Second capitaine

Dans un premier temps, j’analyserai ma performance au 1500 mètres puis je vous ferai part de ce que j’ai pu en retirer, d’une part pour ma pratique personnelle et d’autre part pour mon enseignement en tant que future professeur des écoles. Dans un second temps, j’exposerai comment transposer cette pratique dans l’enseignement à l’école primaire, tout en tenant compte des liens possibles avec les autres disciplines et du développement de l’enfant. Première partie : • En début d’année, j’ai

capable de courir de différentes façons, courir dans des espaces et avec des matériels variés, courir dans différents types d’efforts et courir pour « battre leur record ». On distingue principalement d’un côté les courses de vitesse inférieures à 10 secondes qui permettent de travailler sur l’efficacité « technique » et qui supposent un mode de travail en anaérobie alactique. De l’autre, les courses en durée. Mais il ne s’agit en aucun cas d’allier les 2. Dans notre cas, il s’agira davantage de privilégier

me donnera accée à de plus longues études qu'un BAC professionnel ou un apprentissage. Malgré le fait que je soit en première et que le dossier des secondes sera prioritaire par rapport au mien, je pense avoir quelques atouts non negligeables. J'ai l'experience d'un travail personnel assez lourd et régulier, je suis donc déjà préparé à une seconde année de première. Aussi, j'ai mis en place un TPE cette année, de ce fait j'ai déjà l'experience de ce type de travail. Je suis trés motivé pour l'année

compléter ma préparation. Exercices talons/fesses, pas chassés, étirements des muscles de la cuisse et des mollets, décontractions des bras et des épaules. La séance N°3 s’est plus intéressée au travail en puissance, par 10 sprints d’affilé de 10 secondes avec une VMA de 100%. Les sensations étaient moins bonnes, manque de souffle, douleurs musculaires aux cuisses à cause d’un échauffement trop rapide. La séance N°4 a été l’occasion de tester le contrat N°3. Je dois parcourir 6,75 km soit 27 tours

dans le monde dans lequel nous vivons, on ne peut pas toujours faire cela. Parfois, je me dis que la vie est trop courte pour ne pas prendre le temps de profiter du moment présent. Selon moi, profiter du moment présent, c’est de profiter de chaque secondes que nous vivons. Pour ma part, je crois vraiment que nous devons profiter du moment présent, car on est plus heureux quand on fait ce qu’on aime, quand on prend le temps d’apprécier. La société ultra-rapide dans laquelle nous vivons aujourd’hui

NATATIONEnseignement de la natation dans les établissements scolaires du premier et du second degréNOR : MENE0401638CRLR : 934-0 CIRCULAIRE N°2004-139 DU 13-7-2004MENDESCO Réf. : art. L.312-3 et 363-1 du code de l’éducation ; L. n° 51-662 du 24-5-1951 ; D. n° 77-1177 du 20-10-1977 mod. par D. n° 91-365 du 15-4-1991 ; C. n° 92-196 du 3-7-1992 ; N.S. n° 94-116 du 9-3-1994 ; C. n° 99-136 du 21-9-1999 ; A. du 25-1-2002Textes abrogés : circulaires n°65-154 du 15-10-1965, n° 65-154 bis du 18 -10-1965

moins bons résultats au trail-making test. 4. RESULTATS 4.1 Effets de l’age 4.1.1 Trail-making A analyse descriptive : nous observons que les résultats au trail-making A du groupe âgé (moyenne = 137 secondes) sont moins bons que ceux du groupe jeune (moyenne = 85 secondes). analyse inférentielle : Hypothèses : H0 = les résultats du groupe agé sont égaux à ceux du groupe jeune H1 = les résultats du groupe agé sont inférieurs à ceux du groupe jeune. |Synthèse de

figure dans le tableau ci-après. Il est précisé qu’entre deux valeurs de temps, la note est rapportée à celle qui correspond au temps immédiatement supérieur (exemple : la performance de 5 minutes 47 secondes [5 min 47] pour le barème « hommes » est notée comme la performance de 5 minutes 51 secondes [5 min 51] soit une note de 10). Barème hommes – femmes |Note |Hommes |Femmes | |20

c’était comme si c’était fait pour eux. Son regard descendrait sur elle et il remarquerait que son expression est neutre, elle ne laisserait rien transparaître. Pause. Sixième partie : Très court. Ils se regarderaient fixement pendant quelques secondes et détourneraient le regard. Pause. Septième partie : Il se passerait ce qui est décrit. Très doucement, sensuellement. Respectueusement. Pause. Septième partie. Il aurait de la peine à marcher, tituberait presque. Toujours en silence. Et

bruit, tout se passa normalement. Quelques semaines plus tard, ma meilleure amie eut un empêchement. Même si en sortant du lycée il faisait déjà nuit, je sui descendue dans ce tunnel avec beaucoup d’angoisse, je n’avais pas le choix. Quelques secondes plus tard, j’entendis une voix derrière moi qui m’appelait par mon prénom et cela résonnait. La voix, je la connaissais. C’était la mienne. Je sentis mon cœur s’emballer. Battre à tout rompre. Et la voix se rapprochait encore ! Mes jambes