Scolastique

scientifiques (voir héliocentrisme), furent considérées à cette époque avec une certaine incrédulité par les autorités religieuses. Dans le contexte de la guerre de Trente Ans, la science moderne peine encore à s'affirmer face à la prédominance scolastique porteuse de l hégémonie cléricale dans le domaine du savoir. « C’est proprement avoir les yeux fermés, sans tâcher jamais de les ouvrir, que de vivre sans philosopher ; et le plaisir de voir toutes les choses que notre vue découvre n’est point

L’apport de la scolastique et de Saint Thomas d’Aquin A la fin du XIIème siècle, une grande part des écrits d’Aristote (384-322 avant JC) est redécouverte en Occident, ils avaient été conservés par le monde Arabe. Ces redécouvertes conduisent à une révolution sur le plan de la philosophie et de la théologie. Ce sont deux notions difficile à distinguer au Moyen Age car la philosophie était incluse dans la théologie : en effet personne ne pensait en dehors du cadre chrétien. La scolastique est une école

suite.   Là, il développe son goût pour les Humanités (lecture des textes anciens, de l'Antiquité païenne, lecture de la Bible, contemplation) et naît en lui l'envie de rendre accessible les textes bibliques, noyés dans les commentaires de la scolastique, pratique reine du Moyen Age qui consiste à expliquer et à "éclairer" les textes sacrés. Or, rédigés en latin (non compris par tous) et sujets de querelles interminables, ces commentaires selon Erasme freine l'accès à la Vérité des Ecritures, et

apprend à lire et à écrire chez sa grand-mère, entre au collège des jésuites à 11 ans et est initié aux maths. Fragile de par la tuberculose et en raison de ses dons, il a cours seulement l’après-midi où il apprend la physique et la philosophie scolastique. En novembre 1616, il obtient son bac et sa licence en droit civil et canonique à l’université de Poitiers car sa famille voulait qu’il soit avocat. Ensuite, il part vivre à Paris. En 1618, il s’engage à l’école de guerre en Hollande. En 1619,

temps, contemporain de Poussin, est considéré comme l'un des fondateurs de la philosophie moderne. Sa méthode, exposée à partir de 1637 dans le Discours de la méthode, et développée par la suite, affirme constamment une rupture par rapport à la scolastique enseignée dans l'université, quitte à stigmatiser la méfiance ou la haine de courants pédagogiques : la réflexion cartésienne est devenue essentiellement rationaliste, alors qu'elle est d'abord une découverte de la liberté, intimement liée à la

la suite. Là, il développe son goût pour les Humanités (lecture des textes anciens, de l'Antiquité païenne, lecture de la Bible, contemplation) et naît en lui l'envie de rendre accessible les textes bibliques, noyés dans les commentaires de la scolastique, pratique reine du Moyen Age qui consiste à expliquer et à "éclairer" les textes sacrés. Or, rédigés en latin (non compris par tous) et sujets de querelles interminables, ces commentaires selon Erasme freine l'accès à la Vérité des Ecritures, et

séduit par les mathématiques, à cause de la certitude et de l’évidence de leurs raisons, et rêve d’en étendre le champ d’application. En revanche, il est déçu par l’enseignement reçu dans les autres disciplines, en particulier par la philosophie (scolastique). Aussi, dès ses études terminées, il n’aura de cesse de tout reprendre par le commencement et de ne rechercehr d’autre science que celle qu’il pourrait tirer de son propre fond ou puiser dans le grand livre du monde. Inaugure ainsi la philosophie

l’esprit. Contradiction : Aristote : hommes  animaux politiques. L’homme utilise le logos et peut discerner le bien et le mal, l’utile du nuisible, et la pratique politique est ce qui consiste à déterminer ce qui est bon pour la politique. Les scolastiques à partir de saint thomas font une contradiction en interprétant la notion d’Aristote : animal raisonnable  ne pense plus l’homme comme un animal alors que les grecs le pensaient comme tel.  La société humaine est une société animale. II)

d’une culture qui nous est à la fois si proche et si éloignée. Entre le VIIIe et XIIIe siècle, la civilisation arabe connaît son âge d’or. Les philosophes chrétiens pourchassés par leur propre religion y trouvent abri. Saint Thomas, le maître de la scolastique européenne, ne pourra connaître les ?uvres d’Aristote qu’au travers des commentaires arabes d’Avicenne et d’Averroès. La nouvelle religion qui prend naissance dans la péninsule arabique constitue alors une « subtile synthèse entre le rationalisme

domaines pédagogiques, politique te artistiques. Caractéristiques : * Retour a l’antiquité : * Redécouverte des œuvres anciennes * Imprimerie -> diffusion des livres * Sclérose de l’enseignement médiéval : la scolastique -> recherche d’une autre pédagogie * Remettre l’homme au centre de tous les domaines du savoir * Une pédagogie nouvelle : * Imitation * Enseignement diversifié : art, oratoire, lettres anciennes sciences,