Sécularisation

entre laïcité "dure" et "nouvelle". Les deux périls de la morale laïque Donc, de telles oppositions ainsi que l'opposition laïcisation et sécularisation ne suffisent pas à expliquer toutes les différences. Cf. Marcel Gauchet, et ses explications sur "la religion dans la démocratie". Il n'accorde pas de pouvoir explicatif aux catégories de sécularisation et de laïcisation, car elles masquent selon lui le phénomène qui a consisté à réintroduire des éléments religieux dans un monde qui a chassé

1901. Aux élections de 1902, les électeurs confirment leur choix avec une majorité accordée à la gauche et particulièrement aux radicaux qui connaissent une poussée électorale. III) La question religieuse C’est un mouvement général de sécularisation de la société qui existe dans toute l’Europe, à la fin du XIXème siècle ainsi, ce mouvement est très avancé. Cette séparation entre l’Eglise et l’Etat est mise en valeur par les républicains (qui ne sont pas anticléricaux mais positivistes et

principales − Le chapitre 1 : Politiques scolaires et changements institutionnels. Les auteurs évoquent les politiques scolaires ainsi que le changements d’institution. D’abord, ils développent la construction du système scolaire en parlant de la sécularisation et la dualité entre le public et le privé mais aussi au sein de l’unification du primaire et du secondaire, la démocratisation du système ainsi que de la décentralisation. Ils font une analyse plutôt socio-historique. Ensuite, les sociologues

moderne : passe domination patrimonial à domination institutionnalisé car autonomise vis-à-vis société, groupes d’intérêts. Se traduit par une juridiction de la société. Lutte entre Etat et église, aboutit à une séparation entre les deux domaines, sécularisation du pouvoir politique au 14ème siècle (pouvoir autonome par rapport au pouvoir religieux). L’Etat acquière une légitimité propre par rapport à l’église. Dernière autonomie : dépatrimonalisation de l’Etat (inscrit l’Etat dans la durée).

sociétés au danger de considérer que la liberté d’expression s’arrête là où d’autres, même légitimement, se sentent choqués. Ce serait là le prélude d’un ordre moral qui réduit inéluctablement toute liberté d’expression. Dans le mouvement de sécularisation de nos sociétés, la mémoire se substitue à la religion et le non-respect de ce « devoir » se trouve assimilé au blasphème. Une démocratie ne peut combattre les négationnistes en leur refusant les droits individuels. En interdisant l’expression

de l’Etat ? C’est par une rationalisation de la politique que l’auteur invite le prince à se conformer à la réalité de la cité en vue de l’aboutissement à un Etat uni, reflet de la supériorité de la valeur politique sur l’homme d’Etat. La sécularisation de l’Etat qu’envisage Machiavel dans son œuvre s’accompagne d’un mécanisme de rationalisation. C’est ce qu’on a coutume d’appeler le réalisme machiavélien. Ce dernier désacralise donc l’Etat et le pouvoir et en vide par-delà toute substance morale

groupe --> valeurs culturelles solidarité mécanique : forte conscience collective + conscience basée sur autorité collective + importance de la religion solidarité organique : faible intensité + conscience individuelle + sécularisation + faiblesse du religieux Diminution de la conscience commune + hérédité --> Augmentation du volume de la densité matérielle et morale des sociétés --> division du travail --> produit de la

lois ne dépende pas de sa pur volonté, il est souverain pour appliquer la volonté générale. ABSOLU dans sa sphère interne mais relatif dans la sphère externe. Celui qui refus d’obéir sera SANCTIONNER peut importe ← Conduit sécularisation du pouvoir : II- Max Weber Allemand publie en 1919, un livre intitulé ’’vocation politique“. Comme Bodin 4ième s plutôt va s’interroger sur la thèse de la souveraineté. Le monopôle de la violence légitime. A- Théorie Max

« révolution » qui s’est dramatiquement accélérée depuis une cinquantaine d’années et dont le « gender » est l’aboutissement logique. En effet, le « gende r » n’est pas un phénomène isolé et sans histoire. Il est le fruit d’un long processus de sécularisation ayant progressivement mené à la « mort culturelle » du père, de la mère, de l’époux et ayant substitué la personne, faite par amour et pour l’amour, par le citoyen-individu laïque et « autonome ». Ce processus, mené par celui qui veut la mort

permettre aux protestants de marier. Depuis seul le mariage civil produit des effets en France. Cette laïcité du mariage est une particularité française. En effet d’autre pays comme l’Italie ou la Pologne reconnaisse le mariage religieux. Outre cette sécularisation du mariage , on se doit de prendre en compte l’évolution social de la conception du mariage .En effet le mariage a longtemps était considéré comme l’union féconde entre 2 personne de sexe opposée.il représente donc l’acte de fondation d’une famille