Résumé Surréalisme

la guerre il compose La Part maudite, et fonde l'influente revue Critique. Sa conception très particulière de la « souveraineté » a été discutée par Jacques Derrida, Giorgio Agamben, Jean-Luc Nancy et d'autres. Georges Bataille estimant que le surréalisme, sous la houlette d’André Breton, restait bien trop hégélien et trahissait le réel « dans son immédiateté pour un surréel rêvé sur la base d’une élévation d’esprit[] » avait fondé en 1929 une revue anti-surréaliste, Documents, à laquelle contribuèrent

Sommaire Introduction……………………………………………………………..………2 I/ Le surréalisme contre l’ordre et la convention 1) El.…………………………………………………………………………….4 2) La Vie Criminelle d’Archibald de la Cruz…………………………………6 3) Los Olvidados…………………………..……………………………..……6 II/ Les images de l’inconscient 1) Les images hallucinatoires………………………………………….…8 2) Les images oniriques…………………………………………………..9 III/ Les pulsions et le déni du corps d’autrui 1) Les pulsions de mutilation……………………………………………11 2)

En 1928, il retourne à Londres où il commence à peindre ses premières toiles avec une forte influence du surréalisme de Picasso, et également de Vélasquez, Poussin, ou Rembrandt. En 1934 se tient sa première exposition personnelle à la Transition Gallery, qui est un échec. Suite à cela, Bacon pense arrêter la peinture. En 1936, il est refusé par l'exposition internationale du surréalisme organisée par André Breton. En 1937, il est sélectionné pour l'exposition collective « Young British Painters

→) invitant l’élève à « aller plus loin » : il peut ainsi approfondir ses connaissances. • les documents du manuel (textes, lectures d’images, perspectives, dossiers Histoire des arts…) accompagnés par : –– un encadré Objectifs et enjeux qui résume les angles d’approche des documents ; –– une Lecture analytique rédigée sous forme de commentaire organisé selon les axes proposés dans les questionnaires du manuel. • un corrigé du point Grammaire, Vocabulaire ou Figure de style qui accompagne

qui les distingue des réalisateurs français ? Qu’elle peut bien être le rôle joué par leur nationalité dans leur manière de mettre en scène ? Il y a probablement autant de réponses que de réalisateurs. De la même manière que le cinéma indien ne se résume pas à Bollywood ou le cinéma américain aux blockbusters d’Hollywood, on ne peut réduire le cinéma belge francophone au cinéma d’inspiration sociale des réalisateurs Jean-Pierre et Luc Dardenne, le genre sans doute le plus connu à l’étranger et le

Robert Desnos (1926) Contrairement au XIXème siècle, le poète du XXème siècle est un homme ordinaire intégré à la société et qui trouve dans la poésie une autre façon d’être lui-même. Robert Desnos est un poète surréaliste du XXème siècle. Le surréalisme cherche à changer la poésie en se libérant de la raison au moyen de toutes les formes de création. Le texte proposé s’intitule « Non l’amour n’est pas mort » de Robert Desnos et appartient à la section « A la mystérieuse » du recueil Corps et biens

excentrique mais surtout par ses peintures inspirées du cubisme, qui n’était pas présent à Madrid à l’époque. Il était donc en avance sur ses professeurs, et se consacra alors à l’étude des textes psychanalytiques de Sigmund Freud, facteur d’influence du surréalisme. Un an après, il est expulsé de l’école, accusé d’avoir mené une révolte étudiante contre la non-attribution de la chaire de peinture de l’école à Daniel Vazquez Díaz, probablement un ami talentueux. En 1925, sa première exposition individuelle

avec un collage en général c’est qu’il est constitué uniquement d’éléments photographiques alors que le terme collage désigne plutôt des peintures ou des dessins sur lesquels l’artiste colle des éléments qui ne sont pas forcément des photos. Pour résumer, tous les collages ne sont pas des photomontages mais les photomontages sont toujours des collages qui sont réalisés uniquement avec des éléments photographiques. II. Les pionniers du photomontage Un des premiers à pratiquer le photomontage en

hésitait à choisir entre les conventions poétiques traditionnelles et la liberté prônée par le surréalisme. Nous avons d’ailleurs évoqué ce respect d’Eluard pour la poésie classique dans notre introduction. En revanche, il n’y a pas de rimes véritables (quelques rimes plates tout au plus) et pas de titre non plus. ( Surréalisme). C’est donc le premier vers qui en fait office et qui, au fond, résume assez bien l’ensemble du poème : «La courbe de tes yeux fait le tour de mon cœur». 3. Lecture

titre, Prévert adopte un langage familier et populaire, se faisant ainsi le porte parole de tout un chacun. Sa poésie se veut simple, voire enfantine et surtout très diversifiée, dans sa forme mais aussi dans ses registres. Poète à l’époque du surréalisme, il s’amuse à jouer avec les mots, transforme les banalités de la vie, et attaque avec la plus grande liberté tout ce qu’il déteste, mais il sait aussi célébrer ce qu’il aime. A travers son écriture poétique comment Prévert conteste t’il la société