Sartre Le Regard Des Autre

Au delà des multiples reniements, la pensée de Sartre se caractérise par une réflexion sur la subjectivité et la liberté La subjectivité Il est nécessaire de supposer la conscience pour rendre compte de l'être humain et de ses productions. La subjectivité est un dépassement (transcendance). Elle est créatrice de ses propres normes. L'homme n'est pas prédéfini. Il se définit par ses actes et ce qu'il fait de sa vie. L’homme n’est rien d’autre que son projet, il n’existe que dans la mesure

constitue un être qui est fondamentalement « être avec». D’où la nécessaire présence d’autrui qui répond à la structure fondamentale de l’homme. Mais qui est autrui ? II. Définition : Autrui et son altérité L’altérité est le fait d’être autre (alter = autre), d'être ce qui est différent et distinct. Autrui, c’est l’autre, c’est-à-dire, celui qui n’est pas moi : c’est le différent. Mais tout ce qui se distingue de moi (pierre, animal…) n’est pas automatiquement autrui. Autrui suppose toujours une

Descartes, Kant, Hegel, Heidegger, Marx, Nietzsche, Sade, Sartre A influencé Butler, Camus, Friedan, Greer, Kristeva, Paglia, Rich, Sartre, Wittig Simone de Beauvoir (de son nom complet Simone-Lucie-Ernestine-Marie Bertrand de Beauvoir), née le 9 janvier 1908 à Paris et morte le 14 avril 1986 à Paris, est une philosophe, romancière, épistolière, mémorialiste et essayiste française. Elle a partagé la vie du philosophe Jean-Paul Sartre. Leurs philosophies, bien que très proches, ne sauraient être

de choses matérielles (étendue des corps, figure, mouvement). -Ces idées ne viennent pas de moi - je ne contribue nullement a leur représentation en moi. -Si je ne suis pas cause de ces idées, je dois alors supposer qu'elles proviennent d'une autre substance que de moi-même. -2 choix: a) Les idées proviennent de la chose réelle et objective b) proviennent de Dieu. -comme dieu n'est pas trompeur, il ne peut m'envoyer des idées de choses non conformes avec la réalité. -Montre le repli

l'isolement physique ou psychologique d'une personne, voulue ou non voulue. En regroupant ces termes, nous sommes amenés à poser la question : "Est-ce dans la solitude que l'on prend conscience de soi ?". Or, peut-on dire qu'il y a un procédé plus sûr qu'un autre pour prendre conscience de soi ? La question est de savoir comment prendre conscience de soi. Dans un premier temps, nous verrons que la solitude semble permettre une prise de conscience de soi immédiate. Or la solitude ne serait-elle pas, au contraire

l’expérience de Descartes, celle de l’introspection, il essaie de regarder l‘intérieur de lui-même afin d’y découvrir ce « moi » que Descartes appelle un Cogito. Pour que Descartes ait raison, il faudrait qu’on puisse expérimenter l’impression d’une permanence de la conscience, que l’on puisse faire abstraction de tout le reste. Mais lorsque l’on se penche sur soi, nous dit Hume, on bute toujours sur une perception particulière ou sur une autre. Ce peut être une sensation (froid, chaud..) une émotion (douleur

et donc notre existence en tant qu’individu est déjà déterminé à fortiori par nos parents. De plus, on nous attribue dès lors un nom et un genre qui nous place déjà dans une case préfabriqué où nous devrons rester toute notre vie généralement. D’un autre côté, nous pouvons observer que notre conscience morale a elle aussi été façonnée par les autres. En effet, si l’on admet la deuxième compartimentation freudienne de l’esprit, alors le Surmoi serait alors le trieur de nos désirs profonds vers notre

sentiment tout à fait subjectif qui peut être trompeur. L'identité que tout homme se donne est instable car elle change au gré de ses désirs. Il est donc compliqué de prendre conscience de soi lorsque que celle ci repose sur la prise de conscience d'un autre tandis que nous agissons comme autrui nous voit. Est-ce que l'Autre pourrait donc me permettre d'être certaine de ce que nous sommes ? Pour démontrer sa thèse, Hegel utilise un mode de raisonnement déductif. Il déplace son analyse de la conscience

singulier. Il sutilise donc sans dterminant et toujours au singulier. Il signifie lautre homme, lautre sujet, celui qui est comme moi mais qui nest pas moi autrui, en effet cest lautre, cest--dire le moi qui nest pas moi ... et que je ne suis pas (Sartre, Ltre et le nant). Il se prsente ainsi comme mon alter ego. Le concept dautrui implique ainsi la fois une ressemblance (physique, mais surtout spirituelle conscience, raison, sentiment de libert) et une altrit (diffrence). A Autrui et conscience

active pour la vie et la croissance de ce que nous aimons.  Erich Fromm (psychanalyste américain d’origine allemande, 1900-1980) Si nous voulons apprendre comment aimer, nous devons procéder de la même manière que pour apprendre n'importe quel autre art, à savoir la musique, la peinture, la charpenterie, ou l'art de la médecine ou de la mécanique.  Erich Fromm (psychanalyste américain d’origine allemande, 1900-1980) Aimer quelqu'un ne relève pas seulement de la puissance du sentiment mais