Satire Ironie

avec des préjugés sur l'innocence (cf. Eden), et plein d'illusions sur la réalité. Problématique : de quelle manière Voltaire s’approprie l’univers et les caractéristiques du conte traditionnel pour en faire une parodie dans l’objectif de faire une satire de la société ? Annonce du Plan I. Les caractéristiques du conte       La description du lieu en fait un microcosme, un endroit merveilleux et coupé du monde et de la réalité. On retrouve la formule traditionnelle: « il y avait », les personnages

dell'arte. En bref, le thème de la pièce est lancé. Une ambivalence Sorte de parallélisme (Arl. répète à la forme affirmative) → c'est une forme d'invers° (Arl. assume son destin contrairement à Iphi.) → façon d'obéir à son maître avec une certaine ironie. "Nous" exprime un rapport d'égalité, un même péril. L'interrogat° d'Iphi. souligne sa détresse : le valet prend alors la forme du confident + importance donnée au lieu (déictique : cette île) → sorte de clin d'œil au spectateur. À travers le mot

Cunégonde rougit, lui aussi Cunégonde dit bonjours, il ne sait pas quoi dire Il copie ce que fait Cunégonde mais arrive à lui trouver des sentiments Rapport féminin-masculin : mijoginisme de la part de Voltaire 2. La narration est ironique ? Ironie : dire une vérité générale en sachant que le lecteur comprendra le contraire Destinateur -> destinataire Voltaire -> lecteur a. L’art de ne pas nommer avec exactitude b. Les personnages sont placés entre hypocrisie et gaucherie Très

luxe. Les moutons volent. La ou les gens vivent les le totale respect des uns en vers les autres. Toutes les descriptions sont exprimé a la perfection exagérée ( ironie ). Candide est naïf et n’a pas d’esprit critique.  CONCLUSION : Dans cet extrait de Candide, Voltaire nous livre un procès de la société de son temps. La satire est constructive, et les nouvelles valeurs sont proposées au lecteur. C’est le combat des philosophes de Lumières.

- rire sous cape - rire du bout des lèvres - rire à gorge déployée - rire jaune.Pince-sans-rire - boute-en-train - bouffonDivertissement - allégresse - joie - euphorie - exultation - bonheur - insouciance - gaieté - hilaritéComédie - farce - ironie - satire - dérision - autodérision - subversion - contestation - caricatureSe moquer - blaguer - plaisanter - caricaturerEsprit de sérieux - sens de l'humourRire est le propre de l'homme - Jean qui rit, Jean qui pleure - Mieux vaut en rire qu'en pleurer

car il est moins épais et plus facile à lire. Il est essentiellement composé d’articles pamphlétaires sur le thème religieux et nous laisse deviner que la visée critique était déjà bel et bien présente au 18ème. Dans cet extrait, l’auteur fait une satire de la torture, en employant le registre ironique pour faire ainsi ressortir d’une part la cruauté de la torture et d’autre part la banalisation de celle-ci au sein de la société. Enfin, pour renforcer son pamphlet, l’auteur réalise un vrai plaidoyer

voitures, son manque de courage (l.9 à 11). Ce porteur d’auréole affiche une conscience plutôt élastique, tant il se satisfait aisément de la fange où il est tombé. Ce comique reste le plus souvent implicite, mais distille une ironie subtile et cocasse dans l’ensemble du poème. Ironie et immoralité : On peut considérer le texte à 2 niveaux successsifs : dans un premier temps, on peut n’y voir qu’une scène plaisante née du goût de Baudelaire pour la mystification. Il la dirige contre lui-même , puisqu’il

LECTURE ANALYTIQUE n°  : « La Cour du Lion »,  », Fables, VII, 7 LF s’est probablement inspiré d’une fable de Phèdre, Le Lion régnant. Problématique : quelle est la portée satirique de cette fable ? Comment LF fait-il « passer » cette satire ? 8Un récit vif et animé 1. Structure de la fable 9Vers 1-13 : présentation de la cour 1014-32 : intervention des animaux (ours, singe, renard) 1133-36 : moralité explicite 2. Procédés d’animation a/ un rythme qui tient le lecteur en éveil

hommes peuvent aspirer à défaut du « vrai bonheur » évoqué au début de l’extrait. 9) – Quels éléments représentent le bonheur ? Quel pronom est employé pour désigner les hommes ? Pourquoi ? Que peut-on dire de leurs occupations ? II) – Une satire de la guerre Pour Voltaire, la guerre représente le mal absolu, l’image de la folie meurtrière et du comportement absurde des hommes. Aussi, comme dans le chapitre III de Candide, retrouvons nous une critique virulente de cette pratique cautionnée

et l’hypocrisie. Cette scène expose plusieurs personnages dont Célimène et certains de ses prétendants. En quoi cette scène de conversation mondaine permet-elle à Molière de faire la satire de la Cour ? Nous verrons que cette scène mondaine nous donne à voir une Célimène moraliste qui permet à Molière de faire la satire des gens de la Cour de Louis XIV en usant de la caricature et de l’ironie. I/ Une scène de mondanité a) Célimène : le centre de la conversation On peut voir l’absence de mise en