Savoir-être

philosophe est essentiel, on ne peut rien enlever de cette réalité sans la supprimer elle-même, par opposition avec l'accidentel où l'on peut ici ôter quelque chose d'une réalité sans pour autant la détruire elle même. Toutes nos qualités peuvent alors être considérées comme accidentelles, car elles peuvent changer ou disparaître et je demeure moi. Pascal cherche alors où se situe ce moi "Où est donc ce moi, s'il n'est ni dans le corps, ni dans l'âme ?', sans jamais vraiment y trouver de réponse. L'identité

CHAPITRE 1 - L'ART ▪ Depuis la préhistoire jusqu'au 19ème siècle , la conception de l'art doit forcément s'inspirer de la nature et plus généralement de la réalité. ▪ Platon reproche au artiste d'être de simple imitateur. ▫ Pourtant s'inspirer de la réalité est uniquement en fabriquer des imitations parfaites ➡oiseaux picorant les raisins sur la toile ➡mauvais signe➡un artiste qui veut juste piéger un oiseau ne révèle rien de plus que de l'habilité technique. ▪ L'abstraction en peinture

telle rien de nouveau aux enfants ; mais elle sert à limiter leur liberté sans règle ». D’après Kant, l’homme est fait de telle manière à ce qu’il est sauvage par nature, et que celui-ci se doit d’être civilisé afin de ne pas être qualifié de sauvage « L’homme doit être discipliné car il est par nature grossier et sauvage ». Kant souligne aussi le fait que la discipline doit s’appliquer de telle manière à ce que la liberté de la personne n’en prennent pas un coup « La discipline s’applique au jeune

Etre soi-même est-il un idéal ? Idée de l’intro : Parler de soi n’est pas chose aisée. Il faudrait être capable de prendre un recul suffisant à soi-même tout en explorant le plus profond de soi-même. Il s’agirait donc de sortir de soi-même pour mieux y retourner. Au contraire, les idéaux, s’ils naissent de notre esprit, ne sont portés directement que sur le monde qui nous entoure. En ce sens, ces deux notions apparaissent a priori contradictoires. Alors, si ces deux notions sont contradictoires

productions humaines et plus précisément les œuvres de l’esprit. En ce sens elle est le résultat de l’activité humaine, elle n’est donc pas par elle-même mais suppose un agent qui la produise, cet agent pouvant être un individu ou un ensemble d’individus, la condition étant que cette production doit être reconnue et partagée par un groupe humain. La culture est également synonyme d’éducation, de formation, d’instruction, on considère alors qu’elle est une transformation de la nature, un développement. Enfin

retenir par cœur, des savoir-faire vides de sens, qui trop souvent ennuient l’élève, et ne lui donnent pas l’envie d’apprendre. Au contraire, l’approche par les compétences lui apprend à situer continuellement les apprentissages par rapport à des situations qui ont du sens pour lui, et à utiliser ses acquis dans ces situations. (3) Il s’agit enfin de certifier les acquis de l’élève en termes de résolution de situations concrètes, et non plus en termes d’une somme de savoirs et de savoir-faire que l’élève

l'intellectualisme. Nous nous efforcerons ensuite d'étudier les lois de la matière en tant que lois mentales pour les empiristes. Puis, nous nous demanderons en quoi l'empirisme est une réaction contre Descartes. Nous nous poserons la question de savoir pourquoi la problématique de l'état de conscience des empiristes n'est pas compréhensible sans la conscience d'un état. Nous verrons dans un autre point la question du monde comme sujet de la conscience. Nous terminerons notre étude par la terminologie

Bergson, L'évolution créatrice, chapitre IV Matière ou esprit, la réalité nous est apparue comme un perpétuel devenir. Elle se fait ou elle se défait, mais elle n’est jamais quelque chose de fait. /Telle est l’intuition que nous avons de l’esprit quand nous écartons le voile qui s’interpose entre notre conscience et nous. Voilà aussi ce que l’intelligence et les sens eux-mêmes nous montreraient de la matière, s’ils en obtenaient une représentation immédiate et désintéressée./ Mais, préoccupée

Remarquons que l'artiste a toujours passé pour un « idéaliste ». On entend par là qu'il est moins préoccupé que nous du côté positif et matériel de la vie. C'est, au sens propre du mot, un « distrait ». Pourquoi, étant plus détaché de la réalité, arrive-t-il à y voir plus de choses ? On ne le comprendrait pas, si la vision que nous avons ordinairement des objets extérieurs et de nous-mêmes n'était une vision que notre attachement à la réalité, notre besoin de vivre et d'agir, nous a amenés

Il est nécessaire, afin de comprendre le sens de la question de se demander pourquoi on pourrait considérer immédiatement la matière comme un obstacle ; Se parlant ainsi, il opérait cette mise à distance de son propre corps manifestant par l’activité de son esprit la nécessité de s’en détacher, de ne plus subir ses effets. Le corps, comme simple matière semble alors se présenter comme un obstacle qu’il faut maîtriser ou dominer. Vous pouvez vous reporter aux analyses de Platon par exemple lorsqu’il