Sartre Vs Rousseau

Microsoft Word - Document1S9 : Méthode, « La dissertation » Sujet : J.P Sartre affirme à la fin de son autobiographie Les Mots : « Longtemps j’ai pris ma plume pour une épée : à présent je connais notre impuissance. » En quoi cette pensée du philosophe éclaire-t-elle votre lecture de la DDFC d’Olympe de Gouges, et de la littérature d’idées en général. A. 1° étape : analyser le sujet 1. Trouver les mots clés 2. Définir les mots clés : sous forme de CM pr chacun des mots (+ exples pr

trop rapide, il vient vers les consommateurs d’un pas un peu trop vif, il s’incline avec un peu trop d’empressement (…). Mais à quoi donc joue t-il ? Il ne faut pas l’observer longtemps pour s’en rendre compte : il joue à être garçon de café.” écrit Sartre en 1943 dans l’Etre et le Néant. Selon lui, l’homme joue plutôt que d’exister par peur d’affronter sa liberté. Mais à quoi revient le fait de “ jouer le garçon de café ” ? A priori, à s’identifier au produit social que l’on est sous le regard d’autrui

ne fit plus attention aux nvtés : risque d’accident. [Etude du texte de SARTRE] On pt penser que l’id du « moi » n’est pas tellement ds le moi logique (cf. KANT) qui rassemble la multiplicité ss l’un (=je). La véritable id du moi n’est-elle pas plutôt ds le faite d être une pers qui s’engage ds la vie. On dira que id est tjr en construction alors l’être humain ne pt pas avoir une nature. (Ces idées cf. dans le texte de Sartre «  l’être et le néant »). La csce à la possibilité permanente de faire

aporie Est-ce que l’œuvre n’est que le produit de l’intention de l’auteur ? L’auteur va se séparer de son œuvre puisqu’il n’est pas lecteur de son texte Le livre a besoin du lecteur pour exister La création n’est pas une intention finie //Sartres, Les mains sales, q° de l’interprétation : mauvaise compréhension de l’œuvre, interprétée comme anticommuniste => pas la visée de l’auteur, il est responsable de l’ambigüité de l’œuvre et de sa mauvaise lecture : l’auteur ne contrôle pas tout.

(Harvey) ; Pascal s’interroge sur la place de l’Homme dans ce grand tout opposition entre nature humaine et nature animale (Descartes), l’homme se distingue de l’animal car il est capable de parler problème de la grâce divine : cœur des débats (Jésuites vs Jansénistes mais aussi dogme de la prédestination chez les Calvinistes) : les possibilités de la nature humaine sont mises en question (ex. : Pascal dans Les Pensées présente l’Homme comme misérable sans la présence divine) idéal du savoir-vivre : l’honnête

vertueuseL’individu & la société· L’individu doit se dissimuler à l’égard de la société· Univers faux-semblants· On a une morale intérieure et extérieure· Morale extérieure est sauvé la morale intérieure n’est pas. · Choix entre vertu VS passion et devoir VS amourLa cour· Double jeu & dissimulation· Y règnent l’apparence, la beauté mais aussi la complexité· Univers faux-semblant· Chacun cache ssa vie intérieure· Espace dangereux· Car les hommes sont dangereux· Le Jansénisme · L’homme est coupable

dans quelle mesure la littérature est-elle un bon moyen de défendre des idées I- L'écriture engagée Depuis très longtemps, les romanciers (Dickens, Rousseau, Zola...) mais aussi des poètes, des dramaturges utilisent leurs oeuvres à des fins « sociale », en intervenant et/ou dénonçant certains abus de la société dans leurs écrits. A- Les moralistes Parlez de Molière par exemple : véritable moraliste. Désir de « corriger les vices des hommes » Castigat ridendo mores. Par le rire

majuscule, les Idées sont les modèles des choses, existant en soi, que l'âme contemplait avant son incarnation. Nous fabriquons les concepts, nous contemplons les Idées. I- L'écriture engagée             Depuis très longtemps, les romanciers (Dickens, Rousseau, Zola...) mais aussi des poètes, des dramaturges utilisent leurs oeuvres à des fins « sociale », en intervenant et/ou dénonçant certains abus de la société dans leurs écrits.             A- Les moralistes Parlez de Molière par exemple : véritable

partir de 1920 –, elle était la plus jeune dans sa discipline. Elle fut reçue deuxième ; le premier était quelqu’un dont elle venait de faire la connaissance et qu’elle ne devait plus quitter sa vie durant : Jean-Paul Sartre. L’agrégation assure une sécurité économique solide : elle et Sartre sont professeurs de lycée dans les années 30 et 40, d’abord en province, puis à Paris. Mais le professorat n’est qu’un gagne-pain. Dès leur enfance, tous deux se sont senti la vocation d’écrivain. Beauvoir investit

d’autrui. Sartre : l’être-pour-autrui VS Guilloux : l’être-par-autrui (cf. philosophie de Levinas : antinomies de la présence à soi ne trouve remède que dans la présence d’autrui et dans la présence à autrui !) Unité et diversité de l’œuvre 14 romans ou longues nouvelles, plus ses contes et nouvelles de jeunesse, Le Sang noir oblitère le reste de l’œuvre. C’est le roman à partir duquel tout découle et à partir duquel le reste de l’œuvre reste à découvrir. Œuvre qui frappe par sa diversité : vs Céline