Résumé Les Contemplations

et en fin « écriture-engagement » I-Ecriture-lecture Pour Sartre, la littérature est, comme il l’a démontré dans son premier chapitre, est un moyen de communication. Il s’agit maintenant de savoir ce que l’on veut communiquer, ce que résume la question posée en tête du chapitre : « Pourquoi écrire ? » Sartre commence par remonter à l’origine de l’écriture. « Un des principaux motifs de la création artistique est certainement le besoin de nous sentir essentiels par rapport au monde »

gradation vers la petitesse. On retrouve de la ligne .. à .. la même observation scientifique, le même classement (emboîtement et gradation) que précédemment mais Pascal insiste encore plus, allant jusqu’à multiplier les univers. Le terme « épuisé » résume les difficultés rencontrées par l'Homme pour se familiariser avec cette perception, pour devenir en quelque sorte plus humble. Cependant, cet épuisement ne permet pas tout, car il reste un autre univers, un « abîme » nouveau: l’invisible. Sa conclusion

conscience du réel ? En quoi la contemplation d'une statue ou d'un tableau pourrait-elle modifier de quelque manière que ce soit la façon dont je me rapporte au monde qui m'entoure en général ? La difficulté est d'autant plus grande, qu'elle semble venir contester la distinction sur laquelle nous faisons fond : si les œuvres sont qualitativement distinctes des objets, si notre rapport à elles est propre et n'a rien à voir avec notre rapport aux objets, comment la contemplation des œuvres pourrait-elle bien

DU TEXTE AU RÉSUMÉ Devoir en classe 6 Georges DUHAMEL Les méfaits du sport Et puis, qu’est-ce que c’est que ce sport où vingt-cinq gaillards s’essoufflent, pendant que quarante mille bougres, immobiles, attrapent des rhumes, fument la cigarette et ne donnent d’exercices qu’à leurs cordes vocales? Je ne dédaigne pas l’exercice corporel: je l’aime, je le recommande, je le souhaite souvent, 5 au fond d’une retraite trop studieuse. Mais cette comédie du sport avec laquelle on berne et fascine

COMMENTAIRE DU POEME « LE MENDIANT », LES CONTEMPLATIONS, DE VICTOR HUGO. | Victor HUGO est un des plus grands romantiques français et le chef de fil du romantisme, mouvement littéraire et artistique européen du début du XIXe siècle. Lié aux grands changements politiques entre 1800 et 1850, ce mouvements provoque « le vague des passion » chez les romantiques, ils se retournent sur eux-même ce qui crée la poésie lyrique. « Le mendiant » de Victor HUGO est un poème de se genre, qui illustre

Exemples : Les Confessions de Jean-Jacques Rousseau, l’auteur se confie au lecteur, il raconte ses souvenirs d’enfance et avoue son plaisir pour la douleur des châtiments corporels. Les Contemplations de Victor Hugo, il se confie au lecteur et évoque ses souvenirs de jeunesse, ses combats sociaux ainsi que sa souffrance. Les émotions  : pour retrouver ces souvenirs, le narrateur relie

RS1 - Savoir rédiger : le résumé et la synthèse Devoir 2 : Le corps épanoui (Histoire de la vie privée, 1987, Antoine Prost) Résumé 1 / Les mots-clés Le mot-clé principal du texte est « le corps ».  Déclinaisons de ce mot-clé : La réhabilitation du corps, le corps est un moyen, le corps est la fin, le corps lui-même pour but, la célébration du corps, rite du corps individuel, s’occuper de son corps, met en valeur le corps, corps revendiqué, habiter son corps, honte de son corps, le corps

Commentaire composé Victor Hugo, « Mors », Les Contemplations, 1856 On considère volontiers Victor Hugo comme l’un des plus grands poètes et écrivains français de tout temps. Porte-drapeau du mouvement littéraire romantique, son œuvre gigantesque comporte de nombreuses références de la littérature française : Les Misérables, Les Châtiments, ou encore Les Contemplations, d’où est extrait le poème « Mors ». Le recueil Les Contemplations, se construit autour d’une date, celle de la mort accidentelle

structuré selon cette figure du renversement (§§ 1 et 2 : l'infiniment grand ; §§ 3 et 4 : l'infiniment petit) ; ainsi l'univers semble tiraillé, ballotté entre ces deux extrêmes sans qu'un principe directeur apparaisse. Pascal ne peut mieux faire que de résumer ces caractères à l'aide d'une définition toute géométrique : « C'est une sphère infinie... » Certes les origines de cette figure sont anciennes (elles remontent à l'antiquité grecque), mais Pascal encore une fois l'oriente dans le sens de la clarté

mai 1885), l’un des plus grand poète et écrivain français de tous les temps, chef de file du mouvement romantique, est l’auteur de nombreux chefs d’œuvres : Les Misérables, Les Châtiments, ou encore Les Contemplations, d’où est extrait le poème « On vit, on meurt ». Le recueil Les Contemplations, est construit en deux parties, séparées par une date, le 4 septembre 1843, jour de la mort accidentelle de sa fille Léopoldine. Il écrit ce poème le jour de l’enterrement de Claire Pradier, morte de maladie