Sacre

plusieurs dieu. Ce n'est pas la croyance en un seul dieu qui définit la religion. =>C'est le sens du SACRE qui définit la Religion. Exemples : Rudolf Otto : Le sacré Mincea Eliade : Le sacré et le profane. Roger Caillois : l'Homme et le sacré. Vient du mot lation sancio : rendre qqch d'inviolable. Donne également le mot Sanction. R.Otto= Sentiment du Mysterium tremendum. Ambivalence du sacré:1) Fascination, 2) Répulsion. => La Religion par rapport à la société, Le rapport de l'homme à la

nature réelle. Entre autres, le profane dont le but est le travailler et faire de l’auto-asservissement tandis que le sacré consiste à faire la fête. Pour finir, l’aliénation qui nous enchaîne à la vie et le transport qui nous déchaîne. Développement Les concepts illustrés ci-dessus se manifestent encore, aujourd’hui, dans l’existence humaine comme par exemple le profane et le sacré. Le profane a pour but de nous enchaîné à la vie, de nous rendre, dans un sens, esclave de notre travail par l’aliénation

Croyance Pourquoi avons-nous besoin de croire ? Il n’est pas une société où l’on ne puisse repéré sous quelque forme que ce soit les croyances, une manifestation religieuse ou sacré, mêmes dans les sociétés laïcisées on peut repérer des résidus de conscience religieuse Durkheim va montrer comment les croyances vont fonder les communautés, pourtant il faut distinguer 2 axes -> intime : chacun peut appartenir à une obédience qu’il choisit la foi (la confiance- « fides »- en une puissance supérieur

commettre un sacrilège. Or le Pauvre est un être sacré : c'est donc une attaque directe contre Dieu, comme le confirme la dernière phrase : "je te le donne pour l'amour de l'humanité". Dans la formule normale, on attend "pour l'amour de Dieu". Est-ce une attaque contre la religion (institution purement humaine), ou contre Dieu ? Dans ce cas, attaque-t-on ce à quoi on ne croit pas ? • La scène du tombeau (III, 5) témoigne du même mépris pour le sacré. Dom Juan n'est pas ou peu ébranlé, même par le

panoramique de l’ésotérisme maçonnique à un degré donné. Le tapis de loge est situé au centre de la loge, sous le ciel étoilé figurant la voûte céleste et donc au centre du Temple, sous le fil à plomb, au coeur de l’Univers. Il constitue un espace sacré qui doit guider l’initié dans son voyage maçonnique : l’ordre des symboles du grade s’y trouve révélant ainsi le mystère et montrant le chemin de Lumière. Le tableau de loge est la carte du ciel des causes, il en est le miroir. Toutefois, comme le

soutenue par l’Eglise. Chez les Carolingiens c’est le sacre chrétien qui fait le Roi, celui-ci devient l’élu de Dieu, ce qu’il n’était pas chez les Mérovingiens. On a une évolution du pouvoir. Le sacre est l’onction du Roi par un ecclésiastique. Ce sacre va lui donner sa légitimité. Il s’agit d’une nouveauté car avant, l’élévation sur le pavois et l’acclamation symbolique résumait l’entrée en fonction du nouveau Roi. A présent, on a un sacre et un couronnement. Par après, les insignes royaux qu’on

« les rites sont des règles de conduite qui prescrivent à l’homme comment se comporter avec les choses sacrées ». Pour E. Durkheim, le rite s’insère dans la religion et il examine ses effets au sein du groupe. Pour les sociétés « traditionnelles», le rite est souvent en rapport  avec la religion ou des forces surnaturelles comme ne mana, étudié par M. Mauss. Le site a une dimension plus « sacrée ». Nous étudierons les rites dans les sociétés « traditionnelles » et contemporaines en prenant des exemples

pour avancer. Valeur sacré = valeur qui conditionne la société, participe à son évolution, définit son identité. Exemple : USA : la liberté de religion est une valeur sacré car demeure un principe inviolable et n’est pas sacrifié au profit d’ autres valeurs. Cette valeur fait partie des premiers concepts des Etats Unis définie Bill of Right. Comment une société peut-elle exister sans valeurs sacrées si elles sont nécessaire à son fondement ? Une société sans valeur sacré est-elle envisageable

et le monde spirituel, D’après Charles BAUDELAIRE seuls les artistes savent dechiffer le sens des analogies qui permettent de passer du monde des perceptions à celui des idées. I.Le caractère sacré (religieux) de la nature Le poème commence par l'évocation forte de la nature mise sous forme sacrée (avec une majuscule) → ALLEGORIE Ensuite on voit que la nature est comparée à un temple, qui est aussi un élément religieux →METAPHORE On évoque les piliers comme des être vivants → PERSONNIFICATION

paysage change et marque une évolution qui aboutit au mystère. b) Le poète est un roi-prophète - la majesté : acclamations et hommages se dirigent vers le poète. - l’exception : le poète est un être unique. - le sacré : le couronnement symbolique rend compte de la mission sacrée du poète déchiffreur. II – LE SYMBOLE DE LA NATURE Ce poème appartient au registre de l’églogue (petit poème champêtre). a) Une nature luxuriante - la saison : la date évoque le plein épanouissement de la nature