Schizophrénie

régional, peut être interrégional. A ce niveau se situent : - Les centres de référence : autisme, premier épisode psychotique, suicidologie, pathologies psychiatriques résistantes (électro-convulsivothérapie, stimulation magnétique transcrânienne), schizophrénie, auteurs d'infractions à caractère sexuel, - La psychiatrie universitaire : formation, recherche. III.13.2.3. Accessibilité des soins Une réelle prise en charge de proximité Garantir aux patients une prise en charge de proximité implique de : -

SITUATION CLINIQUE SCHIZOPHRENIE I.PRESENTATION DE LA PERSONNE SOIGNEE Mr x est âgé de 22ans, il est célibataire et vit chez ses parents. Mr x est le troisième enfant d’une fratrie de 4, ses frères et sœurs sont mariés avec des enfants et ne vivent plus au domicile de leurs parents. Mr x est sous le régime de la Sécurité Sociale ; actuellement il est sans profession, il a arrêté subitement ses études en terminale et depuis il n’a pas cherché à travailler. Mr x est entré dans le service

multiples interventions, dans les centres hospitaliers, les structures sociales, médico-sociales, les PMI... Durant ce stage j'ai été affectée dans le service plurisectoriel de l'aile «DE» ou les patients ont des pathologies différentes telles que la schizophrénie, paranoïa, troubles bipolaires, psychoses chroniques et troubles du comportement. Il s'agit d'un service fermer. -Ce service se compose d'une équipe pluridisciplinaire (médecins généralistes, psychiatres, infirmières, aides soignantes, agents de

compris, qu’il s’agisse des maladies neurologiques (Alzheimer, Parkinson, sclérose latérale amyotrophique, sclérose en plaques, épilepsie, séquelles de traumatisme de la moelle épinière, etc.) ou psychiatriques (dépression, attaques de panique, schizophrénie, autisme, troubles obsessionnels compulsifs, etc.). 6 Chapitre 5 : Experience Lien : https://www.youtube.com/watch?v=GP_1UTaS0lI On peut observer une expérience permettant de d’affirmé que l’écholocalisation est extrêmement précis. Mais il

de mettre de l’ordre dans la psychiatrie qui est souvent critiquée (exemple : équipe de recherche dont tous les membres ont été diagnostiqués comme schizophrènes alors qu’ils ne l’étaient pas et qui ont pu sortir ensuite sous le diagnostic de schizophrénie en rémission : Spitzer a défendu les psys en disant que ces derniers s’étaient joués de l’équipe de recherche américaine car ce diagnostic n’existe pas). Enjeux au niveau de la médicalisation de la psychiatrie Le DSM III est censé permettre

évolution favorable en quelques semaines avec disparition du délire et retour à l'état psychique antérieur. L'évolution dépend de la rapidité de la mise en route d'un traitement adapté. Dans 1/3 des cas, il existe un risque d'évolution vers la schizophrénie, le délire chronique, la bipolarité. Sémiologie : Apparition brutale : de quelques heures à quelques jours Quelques fois présence de prodromes : insomnie, bizarrerie, irritabilité, anxiété 3 signes principaux : Délire polymorphe (thèmes variables

2% à 3% de la population mondiale (Whalley, 2007). De plus, de récentes données épidémiologiques démontrent que chez les enfants, ce trouble est une des quatre maladies psychiatriques les plus communes, le rendant deux fois plus fréquent que la schizophrénie (D’Alessandro, 2009). D’après le DSM IV-TR (Statistical Manual of Mental Disorders), le TOC est défini comme étant une maladie caractérisée pas des obsessions (persistent, often irrational, and seemingly uncontrollable thoughts) and compulsions

groupes que l’on peut identifier au travers des 3 cas explicités dans le livre. 104. Expliquez les 2 profils criminologiques que l’on peut identifier au travers des 2 cas explicités dans le livre. II. Le parricide. 105. Synthétisez chaque cas : - Schizophrénie(Georges) - Paranoïas-psychoses blanches(Antoine) - Impulsivité- intolérance à la frustration(Henri) - Contexte d’exaltation et de désinhibition altruiste(Francine) Pas de pathologie psychiatrique. 106. Quelles sont les théories avancées par

benzodiazepines consécutive à une altercation avec sa soeur qui l'hébergeait. Elle a plusieurs antécédents d'IMV, est en hospitalisation libre (HL) et est suivie en psychiatrie depuis de nombreuses années en intra et extra hospitalier pour une schizophrénie paranoïde avec des troubles délirants persistant (essentiellement à thème de persécution). Mme C dispose d'un statut de majeur protégé (tutelle), est sans activité professionnelle et touche l'allocation pour adulte handicapé (AAH). Objet de

qui sont définis par un trouble ou une violence caractériels. Il existe des difficultés à localiser des symptômes spécifiques, notamment dans certains cas de psychoses (hallucinations ou illusion) qui peuvent survenir lors de troubles comme la schizophrénie, les troubles délirants ou émotionnels, sont liés à un très haut risque de violence sévère sur autrui. Les facteurs d'actes violents, cependant, seraient plus spécifiquement fondés sur des facteurs socio-démographiques et socio-économiques comme