Résumé La Divine Comédie

Groupe Beauchemin, éditeur ltée – Collection Parcours d’une oeuvre 11 6. a) Montrez en quoi cette première partie de la SCÈNE 4 peut apparaître comme une comédie dans la comédie, c’est-à-dire un jeu que jouent Mariane et Valère. Expliquez. La première partie de la SCÈNE 4, jusqu’à la réconciliation des amants (v. 791), apparaît comme une comédie que jouent Mariane et Valère, parce que l’un et l’autre n’expriment pas leurs véritables sentiments et tentent réciproquement de se mettre à l’épreuve. Le

- Suivre la nature (aspect réaliste) - La bienséance pour ne pas choquer. L’esprit du classicisme est celui de la maîtrise, du rangement. Le théâtre est dominant ainsi que la comédie et la tragédie Le classicisme impose plusieurs contraintes au théâtre du 17ème siècle. Il faut minutieusement suivre les règles telles que celles du temps, du lieu et de l'action. Afin de suivre au mieux la réalité, l'utilisation de récits (par ex

le suggère le début du chapitre 2. Et c’est toujours grâce au personnage principal que nous sommes amenés à passer de l’ironie au comique. On voit donc à travers les yeux de Candide et la scène atroce qui se dessine va en devenir une scène de comédie noire. Et cela grâce à l’image de la philosophie de Pangloss. Rappelons qu’au début du conte, on trouve cette explication sur la philosophie du maître et sur la réaction de son disciple « Il est démontré, disait-il, que les choses ne peuvent être

Mouches 1943– Electre & Oreste (2) Ils butent contre : i) La fatalité L’absurdité de leur engagement/ ii) L’ordre établi obstination/entêtement iii) Le libre arbitre/la condition humaine Conclusion : résume bref des axes (en justifiant héros/antihéros) le message de l’auteur (à travers ses personnages) ouverture : Les mains sales de J. P. Sartre La tragédie du Roi Christophe d’A. Césaire Introduction Au

l’Esthétique d’Aristote , Paris, Edition CNRS  2011, p.12. ) Mais, à cette occasion, l’épopée, la tragédie et la comédie étaient moins considérées. Tout simplement parce qu’elles étaient uniquement réduites à leurs aspects ludiques et festival. Autrement dit, ces arts dramatiques étaient à cette période considérés comme de simples instruments de divertissement et de

merveilleux y joue un rôle et les héros sont dénués de psychologie. Fiction : Tout réçit de faits non réel. Journal : Réçit au jour le jour, de la vie d'une personne par elle même. Légende : Réçit oral, populaire et merveilleux d'un évènement héroïque ou divin. Mythe : Réçit symbolique  qui met en scène des héros et donne un explication du monde. Nouvelle : Réçit assez court en prose. Roman : Réçit long, en prose. On peut distinguer plusieur types de romans (réaliste, historique, psychologique, fantastique

II / L’engagement 1) Le retour à l’ordre L’ordre familial -> Tartuffe 2) Le théâtre révolutionnaire Beaumarchais -> Barbier de Séville III / La morale : la catharsis 1) Le rôle de la comédie Enseigner la vertue par le vice : la comédie de Molière -> l’avare (vice particulier), les précieuses ridicules (vice social), Dom Juan (hypocrisie) 2) Le rôle de la tragédie Antigone -> destinée évoquée dès le début, évolution montrée au public 3)

rêvait de jouer la tragédie, faisait rire et se découvrait un talent étonnant pour la comédie. Il devint bientôt le chef de la troupe dont les protecteurs les plus éminents furent le duc d’Épernon, gouverneur de Guyenne (1646), et le prince Armand de Conti, gouverneur du Languedoc qui, alors fieffé libertin, l’accueillit dans sa résidence de Pézenas de 1650 à 1656. Ils jouaient des tragédies ou de grandes comédies accompagnées d’une farce. Comme le répertoire comique était très mince, il se fit auteur

salon de Mme de Lambert. Il écrit bientôt une comédie, Arlequin poli par l'amour (1720), et plusieurs romans à titre d'amateur. Ce n'est qu'après la banqueroute de Law en 1720 que Marivaux, ruiné, se met à écrire pour vivre et devient ainsi un véritable homme de lettres. Il mène alors une intense activité littéraire. Il collabore à plusieurs périodiques et fonde un journal, Le Spectateur français, en 1721. Mais il s'impose en composant plusieurs comédies dont La Double Inconstance en 1723, L'Île des

reconstituer, fragment par fragment, le Grand Roman de Lichtenberg. Mais, pour mieux comprendre les mécanismes dans cette fiction il est nécessaire de s’arrêter sur la structure, en partant de la table des matières : elle est longue trente-sept pages qui résume le contenu de cent soixante-et-un chapitres. Ils peuvent être classifiés selon quatre catégories : ceux qui rapportent les hypothèses les plus importantes et les tournants majeurs des études lichtenbergiennes, ceux qui portent sur l’« Histoire des