Schéma conceptuel

Sivard Luc 14/10/12 1ère ES DOSSIER : Schéma Directeur Givors – Vienne – Roussillon Synthèse, analyses et principaux enseignements 1. Vocabulaire (expliquer les sigles et donner une définition). SCOT : Schéma de cohérence territorial → En France, le schéma de cohérence territoriale ou ScoT est un document d'urbanissme qui détermine, à l’échelle de plusieurs communes ou groupements de communes, un projet de territoire visant à mettre en cohérence l'ensemble des politiques sectorielles

destiné à cadrer l'aménagement du territoire sur l'île. C'est un document important qui a valeur de Directive territoriale d'aménagement de Schéma de mise en valeur de la mer de Schéma régional d'aménagement et de développement du territoire et de Schéma régional de transport. Il a vocation à se substituer au Plan de développement de la Corse et au Schéma d'aménagement de la Corse actuels. Il est préparé par l'Assemblée territoriale de Corse et adopté après avoir été soumis pour avis au Conseil

troisième alinéa, il est ajouté un paragraphe II et un paragraphe III ainsi rédigés : « II. ― Pour l'élaboration des schémas de cohérence territoriale, sont, en outre, associés dans les mêmes conditions : « 1° Les communes limitrophes du périmètre du schéma ; « 2° Les syndicats mixtes de transports créés en application de l'article L. 1231-10 du code des transports lorsque le schéma est élaboré par un établissement public qui n'exerce pas les compétences définies aux articles L. 1231-10 et L. 1231-11

plan local d'urbanisme ayant valeur de schéma de cohérence territoriale, dans l'hypothèse où un PLU élaboré par un EPCI n'est pas situé dans le périmètre du schéma de cohérence territoriale. Le nouvel article R 371-16 du Code de l'environnement définit la Trame verte et bleue , créée par la loi no 2010-788 du 12 juillet 2010 dite « Grenelle II », comme étant « un réseau formé de continuités écologiques terrestres et aquatiques identifiées par les schémas régionaux de cohérence écologique ainsi

Le rôle de cohérence du SCoT – Avis en tant que représentant des intérêts des Maires Le projet de loi du gouvernement concernant la confortation du rôle de cohérence du Schéma de Cohérence Territoriale requière dans sa phase de concertation l’avis des Maires, principaux intéressés de la mise en place d’une nouvelle législation sur cet outil à l’usage des territoires. Avis orientation générale et disposition technique Sur l’orientation générale de la proposition de loi, les maires saluent la

|montagne et au littoral |Schémas de services collectifs (SSC) | | |Règles générales de l’urbanisme | | | |Directives territoriales d’aménagement (DTA) |Schémas interrégionaux d’aménagement et de | | |Schémas ayant les mêmes effets (Schéma directeur de la|développement du territoire (SIRADT)

cas il appartient à l’Etat, sauf exception. A savoir : - - PLU (Plan Local d’Urbanisme)  96% du territoire utilise ce plan pour organiser les communes. Uniquement au niveau communal SCOT (Schéma de Cohérence Territoriale)  permet une cohérence entre plusieurs communes. - SMVM (Schéma de Mise en Valeur de la Mer)  Ce sont des outils de gestion intégré, cad que ce sont des outils intercommunaux, et intègre la planification sur terre et en mer.  Plus de 400 communes sont intégré

et d’embellissement. Les contraintes de l’après 2ème guerre mondiale : besoins accrus : reconstruction, exode rural, décolonisation ZUP (1960) urbanisme pratique Le tournant de 1967 : loi dite d’orientation foncière. Création des * SDAU : schéma directeur d'aménagement et d'urbanisme, * POS : Plan d’Occupation des Sols * ZAC : Zone d’Aménagement Concerté (organisation fonctionnelle des activités humaines et sociales) Loi de décentralisation 1983 : c’est le Maire qui décide. Les

constructions, on y prévoit l’extension limitée de l’urbanisation, soit on constitue un hameau nouveau intégré à l’environnement. Cette extension nécessite trois conditions : - Il faut qu’il y ait un PLU, - OU un SCOT, un Schéma d’Aménagement Régional (SAR), Schéma de Mise en Valeur de la Mer (SMVM), - OU une autorisation du Préfet. Il y a aussi les espaces remarquables. La Loi Montagne : article 145, loi du 09/01/1985 Ce sont des documents territorialisés

salés et plans d’eaux ayant une superficie supérieur à 1000 hectares. ! Faisant parti du domaine public, le littoral est à la charge de l’Etat qui, a mi en place différents dispositifs pour le préserver à commencer par des règles général comme les schéma de mise en valeur de la mer, les zones d’intérêt national écologiques, faunistiques et floristiques, mais aussi suivant les directives communautaires. Il a, par la suite, adopté une loi propre au littoral, appelé loi littoral en 1986 dans le but de