Sécularisation

dévotion à Notre-Dame de Heigne ne cesse de grandir et les pèlerins affluent au point qu’elle est agrandie au XIIIe siècle et qu’un prieuré-hôpital est construit à proximité par les moines de l’abbaye de Lobbes dont Heigne dépendait. Malgré la sécularisation de notre société, ces saints continuent à faire l’objet d’une véritable dévotion populaire : il n’est pas rare de les voir fleuris à l’occasion de tel événement ou difficulté personnelle. Certains vont jusqu’à faire la procession en les invoquant

récompensait   l'ascétisme   séculier   du protestantisme,   donc   l'ancienne   tradition   puritaine.   On pouvait alors observer les mêmes effets. Vus de plus près, les faits révélaient les progrès continuels de ce processus caractéristique de « sécularisation » auquel doivent   leur   disparition,   dans   les   temps   modernes,   les phénomènes issus de conceptions religieuses. Ce n'étaient plus   seulement   des   associations   religieuses,   donc   des sectes, qui étalaient de tels effets. Bien mieux

puissance paternelle et maritale, dans le cadre d'une famille lignage. La femme soumise à l'autorité maritale, devient totalement juridiquement incapable en matière de gestion des biens. Les relations hors mariage sont ignorées. Le mouvement de sécularisation est poursuivi par le code civil, et divorce est maintenu, mais moins largement admis. B. Les évolutions postérieures elles se caractérisent par le mouvement de rétrécissement de la famille. Après 1830, lapériode industrielle, que s'ouvre

l’organisation de l’État Français. En effet, lorsque la France récupère l’Alsace-Lorraine en 1818 les lois appliquées sur le territoire ne sont pas obligatoires en Alsace-Lorraine comme par exemple la séparation de l’Église et de l’État avec la sécularisation de 1905. À ceci s’en suivra la première décentralisation régionale économique pour donner plus d’autonomie financière aux collectivités territoriales. Cependant, il faudra attendre la proclamation de la Constitution française le 27 octobre 1946

politique a) L’intérêt progressif par l’institution familiale Si par son caractère intime la famille semblerait relever du privé, actuellement elle est objet d’intérêt pour le secteur public. Au début encadrée par l’Église, c’est dès 1789 que par la sécularisation la famille commence à être sujet d’une légitime tutelle par l’État. On se retrouve dès le XIXème siècle face à deux discours différents et opposés: celui de l’oppression exercée par la famille et celui de l’excessif rôle de l’individualisme préconisé

l'affaiblissement de la fr face à l'allemagne Grande nation protestante. Les manifestations de cet anti cléritanisme vont prendre trois formes : - Le gouvernement veut procéder a une œuvre de sécularisation de la société, œuvre de sécularisation qui avait déjà été entreprise par la société Française. Cet œuvre de sécularisation est entreprise par différentes mesures, loi du 12 Juillet 1980 qui autorise de nouveau le travail le dimanche, cela avait été interdit en 1814. -Une certaine hostilité envers les

essentiellement à partir de la 3ème république. A. Citoyenneté et sécularisation Il y a un besoin de différentiation et c’est particulièrement vrai à notre époque. On va développer la sécularisation, on entend alors mise en place de la séparation entre l’espace public et celui religieux. Dans certain pays elle est très poussé (comme en France qui a inventé un mot pour la définir, la laïcité: forme de sécularisation développée en France) et dans d’autre elle est beaucoup moins. La république

repose sur la séparation de l’Église et de l’État, en particulier dans le domaine de l’enseignement. Dans cette optique, l’État reconnaît toutes les religions sans en adopter aucune. L’affirmation de la laïcité, qui est généralement le signe d’une sécularisation de la société, ne postule pas la disparition du principe spirituel, mais fait de celui-ci une pratique individuelle, relevant exclusivement de la sphère privée. Elle représente alors l’installation dans un présent historique qui a effacé le passé

dernières terrorisent les députés qui adoptent alors des mesures radicales: seccestration des biens des émigrés, partage des biens communaux entre citoyens, déportations (=mort) des prêtres refractaires (on leur demandait d'abandonner la religion, sécularisation des biens civiles, création du divorce par consentement mutuel) C) La convention nationale du 21 septembre 1792 au 26 octobre 1795. 1) La convention nationale pré-thermidorienne du 21 septembre 1792 au 27 juillet 1794 (9 thermidore, an 2)

encore bien présentes dans les esprits , étant conforté par la discrétion notoire quand à la célébration du centenaire de la loi du 9 décembre 1905 concernant la séparation des Eglises et de l’Etat. (La Première phase de laïcisation de l'Etat et sécularisation de la société datant des années 1880 ! ) Grâce une interprétation et application libérale par le conseil d’état (notamment dans son avis de 1989), l’équilibre de cet loi de 1905 est demeurée extrêmement sensible et fragile. Cette clef de