaite la création d’un second Théâtre-Français, à la fondation du Théâtre de la Renaissance pour l’inauguration duquel il écrit un drame en cinq acte et en vers Ruy Blas. Ecriture et création Victor Hugo écrit sa pièce Ruy Blas en quelques semaine du 5 juillet au 11 août 1838. Il apporte un soin jaloux aux décors qu’il dessine en bonne partie. Il insiste pour qu’on ne diminue pas le nombre des

Exercice [F. Leroux, La Machine à assassiner] 2/ A grande échelle : la réécriture mythique 2.1. Des invariants à la réécriture 2.2. Les variations de l’organisation et du contenu du récit mythique [Don Juan] 2.3. Les variations de registre [P. Dac, Phèdre] 2.4. Bilan : arborescence ou constellation mythique 3/ De la réécriture à la réinterprétation 3.1. La christianisation des mythes [Hercule] 3.2. La romantisation des mythes 3.3. L’actualisation des mythes au XXe siècle [Médée] Chapitre III/ L’exemple

corps. 20– livres : mesure de poids. Une livre vaut cinq cents grammes. 21– affres : les problèmes, les difficultés. 22– zèle : bonne volonté. 198 — © Cned, Français 5e séance 1 — Séquence 5 1- Les phrases ci-dessous permettent de résumer la pièce que tu viens de lire. Mais elles sont présentées dans le désordre. Retrouve l’ordre dans lequel il faut les lire. A B C D E F G H I J K L M Le directeur se met en colère : Monsieur Badin prétend sans cesse qu’il a des problèmes

la vie de celui-ci lui appartiendrait ; * Doña Sol de Silva amante d’Hernani, et femme destinée au mariage avec son oncle Don Ruy Gomez de Silva, et qui fut un temps courtisée par Don Carlos. ------------------------------------------------- Résumé d’Hernani[modifier] ------------------------------------------------- Préface[modifier] Hugo réaffirme ses dires exposés dans la Préface de Cromwell : il faut briser les règles du théâtre classique et réaffirmer l’ambition esthétique de la nouvelle