Résumé Texte Luc Ferry

personnalités politiques françaises, « le ministre de l’éducation, M. Luc Ferry », ainsi que celui de « l’intérieur, M. Nicolas Sarkozy » annonçant un projet, qui est la « création » de lieux d’enfermement et de redressement pour mineur. Le titre du texte est rédigé en lettre majuscule et en gras « JEUNES DELINQUANTSENTRE EDUCATION ET PUNITION » suivit d’un sous-titre en lettre capital « LE FANTOME DES MAISONS DE REDRESSEMENT ». En fin de texte, nous avons le nom de l’auteur inscrit en gras, introduit par

informe sur le contexte politique : "Le ministre français de l'éducation, M. Luc Ferry, et celui de l'Intérieur, M. Nicolas Sarkozy ont annoncé la création de centres fermés pour les adolescents". Mais aussi sur la période "En 2002", et contient une critique de la décision politique: "comme si l'on pouvait éduquer un délinquant en l'enfermant." 2.1) Le premier document est du genre poétique et est un texte narratif. Le texte dénonce les maisons de redressement et leurs pratiques, notamment celle de

Prévert. En ce qui concerne le contenu, on dispose d'une longue introduction dont on ignore qui l'a écrite. Elle présente d'abord le fait divers qu'évoque Prévert et, sans ces précisions, il serait difficile pour le lecteur de comprendre le sujet du texte. Il s'agit donc d'une révolte de jeunes enfants enfermés dans une maison de correction à Belle-Île-en-Mer ; accablés de mauvais traitements, ils mettent le feu aux locaux, prennent la fuite, mais sont tous rattrapés après une "battue", à l'exception

pouvons distinguer en haut du texte, un astérisque qui nous renseigne que ce poème est dédier a Marianne Oswald qui est une amie de Prévert et tout en bas, on nous indique l’auteur du poème, dans quelle journal il est sorti c’est-à-dire l’édition des paroles et la date qui est de 1934. 1.2 Dans le document 2, nous pouvons relevez un chapeau en haut de l’éditorial qui résume l’article de presse, cet article de presse nous fait part des centre fermé par Luc Ferry et Nicolas Sarkozy pour les adolescents

En lisant le paratexte du poème de Jacques Prévert intitulé Paroles, nous pouvons clairement identifié quelques éléments permettant de se situer dans le contexte historique. Nous relevons « Aout 1934 » et « Belle-île-en-mer » en tout début de texte qui vient nous apporter une précision sur le cadre spatio temporel. Le sujet du document s'établie par l'étude d'une « maison de redressement » ou des « jeunes pensionnaires » sont maltraités. Ces éléments du paratextes nous délivrent des informations

1. En lisant le paratexte du poème de Jacques Prévert intitulé Paroles, nous pouvons clairement identifié quelques éléments permettant de se situer dans le contexte historique. Nous relevons « Aout 1934 » et « Belle-île-en-mer » en tout début de texte qui vient nous apporter une précision sur le cadre spatio temporel. Le sujet du document s'établie par l'étude d'une « maison de redressement » ou des « jeunes pensionnaires » sont maltraités. Ces éléments du paratextes nous délivrent des informations

leur fonction, cʼest-à-dire les informations quʼon peut en déduire avant même de lire le texte de Prévert. Vous organiserez votre réponse en distinguant les renseignements qui concerne la provenance ou lʼauteur de ceux qui ont trait au contenu. Le document 1 est divisé en deux parties. La première partie est une introduction à la lecture du poème de Jacques Prévert, Chasse à lʼenfant. Elle se constitue dʼun texte informatif sur lʼévènement dʼaoût 1934, à savoir lʼévasion de 55 pupilles de la maison

informe sur le contexte historique dans lequel le texte prend place. On se trouve en « août 1934 », à « Belle-Ile-en-mer ». L'action se déroule dans une « maison de redressement » et ses protagonistes sont de « jeunes pensionnaires », « les gardiens » et « la population civile ». On peut ainsi établir le cadre spatio-temporel du poème. D'après toutes ces informations et grâce au titre « Chasse à l'enfant » qui va entamer le poème, on peut déduire que ce texte aborde l'évasion des pensionnaires d'une maison

qui est aussi corédacteur en chef de la revue le temps de l’histoire. Les informations que nous donnent le paratexte dans le chapeau sont aussi d’annoncer la création de centres fermés pour adolescents par le ministre français de l’éducation M. Luc Ferry et de l’intérieur M. Nicolas Sarkozy alors que depuis le XIXème siècle toute les tentatives d’éduquer un délinquant en l’enfermant ont échouées. Le titre « Jeunes délinquants entre éducation et punition » prouve que encore aujourd’hui la place de

langues vivantes dès l'école primaire en continuité avec la dimension européenne et internationale des formations promue par la loi. Malgré les critiques de fond formulées par Luc Ferry et Xavier Darcos à la rentrée 2002 à propos d'un principe de cette loi fondamentale, ainsi que certains constats d'échec effectu~ ce texte forme une référence toujours valide, même si les orientations fixées, et surtout les objectifs assignés au service public d'éducation, s sans doute appelés à être revus à terme