Sacraliser La Vérité

Bateson s’est interrogé là-dessus et a fait un cycle lui-même avec le cas des paradoxes. Le paradoxe classique est celui du menteur qui dit : « je suis en train d e mentir ». Est-ce que je mens où est-ce que je dis la vérité ? Si je suis effectivement en train de mentir, je dis la vérité alors je mens car je dis que je suis un menteur. Ce sont des paradoxes logiques qui ont préoccupé nos logiciens depuis les Grecs et il a fallu attendre le 20ème siècle pour qu’on propose des solutions pour pouvoir les

entre groupes ethniques), décidé le transfert de la capitale fédérale de Lagos à Abuja, au centre du pays, et mis en oeuvre un programme de retour progressif à la démocratie. Son assassinat, le 13 février 1976, a transformé ce nationaliste intègre, sacralisé par son martyre , en symbole national. Le général Obasanjo, son successeur, a poursuivi sa tâche et a remis le pouvoir à un nouveau régime civil élu sur la base d'une Constitution présidentielle et fédérale inspirée de celle des États-Unis, dans

en situation de pouvoir toujours choisir leur destin et donc d’en changer. Dans la démocratie, les hommes qui gouvernent tirent cette position de pouvoir du consentement des autres hommes. Il y a également un certains nombres de valeurs qui sont sacralisés dans le texte constitutionnel. Ex : la peine de mort abolie en 1981 et ce texte a été inscrite dans le texte de la constitution dans la révision du 23 février 2007. Ces valeurs sont incérés dans le contrat social donc sont considérées comme au dessus

lui.   Il est en rupture totale avec l’Antiquité (annoncée en quelque sorte par Machiavel), ceci parce qu’il pense que les philosophes grecs et romains (Aristote notamment qu’il critique sans cesse) ont  échoués à la fois dans la recherche de la vérité et dans l’instauration de la formule menant les hommes à la paix et au bonheur. L’échec est alors dû au fait que le droit positif a été établit par un droit de rang plus élevé (« au-dessus de la cité »), c’est le droit naturel des anciens ; et en

autoportrait » de Michel Leiris qu’un récit placé tout entier dans l’orbite du contrat initial exposé dans « De la littérature considérée comme une tauromachie » (1945), texte dont procède toute l’entreprise, texte qui lui donne son sens. C’est un souci de vérité, c’est la volonté de « mettre son cœur à nu » qui donne la clef du portrait de M. Leiris dans L’Âge d’homme. Autres mobiles, autres portraits, et autres modèles de vie aussi. L’être et le temps Je naquis au Havre un vingt et un février en mil neuf

communication non-verbale et les gestes. Les notions de place et rôle de l’être humain dans le monde naturel. Les mythes et les héros culturels pour expliquer et commémorer les valeurs essentielles. La propagation des idées sur la beauté, l’amour, la vérité, l’amitié et la loyauté. La notion de modestie et les styles vestimentaires selon l’âge des personnes, ainsi que la notion de comportement. Notre définition du temps et de son importance relative. La complexité des relations entre l’individuel et

l’emporte sans contestation, parce qu’il existe en soi plusieurs réponses possibles ? La philosophie est donc bien davantage l’art des réponses que celui des questions. Et ces réponses, parce qu’elles ne sont pas religieuses et ne font pas dépendre la vérité d’un Autre, sont profondes, passionnantes et pour tout dire géniales. En résumé sa définition de la philosophie : P27 : cette recherche du salut (sauver de la mort au sens large) sans Dieu ne s’oppose pas aux autres aspects qui définissent la philosophie :

question ne venait pas, la question n’allait pas venir, j’allais mourir dans mes vouloirs, sans avoir remonté ses sources, sans m’être levée une fois d’entre les morts… Aujourd’hui, j’en ai marre ! J’ai envie de parler… Je puis dire sans attenter à la vérité c’est sa faute… Tout est sa faute… Et elle… Il a fallu qu’elle séduise les étoiles pour survivre (Beyala, 1997: 26). Dans ces deux passages, nous dénotons l’usage abusif de signes de ponctuation qui obligent le lecteur à faire de nombreux

existe dans toutes ses formes, est de faire apparaître, de manifester, de rendre visible tout ce qui est dans l'esprit humain : « D’une façon générale, le but de l’art consiste à rendre accessible à l’intuition ce qui existe dans l’esprit humain, la vérité que l’homme abrite dans son esprit, ce qui remue la poitrine humaine et agite l’esprit humain. » (l.7-9). Ainsi, on ne peut pas être indifférent, insensible à l'art, ce serait être insensible à soi-même, à sa propre vie, à son propre esprit. L'art

F. KAUSCH3 COURS : 1) Mêler art et pouvoir / esthétique et politiqueBibliographie : - Walter Benjamin « l’œuvre d'art à l'époque de la reproductibilité technique » 1939 Gallimard Œuvres, III (→ 3ème volume) PR LA RENTREE 2) Politique : cours sur la punition et le châtiment 3) Les sciences humaines à partir de Rousseau, entre autres.Concernant les lectures : travail « non scolaire » → toujours un livre ouvertINTRODUCTION sur le texte de Benjamin Avec le photographe Walker Evans