Seconde Restauration Et Monarchie De Juillet Rupture Ou Continuité

discipline qu’on mettra sous le titre d’Arts, parmi lesquels la philosophie, et on commence à utiliser, y compris les théologiens, la pensée des philosophes et plus particulièrement la pensée du philosophe ARISTOTE. Pour PLATON, il n’y a pas eu de rupture dans la connaissance de son système de pensée, depuis l’Antiquité jusqu’à la Renaissance : il a été étudié, lu, enseigné pour sa très forte compatibilité avec le christianisme de l’époque. A partir du XIIIème siècle, la concurrence entre PLATON, classique

l’Etat est la création de l’homme, pas une donnée nationale. Une organisation de cet Etat est donc indispensable même s’il faut rappeler que les modifications qui peuvent survenir dans les changements de régimes constitutionnels n’affectent pas la continuité de l’Etat. -Pour assurer la cohésion de l’Etat, l’idée de «Nation»: c’est la volonté de vouloir vivre ensemble, une solidarité entre personne. C’est un phénomène psychologique; la culture, la langue, la religion. Beaucoup d’Etat nationaux ont

mais qui font l’expérience de transition démocratique, comme la Pologne, la Hongrie et la Bulgarie. Ensuite on procédera à une analyse comparatiste en fonction d’une typologie de la démocratie, emprunté à Olivier Duhamel.   Chapitre 1er : La monarchie parlementaire composite Belge Le régime politique de la Belgique est tellement composite et original que le qualificatif le plus juste serait celui utilisé par un constitutionaliste Belge, Eugène Descamps, qui qualifie le régime de son pays de

éléments pour faire un tout. Une Constitution est l’acte par lequel on rassemble et on ordonne une société donnée. D’un point de vue historique les 1ères constitutions modernes datent de la fin du 18ème siècle. La première est celle des USA (1787), la seconde est celle de la France (1791). Avant ces dates on ne parlait pas de constitution mais de lois fondamentales du royaume. Ces lois étaient des lois coutumières (non-écrites). Les constitutions sont apparues pour institutionnaliser le pouvoir, donner

morale: l’Etat a le pouvoir institutionnalisé et se définit comme une personne morale. Cela se traduit par la capacité de l’Etat d’agir sur le plan juridique. Cette personne morale va permettre d’inscrire l’Etat et par cela voir la conséquence de la continuité. Elle implique les gouvernements qui assument les actes et les décisions des gouvernements précédents (ex. un gouv. négocie un traité international, il engage la parole de Fr, le future gouv. est engagé aussi). La souveraineté de l’E et son

dès lors devenue une coutume au Royaume Uni. C’est le seul pays de la planète actuellement dont la Constitution est coutumière, elle n’est pas écrite, elle se transmet. EX 2 : La France avant 1789 avait une Constitution coutumière. La Monarchie était une monarchie absolue donc le pouvoir législatif, exécutif et une grande partie du judiciaire étaient aux mains du Roi donc il n’était pas dur de mettre en place du constitution coutumière. Les seules lois écrites étaient celles d’accession au trône

originale. Dans le même temps la nouvelle constitution reflète des idées des conceptions constitutionnelles diverses, parfois contradictoires mais qui essayent de tenir compte des erreurs de la 4e République. A la fois continuité (c'est toujours la République) et en même temps rupture, pour ne pas reproduire les erreurs de la 4e. I. La fin de la 4ème République. En 1958 la France connait une situation assez troublée, car la France a eu des colonies et a eu du mal à s'en défaire. En 1958, quelques

recourant au lit de justice face aux Parlements et en utilisant l’efficacité redoutable des intendants pour mettre au pas tous les récalcitrants. Pourtant diverses menaces obscurcissent l’avenir du système : si personne ne s’en prend au principe de la monarchie, l’absolutisme est décrié et on a beau jeu d’opposer le modèle des despotes éclairés, tel Frédéric II, conseillés par les philosophes au nom de la raison. Enthousiasmés par le modèle anglais analysé par John Locke avant d’être repris, développé et

s'affirme désormais comme la classe sociale déterminante, stimulant l'essor industriel. Après la fin des ambitions napoléoniennes, les mutations s'opèrent lentement sur fond de crises et de ruptures qui reviennent avec une surprenante régularité tous les vingt ans. Deux empires (1803-1814; 1852-1870), trois monarchies (1815-1824; 1825-1830; 1830-1848), deux républiques (1848-1852; 1870), trois révolutions (1830, 1848, 1871), cette liste simplement numérique récapitule un siècle de vives turbulences dans

Bourse (1878), de la Banque centrale du Japon (1882) et se dote de diverses mesures législatives encadrant le développement économique. L'industrialisation du Japon va de pair avec son développement agricole. Celui-ci se caractérise par une rupture d'avec le régime féodal ; les terres détenues par les daimyos et les samouraïs sont confisquées puis redistribuées aux paysans. Ces terres, allouées aux paysans, sont une source importante de rentrées fiscales pour l'État, qui s’en sert pour financer