Schema Narratif Le K

C1 -4 ORAL / expression (parler) Réaliser des actes de parole pertinents dans une situation d’échange. Dire pour s’approprier la langue. C2-1 -Reproduire un énoncé de façon intelligible. OBJ-1 -Produire un énoncé en respectant le schéma intonatif. OBJ-2 -Associer le verbal et le non verbal dans une situation d’élocution. OBJ-3 -Restituer un message. OBJ4 -Se présenter, présenter son environnement (famille, école, loisirs…). OBJ-1 -Se situer dans le temps et dans l’espace. OBJ-2 -Exprimer

d’absence a. Une mise en suspens de la narration La voix de l’indistinction qui soupire de nos œuvres n’est pas uniquement liée à cette prolifération diverse de la couleur blanche, mais s’immisce, par plusieurs procédés, au sein des éléments narratifs. Des énigmes, des ellipses, des blancs typographiques maintiennent en alerte l’attention du lecteur. La narration laisse en suspens certaines de nos interrogations et se construit autour de non-dits, symbolisés en premier lieu par la présence des

révision précédant les examens de compréhension de lecture. N’oublie pas que tu as droit au roman cette année durant les examens. Donc, plus ton livre est annoté de façon pertinente, plus tu iras rapidement lors des évaluations. Tu utiliseras le même schéma de couleurs jusqu’à la fin de tes lectures. PERSONNAGE  (D) – (ROSE) LIEU – (JAUNE) ACTION – (BLEU) TEMPS – (VERT) OBJET – (MOT ENCERCLÉ AVEC UN STYLO ROUGE) ? INTERROGATIONS – (STYLO ROUGE) |Lire

intention ? b) Relevez une série d’adjectifs qualifiant un plat du deuxième repas. Que constatezvous ? 4. Le second banquet joue-t-il le rôle attendu ? Justifiez votre réponse. ¾º ÇÑ Ö ÙÜ ÕÙ × Ú Ü ¿º ÙØ ÙÖ Ö ×ÔÓÒ× Ð º Ð Ñ Òغ 29 Le discours narratif III. Réactions des convives et du calife 1. Quelles sont les trois réactions successives des convives durant le second repas ? Justifiez vos réponses. 2. Comment le texte présente-t-il le châtiment du second cuisinier comme inévitable ? 3. En

l'enfant de dessiner « tout ce qu'il sait». Il signale les caractéristiques suivantes : • • La «multiplicité des détails » sans tenir compte des proportions et de leur situation respective ainsi qu'un flottement dans l'espace de la page. L' «aspect narratif», les personnages et les objets sont représentés ensemble même s'ils sont éloignés dans l'espace et dans le temps. l'enfant représente dans une seule image de nombreux éléments d'un récit qui apparaissent à des moments différents. Le héros peut même

nouveau problème, inventique, réflexion en commun, prise de décision, éveil à la responsabilité et à l’initiative. Comme le dit un auteur américain (R.-D. Duke), le jeu de simulation pourrait bien être le « langage du futur ». Martine Mauriras-Bousquet K L M     (Haut de la page) Métacognition: activité par laquelle le sujet s'interroge sur ses stratégies d'apprentissage et met en rapport les moyens utilisés avec les résultats obtenus; il peut ainsi stabiliser des procédures dans des processus.   N Notion-noyau:

sont les personnages qui sont « seuls », ceux qui sont en couple, Q ceux qui cherchent à l’être ? –  es personnages sont-ils les mêmes dans le film que dans le roman ? L Quels changements remarquez-vous? 4  ntrigue et schéma narratif : pouvez-vous établir un schéma narratif I pour le roman ? Comment qualifier le contenu de l’intrigue ? 2. Critique, 1959. 4 Séquence 2 – FR01 © Cned – Académie en ligne Temps et espace 3  a narration : le cours du récit est-il linéaire ? Y

vocabulaire des sentiments. On reste donc dans lignorance de ce que personnage lui-même ne connaît pas; sil se pose des questions, on nen a pas forcément les réponses. Ce point de vue subjectif favorise lidentification du lecteur au personnage. «~K attendit encore un instant, regarda du fond de son oreiller la vieille femme qui habitait en face de chez lui et qui lobservait avec une curiosité surprenante, puis, affamé et étonné à la fois, il sonna la bonne. A ce moment on frappa à la porte et un

vocabulaire des sentiments. On reste donc dans l’ignorance de ce que personnage lui-même ne connaît pas; s’il se pose des questions, on n’en a pas forcément les réponses. Ce point de vue subjectif favorise l’identification du lecteur au personnage. « K attendit encore un instant, regarda du fond de son oreiller la vieille femme qui habitait en face de chez lui et qui l’observait avec une curiosité surprenante, puis, affamé et étonné à la fois, il sonna la bonne. A ce moment on frappa à la porte et

flots); et une autre fin fictive, qui est l'arrivée du navire à sa destination en Italie. Cette bifurcation du discours est due à l'intentionnalité de raconter à la fois l'histoire du navire et celle des objets. Nous déduisons donc deux programmes narratifs. Le premier est dit, il est raconté dans l'exposition. Le second est le programme que connote une grande partie de la mise en espace et qui représente la villa à laquelle étaient destinés les objets transportés par le navire. - 135 ­ Si le