Résumé Pension Bourgeoise

mondaine et futile. Sa fierté contribue à donner au roman la tension propre au drame (son côté « Roméo et Juliette »). Elle possède une âme romanesque. Son orgueil, son courage, son énergie, son esprit font de cette lieuse un double féminin de Julien Résumé (par acte, chapître…) : LIVRE PREMIER Chapitre 1 : Description de la petite ville de Verrières. Son aisance. Portrait du maire, installé depuis 1815 : M. de Rênal, propriétaire de la fabrique de clous. Pour agrandir ses jardins, M. de Rênal

patrimoine russe n’est par conséquent pas directement visible. Un peintre illustrateur russe, nommé Bilibine, fit un travail remarquable à ce sujet et vécût véritablement la diaspora russe des années 20. Ivan Yakovlévitch Bilibine est issu d’une famille bourgeoise de St Petersburg et déjà en Russie, il illustre des contes, en s’inspirant de l’art populaire qu’il découvre au fil de ses voyages à travers la Russie. En 1925, il émigre à Paris avec sa femme, Alxandra Chtchekana-Pototskaïa, peintre et céramiste

renforcement de la puissance maritale (puissance paternel) dans la famille légitime. La situation de la femme mariée se résume dans l’adage « qui a mari a seigneur ». La théorie juridique de l’incapacité de la femme pour les juristes Dumoulin et Tiraqueau la femme subit par son mariage le capitis diminutio, cette diminution lui enlève toute capacité juridique. Loysel résume « la femme vit comme une esclave elle meut livre » c’est-à-dire que ces actes juridiques sont nul sauf le testament ont

d'existence légale que dans sa quatorzième année, quand un acte judiciaire vient tardivement ratifier son statut d'enfant né de parents inconnus. On nage ici en plein c_ur des secrets familiaux que génère et entretient l'impératif des convenances bourgeoises : Aragon grandit sans père, avec une mère clandestine qu'on fait passer pour sa s_ur (frère et s_urs aussi, donc, ses deux tantes et son oncle), et une fausse mère adoptive qui est en réalité sa grand-mère. Ce n'est pas tant l'illégitimité d'Aragon

doit faire ici et maintenant. Son manifeste exalte le progrès, la virilité des hommes et de la violence. On tirera de ce manifeste des motifs à la guerre, notamment Papini qui dira que « sans la guerre on n’avance pas ». Il est contre la démocratie bourgeoise en faisant la guerre avec des gens triés sur le volet et en affirmant que les plus aptes survivront, comme le veut l’idéologie de Darwin. C’est un modernisme politique réunit autour d’une élite qui doit gouverner le monde seule. E. Mund, le Skirk

le progrès des arts et des sciences ainsi que la recherche du bonheur sur Terre. On appelle "siècle des Lumières" la période qui va de la mort de Louis XIV (1715) au début la Révolution française (1789). Relayé par les élites aristocratiques et bourgeoises, le mouvement des Lumières a produit un véritable bouleversement de la pensée et a ébranlé les certitudes anciennes. Son influence a été déterminante dans la Déclaration d'indépendance des États-Unis d'Amérique et dans la Révolution française.En

renforcement de la puissance maritale (puissance paternel) dans la famille légitime. La situation de la femme mariée se résume dans l’adage « qui a mari a seigneur ». La théorie juridique de l’incapacité de la femme pour les juristes Dumoulin et Tiraqueau la femme subit par son mariage le capitis diminutio, cette diminution lui enlève toute capacité juridique. Loysel résume « la femme vit comme une esclave elle meut livre » c’est-à-dire que ces actes juridiques sont nul sauf le testament ont

dans le passé mais il s’utilise essentiellement dans le cadre d’une description, d’une action de second plan, une action qui dure ou qui est habituelle. B. Le portrait en acte : Mme Vauquer. Madame Vauquer dirige depuis quarante ans une pension bourgeoise, à Paris, rue Neuve-Sainte-Geneviève. Cette pièce est dans tout son lustre1 au moment où, vers sept heures du matin, le chat de Mme Vauquer précède sa maîtresse, saute sur les buffets, y flaire le lait que contiennent plusieurs jattes

mimétique du roman (comme une représentation du réel) et qui pourra faire saisir l’aventure créatrice par laquelle l’auteur « fait concurrence avec l’état civil » pour voir ensuite les changements que la création littéraire lui a fait subir. En résumé Pour étudier la vision du monde et de l’homme au sein du roman, on s’attachera à voir : - quelle représentation le romancier fait du monde, - comment il procède à cette représentation, - et dans quel but il représente cet univers. LE ROMAN ET SES

d'exécution ayant quelque chose de singulier, il est donc devenu curieux. Il se moqua de la coquetterie : «Une femme qui n'est plus coquette, c'est une femme qui a cessé d'être». Il se montra un sociologue ironiste : «Ce qui gâte I'esprit des bourgeoises, c'est Ie faste continuel qui s'offre à leurs yeux : chaque équipage que rencontre en chemin une femme à pied porte en son cerveau une impression de douleur et de plaisir ; de douleur, en se voyant à pied ; de plaisir, en se figurant celui qu'elle