Sang du Christ

, préambule (817). Trad. modifiée de P. Riché, G. Tate, Textes et documents d’histoire du Moyen Âge (Ve-Xe siècles) , Paris, SEDES, 1974 « Au nom du Seigneur Dieu et de Notre Sauver Jésus-Christ, Louis [le Pieux], par l’ordre de la Providence divine, empereur auguste.Comme nous avions réuni, au nom de Dieu, en l’année de l’Incarnation du Seigneur huit cent dix-sept, […] la quatrième année de notre Empire, au mois de juillet, en notre palais

trône le Christ en majesté, avec les élus à sa droite, le Paradis, et les damnés à sa gauche, l’Enfer. LE CHRIST : Le Christ Saint Sauveur en Majesté : Personnage central, démesuré par rapport aux autres personnages. Le Sauveur est assis sur un trône car il est roi de gloire. Le Christ apparaît la main droite levée, recevant les Grâces du Père, la main gauche tendue vers le sol, déversant la Grâce sur les hommes. Le Christ est entouré de tous ses anges. Les Anges : Aux pieds du Christ, deux anges

retable d'Issenheim il est aussi question de mort de souffrance et de résurrection puisque le panneau central est une crucifixion (c'est à dire le Christ sur la croix). GRÜNEWALD choisit de peindre sans rien voiler de la déchéance du corps crucifié : corps amaigri, déformé, creusé par la douleur, mains et pieds arqués,chairs grises et meurtries par les clous, sang, pustules (ergot, maladie du seigle). La prédellereprésente la mise au tombeau et sous entend la résurrection à venir. Otto DIX cite très directement

Dans les écrits exégétiques médiévaux, le pain est la grâce spirituelle concédée à qui pratique la contemplation la plus élevée, et il est le Christ lui-même. Il représente la charité, la consolation de celui qui a faim au sens physique et spirituel, la compréhension des Saintes Écritures. Il figure dans les représentations de repas auxquels Jésus-Christ prend part, il y fait référence à l’eucharistie. Panier empli de miches de pain Il est l’emblème des œuvres pies ou bonnes œuvres. Les gâteaux

s’allie dans leur poésie à la lumière de la foi, et c’est cette fusion du soleil et du sang qui fait l’originalité profonde de leur œuvre. Moïn BACHICHOU, en proclamant : « Saignons, à Feth, Nous mourrons si nous pansons la blessure. » Révèle la fécondité de la souffrance, le feu sacré qui jaillit de la douleur, répercutant le cri de Mahmoud DARWISH qui narre la Passion de son peuple, crucifié comme le Christ mais comme lui immortel. « Et si je brûlais sur la croix de ma douleur Je ressuciterais

bonheur dans le dépassement de soit et des contraires . Dans le poème génie ' il a purifié les.. ' c'est le rapport avec le christ Après le déluge il fait référence a eucharistie. Il y a des récurrences d'un poème a l'autre . Ligne 4, terme station, qui évoque les stations du chemin de crois ( Jésus ) Ligne 15 terme Adoration, qui se refaire a l'adoration du christ, par les rois mages et les bergers, c'est une scène qui est souvent représenté en peinture, sauf que la elle est congédié, puisqu'il

Goriot : « bleus vivaces » → «  girs de fer » → Balzac explique que la mort est en action dans le personnzge où la vie s'éteind peu à peu. b) Père goriot= figure pathétique → christ de la paternité. → Goriot présente stigmates du christ de la paternité : « ses larmes de sang et ses yeux » thème de sang introduit par « bordure rouge » = martyr qui va mourir. Balzac définissant son œuvre comme : une effroyable tragédie parisienne » . les ressorts de la tragédie furent définis par Aristote

quête du Graal : Elle symbolise à la fois la curiosité intellectuelle et l'élan de l'âme vers Dieu. (coupe qui a contenu le sang du christ lors de sa crucifixion.) Le Graal est un objet

Je ne pouvais me sauver moi-même. Ro.3/23: "Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu." Seul Jésus a pu me sauver. Ro. 6/23: Or, "le salaire du péché, c'est la mort, mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus-Christ. J'allais vers la mort spirituelle et éternelle. Je ne pouvais pas me sauver moi-même de cette mort par mes bonnes actions, ni par mes prières, ni par mes efforts, etc... Le seul moyen d'échapper à cette condamnation a été de me repentir

de Saint Jean l'Évangéliste qui vient ponctuer le Nouveau Testament. Il se distingue des Evangiles et des Actes des apôtres par un symbolisme beaucoup plus poussé. Saint Jean relate ici des révélations qui lui auraient été faites après la mort du Christ. Le texte de l'Apocalypse comprend deux parties. La première, assez brève, est une sorte d'introduction intitulée "Lettres aux Eglises d'Asie". Cette partie n'est pas la plus intéressante et n'a pas été très exploitée sur le plan artistique. La seconde