Sartre Liberté

La liberté est-elle un fardeau ? « Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune. »: Voici comment commence la Déclaration des droits de l'Homme et du citoyen du 26 août 1789. En effet, cet article est le fondement de nos sociétés actuelles. Mais que ce fut laborieux ! Il aura fallu des siècles de protestations, de batailles et des révolutions pour rendre se droit acquis : pendant longtemps les sociétés ont

qui va cacher le désir. Le déplacement : la pensée inconsciente apparaît dans un détail très banal. La contingence : le lieu de tous les possibles, dans lequel la liberté peut s’inscrire. Fait que les choses puissent être autrement qu'elles ne sont actuellement. La mauvaise foi : fuite face à la prise de conscience de sa propre liberté, car cela suscite l'angoisse devant un champ infini de possibles. I. CONSCIENCE ET INTERIORITE A. LA CONSCIENCE, UNE DONNEE IMMEDIATE Conscience = simple

La liberté On peut d'abord souligner une évidence de la liberté : chacun fait l'expérience de sa propre liberté. Pourtant, il est difficile de définir précisément cette liberté : s'agit-il d'un pur exercice du choix, ou bien de choix réalisés en connaissance de cause ? Par ailleurs, dans de nombreux cas, l'homme se croit libre alors qu'il est déterminé par des causes qu'il ignore : la liberté peut-elle être illusoire ? Enfin, l'homme vivant en collectivité, il est possible de se demander si la

obstacle c'est le conflit ou la guerre.: = Les guerres sont elles un effet de la nature des hommes? Nature ou culture? Mais y a-t-il une nature de l'homme? Un effet est produit par une cause: le déterminisme s'exerce-t-il dans l'humain. Voir Sartre, la condition humaine. ENJEU: Si les guerres sont causées par la nature de l'homme peut-on envisager leur disparition? -Si les guerres sont un effet d'autre chose, la rareté par exemple, ne pourra-t-on les éviter en produisant davantage

problème, la question de la question, suis-je responsable de ce dont je ne suis pas conscient. L'inconscient est-il une excuse? Demandez-vous une excuse de quoi? Sinon d'une action qui a des conséquences, d'une action qui vient de l'homme, de sa liberté: il l'a décidée, il en assume la responsabilité. Si un autre (qui n'apparaît pas) a participé à la décision n'est-ce pas une excuse? (je ne l'ai pas fait exprès , je ne savais pas...). Sommes-nous responsables de nos passions? Voir le cours

déterminés ? La conscience rend-elle l’homme libre, et pourtant ne dit-on pas aussi que la conscience nous pèse ? La morale ne conciste-telle pas a en sentir le poid et la force contraignante ? Pour cela, il faudra définir ce que l’on entend par liberté : la possibilité de choisir, rapporté au libre arbitre, propriété de la conscience du pouvoir choisir, de vouloir une chose ou une autre ? Ou bien comme le pense Spinoza, la faculté de se déterminer par une action rationnelle et éclairée. Et qu’est-ce

l’auteur » : Bergson présente la décision comme le moment de la liberté, dont « l’âme », l’essence même de l’homme, est le seul moteur. La notion de décision amène donc la question du signe, de l’indice de la liberté humaine. Bergson cherche la liberté dans le moteur de la décision, mais il avance également la notion d’ « acte », qui seul atteste de la liberté. Il ne semble donc pas y avoir de décision sans action, ni de signe de la liberté sans décision. On peut donc se demander où (où plus exactement

Peut-on être plus ou moins libre ? Tout d'abord, la liberté est perçue différemment selon l'individu. Il peut choisir s'il veut être « plus ou moins libre », expression peu claire certes, mais il y a des degrés à celle-ci. Être libre signifie la faculté d'agir selon la volonté de l'Homme en fonction des moyens dont il dispose sans être entravé par le pouvoir d'autrui. Il est libre lorsqu'il agit à sa guise dans ses faits et gestes. La liberté serait le résultat d'un travail individuel ou collectif

l’essence d’un objet est définie à l’avance, donc avant sa construction. Rien de plus ne pourra changer l’essence d’un objet suite à sa construction. C’est bien tout le contraire du sujet. L’homme n’est pas défini à l’avance, il est unique. Comme l’a dit Sartre, "son existence précède son essence", donc avant de naître, l’homme existe déjà. De plus, le sujet évolue sans arrêt, tout au long de sa vie notamment grâce à ses expériences acquises pendant les différentes étapes de sa vie (l’enfance, l’adolescence

Huis clos, Sartre . Etude de texte n°4 LE DENOUEMENT (de la p.92 « le beau couple » à la fin) |I) Une étrange relation à trois… | | |