Résumé Les Contemplations

Concevoir le travail de ce point de vue nécessite de le penser comme un but, seul le travail compte. Le loisir n'est pas productif, puisqu'il est un êtat d'oisiveté permanent, sans but précis. « Le travail c'est la santé » énonce le dicton populaire, qui résume cette pensée. Le travail permet au fanatique de se réaliser, à la force de son poignet, sans aucun autre aide, c'est un effort méthodique qui produit une oeuvre, dont le but est clairement matérialisé, symbole à la fois d'utilité et d'accomplissement

BILAN DE LECTURE DU LIVRE IV PAUCA MEAE Le livre IV des Contemplations donne un nouvel exemple de la méthode utilisée par Victor Hugo pour organiser son recueil et reconstituer l’histoire de sa vie. Une démarche thématique : Il procède par thèmes. Ainsi, le livre IV est centré sur la mort de Léopoldine. Son titre « Pauca meae » est une citation latine signifiant : « Quelques mots pour ma fille ». Une démarche logique : Il place les poèmes dont il dispose dans un ordre déterminé, conçu

1 - I°/- Eléments d’Introduction – NB : Pour l’introduction, vous vous servirez essentiellement des parties qui sont sur fond gris. Vous aurez soin d’aller vous renseigner lorsque des mots comportent ce signe : * -1°/- Les Contemplations- Victor Hugo présente cette œuvre lyrique* comme « les mémoires d’une âme » (autobiographie ?), c'est-à-dire : « […] toutes les impressions, tous les souvenirs, toutes les réalités, tous les fantômes vagues,, riants ou funèbres, que peut contenir

poème initial, Nox, résume toute l'œuvre. La variété des tons et le dynamisme seront les caractères propres de tout le recueil; le grotesque épique est le ton propre aux Châtiments. - 1856: Victor Hugo, Les Contemplations." Ce livre pourrait être divisé en quatre parties qui auraient pour titre ma jeunesse morte, mon cœur mort, ma fille morte, ma patrie morte, hélas!" (lettre à Mme. Girardin, janvier 1855); "ce que je gardais à part moi, je le donne pour que Les Contemplations soient mon œuvre de

spirituelle. Ce jardin dépouillé à l’extrême évoque la nature plus qu’il ne la représente. C’est une création abstraite qui aide à la concentration et à la contemplation silencieuse ; Le jardin du temple Ryoan-gi à Kyoto. Pour un occidental, c’est un lieu étrange. C’est d’abord un jardin où on ne se promène pas, il est fait pour la contemplation. Un rectangle de dix sur vingt m environ, entouré d’un mur ocre d’un m, surmonté d’un petit toit. Un des côtés comporte une véranda où l’on peut s’installer

de Hugo Plan d’étude : Introduction I. Biographie de Victor Hugo et de sa fille Léopoldine II. Bibliographie III. Résumé de l’œuvre et des thèmes IV. Commentaire du poème : Conclusion Introduction Victor Hugo est un poète et écrivain français du dix neuvième siècle figure incontournable du mouvement romantique. Il est l’auteur de Les Contemplations qui est un recueil de poèmes paru en 1856. Le poème "15 février 1843", la date du mariage de sa fille, fait parti de

L’ouvrage constitue un résumé d’une série de cours donnés par l’auteur en 1966 à la Faculté Théologique de Lyon, en France. L’auteur se donne comme objectif de nous faire mieux cerner « une certaine différence de perspective théologique en Orient et en Occident ». Il nous offre également un plaidoyer en faveur d’un certain renouveau de l’Église en réponse à la désaffection de ses paroisses. L’ouvrage est divisé en dix chapitres lesquels peuvent être regroupés pour finalement se résumer dans le sous-titre

pour une autre chose qu’elles-mêmes : c’est une vie absurde. Une chose est toujours le moyen d’une fin, qui est le moyen d’une autre fin, et ainsi de suite. Si la vie était réduite à ses buts relatifs, ça ne vaudrait pas le coup : une vie qui se résume à la poursuite perpétuelle de moyens de vivre est une vie d’esclave.  Il faut à la vie une fin qui soit poursuivie pour elle-même et non pas une fin qui ne soit qu’un moyen d’acquérir un autre fin, on l’appelle, une fin en soi = un but qui n’est

pour une autre chose qu’elles-mêmes : c’est une vie absurde. Une chose est toujours le moyen d’une fin, qui est le moyen d’une autre fin, et ainsi de suite. Si la vie était réduite à ses buts relatifs, ça ne vaudrait pas le coup : une vie qui se résume à la poursuite perpétuelle de moyens de vivre est une vie d’esclave.  Il faut à la vie une fin qui soit poursuivie pour elle-même et non pas une fin qui ne soit qu’un moyen d’acquérir un autre fin, on l’appelle, une fin en soi = un but qui n’est

Pour Sartre, la littérature est, comme il l’a démontré dans son premier chapitre, un moyen de communication. Il s’agit maintenant de savoir ce que l’on veut communiquer, ce que résume la question posée en tête du chapitre : « Pourquoi écrire ? ». Sartre commence par remonter à l’origine de l’écriture. « Un des principaux motifs de la création artistique est certainement le besoin de nous sentir essentiels par rapport au monde » explique l’écrivain. On peut prendre pour exemple une situation toute