Satyagraha

Beaufort, il rejoint l'université de Fort Hare, la seule à accepter les Noirs. Durant ses années d'école supérieure, il forgea ses idées morales en soutenant la doctrine non-violente de Gandhi, puisqu'il était inspiré par cette mise en œuvre du «satyagraha» en Afrique du Sud. Nelson Mandela dans le monde et dans son pays d'origine était surnommé «Madiba» (nom lui étant donné dans son clan tribal), mais il était aussi appelé par d'autres appellations comme le «Père de la Nation arc-en-ciel», puisqu'il

Gandhi durant son séjour à Londres avait était influencer par les moyens de luttes occidentaux, il avait appris que pour battre l’adversaire il ne fallait pas utiliser la force morale mais physique. Il va appeler cette forme de résistance « le satyagraha » qui signifie « la force de la vérité ». La répression du gouvernement fasse a cette résistance ne se fait pas attendre, des milliers d’indiens sont jeter en prison. Mais suite à une nouvelle clause a la loi précédente qui interdit l’entrée du

Non » à la violence ; sans s’exprimer sur les actions qui doivent accompagner ce refus. Ces deux réalités ont été résumées par la principale figure de la non-violence (Mahatma GANDHI) en deux concepts inséparables : AHISMA (1) et SATYAGRAHA (2). Paragraphe1 : AHIMSA Gandhi n’a pas inventé la Non-violence ; le terme AHIMSA est de tradition hindou. Il comprend le préfixe privatif a = Non et d’un dérivé de la racine himsa qui signifie nuire, faire du mal.

que subissaient les communautés indiennes et africaines. C'est au cours de ce combat, où il n'hésita pas à contourner les lois à ses risques et périls, qu'il élabora une nouvelle méthode de lutte contre l'iniquité : la résistance non violente ou satyagraha (la force de l'âme). Il parvint ainsi à améliorer les conditions sociales de ses compatriotes, obtenant par exemple la reconnaissance des mariages indiens et l'abolition du suffrage censitaire imposé à cette minorité. Pétri de culture indienne

née d’un quadruple héritage spirituel et philosophique : le jaïnisme transmis par sa mère, le bouddhisme, l’enseignement de Jésus et la pensée de Tolstoï. Il a introduit un nouveau type d’action politique, fondée sur la recherche de la vérité ou satyâgraha, indissociable de l’Ahimsa, le principe de non-violence, exigeant de faire appel à sa conscience. Son œuvre rappelle que l’exigence de non-violence est à envisager dans sa globalité et concerne donc toute forme de vie, qu’elle soit humaine, animale

deux premiers séjours en prison. C'est au cours du deuxième qu'il va découvrir le traité de désobéissance civile de Henry David Thoreau (philosophe américain). Par la suite, Gandhi développa l'idée de désobéissance civile à travers le concept de Satyagraha (littéralement la voie de la vérité), qui lui permit de mener sa lutte non violente contre l'apartheid en Afrique du Sud et de s'opposer à la politique coloniale du Royaume-Uni en Inde, puis pour l'indépendance de l'Inde. Gandhi proposait les

originaire des Indes. Affecté par le racisme de la part des Blancs, il s'érige en défenseur des immigrants indiens et construit une doctrine originale basée sur les principes de la non-violence, la maîtrise de soi et le respect de la vérité (la «satyagraha»). Il met en avant de cette doctrine la désobéissance passive et collective pour combattre les discriminations et remporte de grands succès face aux gouvernants britanniques. Mais c'est au prix de plusieurs séjours en prison. Un héros A son

lui vaudra en 1907 ses deux premiers séjours en prison. C'est au cours du deuxième qu'il va découvrir le traité de désobéissance civile de Henry David Thoreau. Par la suite, Gandhi développa l'idée de désobéissance civile à travers le concept de Satyagraha (littéralement la voie de la vérité), qui lui permit de mener sa lutte non violente contre l'apartheid en Afrique du Sud et de s'opposer à la politique coloniale du Royaume-Uni en Inde, puis pour l'indépendance de l'Inde. Le 17 mars 1930, Gandhi

besoin de son prochain pour avancer. Cette philosophie est liée au concept de la non-violence de Gandhi qui a énormément influencée la politique de Nelson Mandela en Afrique du Sud. Il emprunte deux principes à ce concept tels que la Savodaya et la Satyagraha dans sa manière de diriger. Le premier principe implique « la prospérité pour tous ». Il s’agit de revendiquer la notion d’équité et d’égalité et de combattre le racisme sur toutes ses formes. Le deuxième principe est celui de la non-violence par

exerçait la profession d'avocat et se battait contre la discrimination | | |raciale envers les nombreux Indiens établis dans ce pays. Gandhi, adopta la politique de résistance passive | | |(satyagraha) après le massacre d'Amritsar en 1919, alors que l'armée britannique avait ouvert le feu sur des | | |protestataires non armés. | L'objectif