Schizophrénie

 Définition suicide : Le suicide est l’acte délibéré de mettre fin à sa propre vie. Le suicide est souvent commis par désespoir, cause qui peut être attribuée à un trouble mental tel que la dépression, le trouble bipolaire, la schizophrénie, l'alcoolisme ou l'abus de substances1. Des facteurs de stress tels que les problèmes financiers ou des problèmes dans les relations humaines jouent souvent et également un rôle significatif2. Chaque année, plus d'un million d'individus se suicident

dans le service à 7h, je me rends dans le bureau infirmier pour les transmissions. J’apprends que la veille, dans l’après midi le service a admis un nouveau patient : Mr C. Mr C. est un homme schizophrène de 35ans sans femme, sans enfants. La schizophrénie est un trouble appartenant à la catégorie diagnostique des psychoses délirantes chroniques ; elle est principalement marquée par des idées délirantes, reflet d’une perte du contact vital avec la réalité, et une dissociation, véritable dislocation

aboutir à une réflexion psychothérapeutique ; base des grands fondements de la thérapie familiale. Les premiers thérapeutes systémiciens se sont intéressés à divers troubles psychiatriques chez l’enfant ainsi qu’à des sujets adultes atteints de schizophrénie. Ils se sont interrogés à la place de la personne schizophrène au sein de sa famille. Leurs observations les ont poussés à mettre en analyse toute la famille ; les problèmes infantiles étant les manifestations des problèmes parentaux. En voici

degré dépendant de la quantité consommée et du mode de consommation. Les troubles, s'ils sont répétés, deviennent durables et peuvent conduire à des affections psychiatriques graves : dépression, psychose, comportement suicidaire, paranoïa ou schizophrénie chroniques. Le risque maternel et fœtal Consommées par une femme enceinte, les drogues, pour la plupart, traversent le placenta et atteignent le fœtus. Elles ont alors un effet néfaste aussi bien sur le déroulement de la grossesse que sur

psychiatrique (peur d'être mal soignés, mal encadrés, d'être dans un service de soins médiocre). S'agissant d'un service d'admission en psychiatrie, j'ai pu y appréhender un éventail de pathologies d'ordre psychiatrique (troubles bipolaires, schizophrénie, démence de type Alzheimer, anorexie-boulimie ...). J'ai choisi de parler de l'entretien quotidien d'une chambre car c'est ce que j'ai pu observer en premier au cours de mon stage, cela a entraîné chez moi une réflexion particulière (est-il différent

sur les symptômes et des effets indésirables éventuellement. Ainsi, le malade peut mieux comprendre sa pathologie et apprendre à anticiper les risques et contraintes. Certains traitements durent plusieurs années, par exemple le traitement de la schizophrénie ; d’autres sont limités dans le temps pour prévenir les effets de dépendance (12 à 20 semaines pour les antidépresseurs, 4 semaines pour les hypnotiques).  2.3 Quel est leur rôle ? Les neuroleptiques sont des médicaments symptomatiques, c’est-à-dire

antagonistes des récepteurs DA • Action des neuroleptiques par blocage de la transmission dopaminergique – Activité antipsychotique – Production des effets indésirables – Mais également, permet de poser l’hypothèse de l’hyperdopaminergie dans la schizophrénie Antipsychotiques et voies dopaminergiques 1 2 3 4 Stahl SM. Essential Psychopharmacology. Cambridge University Press, 1998 Les différents types de récepteurs dopaminergiques Description d’un neurone dopaminergique (DA) et d’un récepteur

données. Les connaissances sont donc essentielles pour avoir une vue d’ensemble de la situation. Je pense que savoir que c’était un patient schizophrène aurait pu m’aider dans mon positionnement. En effet, comme l’explique la définition de la schizophrénie (« psychose chronique caractérisée par des idées délirantes et/ou un discours désorganisés associés à une perturbation majeure de la vie sociale, professionnelle et affective»1 ), les patients schizophrènes ont une perturbation des relations sociales

la vie quotidienne · Asthénie : fatigue psychomotrice · Inhibition de l’attention (aprosexie) et de la volonté (aboulie) · Stupeur : suspension de toute activité motrice (mimique, gestes, langage). Stupeur mélancolique, stupeur catatonique (schizophrénie), stupeur confusionnelle (démence). · Catalepsie : perte de l’initiative motrice – catalepsie hystérique (type hypnotique) et catalepsie schizophrénique (proche du syndrome catatonique). II. Les troubles de la pensée : - Troubles du cours de

notamment sur la santé mentale. Définition : déficience mentale : difficulté de compréhension, d’adaptation, de se situer dans le temps etc. … cela représente alors un handicap mental On parle de maladie mentale lorsqu’ il s’agit de dépression, de schizophrénie, de paranoïa’ hystérie Différentes institutions selon les cas : protection de l’enfance, handicap mental, maladie mentale Nous pouvons également parler d’accompagnement t lorsqu’ ‘il s’agit de personnes en grande difficulté sociale précarité