Salluste

Ruy Blas, pièce de théâtre d'Hugo montre la manière dont-il a révolutionné ce dernier. Se drame romantique traite d'une vielle Espagne du XVIIe siècle, avec une monarchie au bord du gouffre. Tout l'acte I, est consacré à Don Salluste, l'acte porte aussi son nom. Don Salluste veux par tout les moyens se venger de la reine. Il utilisera son laquais qui est fou amoureux de la reine pour pouvoir assouvir sa vengeance. On appel cet acte l'acte du mélodrame. L'acte II est celui de la reine où l'amour est

l’archiduc veut soutenir son droit, La guerre éclatera… Don Salluste : L’air me semble un peu froid. Faites-moi le plaisir de fermer la croisée. Ruy Blas, pâle de honte et de désespoir, hésite un moment ; puis il fait un effort et se dirigen lentement vers la fenêtre, la ferme, et revient vers Don Salluste, qui, assis, dans le fauteuil, le suit des yeux d’un air indifférent. Ruy Blas, reprenant et essayant de convaincre don Salluste Daignez voir à quel point la guerre est malaisée. Que

telle qu'elle est dans la réalité est représenter sans essayer de l'améliorer ou essayer de changer le court des choses par exemple dans Ruy Blas Victor Hugo nous représente un drame romantique où Don Salluste de Bazan a été disgracié par la reine d'Espagne pour ce changer de celle-ci Don Salluste de Bazan va demander à son valet Ruy Blas de séduire la reine qui elle même est délaissé par son mari, elle va donc céder aux avances de Ruy Blas et va donc le faire monter dans la hiérarchie sociale. Dans

dénouer en chaîne au dernier acte. L’action est mélodramatique. Tout au long de la pièce, une menace plane, celle de la haine obsédante de Don Salluste. Ce personnage, l’archétype du méchant, poursuit inlassablement au long des scènes, sa vengeance à l’encontre de la reine. Cela donne un tempo implacablement rythmé par les agissements de Don Salluste, dans les différents actes de la pièce. Ruy Blas n’est que le moyen pour lui d’assurer son sombre dessein. La beauté du drame amoureux est mise en

SUJETS DE DISSERTATION AU CHOIX(à traiter pendant les vacances de février)Sujet 1 : Dans la Préface de Ruy Blas, Victor Hugo assimile le personnage éponyme de sa pièce à la Tragédie, à laquelle il assigne la fonction de “trancher l’action”. Dans quelle mesure peut-on rapprocher les personnages de Ruy Blas et de Phèdre? Vous répondrez dans un développement construit en prenant appui sur votre connaissance des deux oeuvres.Sujet 2 : Dans quelle mesure

 elle nous présente  le retournement de situation avec Ruy Blas premier ministre donc un grand d’Espagne à la  base issu du peuple et Don Salluste grand d’Espagne exilé par la Reine mais revenu en habit  de laquais. Tout ceci, va nous emmener à nous poser  la question suivante : “ En quoi cette  scène va elle être l’occasion d’une confrontation entre Don Salluste et Ruy Blas deux  hommes que tout oppose ?”. Pour répondre à ceci, nous allons développer en deux temps, le  premier nous permettra à l’aide de l’effarement de Ruy Blas

les didascalies de l’auteur nous apprennent que la personne ayant ouvert la pièce à la Reine est en fait tout simplement le fourbe et le lâche Don Salluste : « C’est moi ! Il ôte son masque, c’est Don Salluste. La reine et Ruy Blas le reconnaissent avec terreur » Cette apparition mystérieuse est un coup de théâtre pour le spectateur car Don Salluste n’était pas visible lors de la scène précédente. Le masque ici représente donc aussi bien dissimulation qu’horreur, autant pour Ruy Blas et la Reine

(page 184-185) Acte V de Ruy Blas, de Victor Hugo, s'intitule « le tigre et le lion », le tigre pour Don Salluste (ruse, puissance) et le lion pour Ruy Blas (courage, vaillance). La scène que nous allons étudier est la dernière scène du dernier acte, nous savons alors que c’est le dénouement de la pièce. Dans cette scène de dénouement, la reine éclairée sur la machination de Don Salluste et ce qu'elle considère comme une trahison de Ruy Blas, refuse de pardonner le valet et le conduit à la mort

aime" (vers 769), elle est soumise à une "inflexible loi" (dont le spectateur a eu une démonstration dans la scène précédente avec les interventions sèches et autoritaires de la camera mayor), elle est sans appui face à la menace que représente don Salluste ("que c'est faible une reine et que c'est peu de chose !" vers 785), elle est dans un isolement affectif impossible à supporter ("quand l'âme a soif, il faut qu'elle se désaltère, / fût-ce dans du poison et je n'ai rien sur la terre. / Mais

la société que les compositions dramatiques ont pour but de peindre » définit Benjamin Constant. On retrouve cette « couleur locale » dans les didascalies de Ruy Blas avec la description des costumes propre à l’époque où se déroule la pièce : Don Salluste « vêtu de velours noir, costume de cours du temps de Charles II ». De plus, le drame romantique exploite la veine nationaliste et révolutionnaire de l’époque. La pièce Lorenzaccio prend place dans la Renaissance Florentine qui a des points communs