Salaire d'efficience

de production pour produire. L'arbitrage entre le travail et le capital se fait en comparant leurs coûts respectifs. Si le travail est jugé moins coûteux que le capital, l'entreprise sera incitée à embaucher. Par contre, si le coût du travail (salaire et charges sociales) est jugé élevé alors l'entreprise aura tendance à substituer du capital au travail (cf. Document 6) ou même à délocaliser une partie de ses activités dans des pays ou la main-d'?uvre est moins chère. 2) Les politiques de l'emploi

relations employeurs/salariés, du taux d’activité des jeunes, des adultes, des femmes, des lois concernant la retraite. Paragraphe 2 – Le chômage. Définition. Un chômeur est une personne en âge de travailler disponible pour travailler au taux de salaire en vigueur et qui n’a pas d’emploi. Le taux de chômage ; nombre de chômeur sur population active, cette dernière est composée des personnes employés + les chômeurs. En France pour calculer le chômage on utilise le concept de demandeur d’emploi en

contemporain : * Perte d’employabilité car destruction du capital humain * Chômage volontaire : rigidité des salaires à la baisse, quand récession et chômage, les salaires ne baissent pas → refus de la collectivité de travailler au salaire d’équilibre. Les entreprises investissent alors dans le capital ou délocalisent. Rapport Malinvaud (98) : solution → baisser les charges sociales des salaires les plus bas. Mais malgré la déréglementation du marché du travail appliquée par Thatcher et Reagan dans

ces politiques. Travail préparatoire 1) S'il existe un salaire minimum (en-dessous duquel les salaires ne peuvent descendre), il peut arriver que la productivité du travail soit inférieur à son coût. C'est vrai en particulier pour les travailleurs les moins qualifiés qui ont un faible capital humain, et dont la productivité est relativement faible. Si l'embauche d'un travailleur coûte davantage à l'entreprise (par son salaire) que ce que le travail de ce salarié lui rapporte (c'est-à-dire

n'embauchent un travailleur supplémentaire que si son coût salarial est inférieur ou égal à sa productivité (marginale), la flexibilité des salaires à la baisse et la réduction des cotisations sociales constituent un moyen de développer l'employabilité et de lutter contre le chômage classique (salaires au mérite, suppression des grilles indiciaires et du salaire minimal, emplois précaires moins rémunérés...). A l'ajustement par les quantités, il faut substituer l'ajustement par les prix. En corollaire

la faim si excès de Drs d’emploi (= offreurs de L = ménages) ⤷ salaires mini de subsistance voire ⇒ tx de mortalité ⇒ Drs (autorégulat°) ⇒ Débat néo-classique / keynésien Néo-classique Mé du L autonome ⇾ libre fluctuat° salaires convergence vers l’équilibre. Keynésien Mé du L leurre, il n’existe ⦰ vraiment car asymétries d’info importantes, hétérogénéité… ⇾ Salaire coût (du L pour l’employeur) & revenu. Tte modificat° salaires macroéco interdépendance csq La vision néo-classique du

l’obtenir (ex : étudier veut dire que tu renonce au plus gros salaire et loisirs) 3. Les gens rationnels raisonnent à la marge ( pas prendre la moyenne en considération, pense plus au futur de ce qu’on peut gagner) Compare coût additionnel au bénéfice additionnel 4. Incitatifs : ce qui conduit une personne à agir (ex : faire un bac en vue d’une bonne job) 5. Les échanges : Permette aux agents, pays de se spécialiser Spécialisation = source d’efficience 6. Marchés bonne façon d’organiser activité économique :

consommation harmonisé. Setion 1 : Analyse traditionnel des causes de l’inflation I) L’inflation par la demande A) La consommation Une augmentation de la consommation supérieure à l’offre peut être expliquée par une déthésaurisation ou une augmentation des salaires comme en 68 ou augmentation des dépenses publiques, augmentation du crédit lié à une anticipation d’une hausse de la croissance future par les consommateurs et des producteurs, augmentation des exportations. B) L’investissement L’offre peut être

est soumise. Rappelons que, pour l'entreprise, les salaires font partie des coûts de production. • La rémunération des salariés comprend l'ensemble des versements monétaires et des avantages en natures qui sont attribués en contrepartie du travail. L'élément le plus important est le salaire de base qui peut être soit forfaitaire, soit calculé selon le temps de travail ou selon les quantités produites ou vendues (salaire au rendement). Ce salaire de base peut être complété par des primes diverses

n'affecte ni le taux d'intérêt ni le revenu national. QUESTION 6 (5 points) On étudie les effets d’une politique de relance par la demande (par exemple un réduction des impôts). Après ajustement des prix et des salaires, quelle variable est-elle affectée ? a) Le salaire nominal b) Le salaire réel c) Le chômage volontaire d) Le chômage involontaire QUESTION 7 (5 points) Quelle affirmation est-elle fausse ? La théorie de la consommation intertemporelle avec contrainte de liquidité a) permet