Sédation

chroniques avec paroxysmes, repose sur les antidépresseurs tricycliques et les anticonvulsivants. D’autres mesures peuvent être utilisées pour minimiser le phénomène douloureux lors des soins d’escarres : sédation consciente par MEOPA (déjà connue et utilisée pour les gestes douloureux en pédiatrie), sédation anesthésique, installation confortable, net- toyage de la plaie par lavage, choix de pansements permettant l’espacement des soins et choix des moments des soins avec le patient. PRÉVENTION ET TRAITEMENT

réalisée en public permis au monde de se rendre compte que douleur et chirurgie pouvaient être dissociées. C’est une ouverture vers une nouvelle médecine ou la douleur n’est plus considérée comme une fatalité. Les progrès scientifiques ont permis une sédation efficace sur de nombreuses douleurs. 6 7 REY R. (1993), page 17 http://geckomedia.fr/anesthesie/histoire/histoire.html 8 http://geckomedia.fr/anesthesie/histoire/histoire.html 11 Mais le concept de douleur symptôme qui trouve une réponse

gazeux via un masque dès le début de la contraction ou de la douleur, et elle cesse l’inhalation dès la fin de la contraction. Cette méthode a l’avantage d’agir rapidement (30 à 60 secondes), d’être réversible rapidement, d’occasionner très peu de sédation chez la mère et de ne pas interférer sur les contractions utérines. Ce gaz est peu transféré au foetus; il n’affecte donc pas les battements de son coeur et ne cause pas de dépression respiratoire chez le nouveau-né. Les effets secondaires sont minimes

anesthésie de 3mm de profondeur en une heure et de 5mm au bout de deux heures. • La MEOPA (Mélange Equimolaire d’Oxygène et de protoxyde d’Azote) C’est un gaz dit hilarant, a pour effets une analgésie de surface, un état d’euphorie, crée une sédation consciente et enfin modifie les perceptions sensorielles L’administration doit se faire par une équipe médicale, le personnel doit avoir reçu une formation au préalable, il faut éviter de l’associer à d’autres agents sédatifs. _______________________

de substances et la croyance par le patient que ses médicaments ne sont plus nécessaires. Les complications concernant les EI sont associées aux EI eux-mêmes dont les patients font l’expérience (réels ou imaginés) et à la peur des EI perçus. La sédation et le gain pondéral comptaient parmi les effets secondaires les plus importants liés à une observance réduite49. On n’a noté aucun changement dans les options de traitement d’entretien : le lithium, la lamotrigine (efficace uniquement dans la prévention

ce qui en fait un antihypertenseur. Elle antagonise l’action hypertensive de l’imidazoline. Elle tarit les sécrétions salivaire, gastrique et sudorale. Elle diminue l’activité de la rénine du plasma. Elle réduit la diurèse. Elle provoque de la sédation et de l’asthénie. Elle est utilisée comme antihypertenseur aux doses de 0,15 à 0,6 mg/j per os. L’effet s’installe en 2 à 3 semaines. La clonidine donne de la somnolence et de la sécheresse de la bouche. Elle ne doit pas être associée à la guanéthidine

Ensuite elle ne consacre pas de droit à la mort. Elle adopte deux mesures complémentaires à la loi de 2005, la première tend à mettre en place un congé de trois semaines d’accompagnement de fin de vie d’un proche et la seconde tend à faire entrer la sédation terminale dans le Code de Déontologie médicale. Tout comme la position de la Cour Européenne des Droits de l’Homme, il n’existe pas de « droit à mourir » en France. Le droit à la mort n’existe pas mais le droit à mourir dans la dignité est une certitude

l’usage de drogues. 21 En résumé, afin de se donner les moyens de rester dans la course, l’individu peut avoir recours aux drogues, sur le mode du dopage, en vue de multiplier ses capacités dans ses différents rôles sociaux ; ou sur le mode de la sédation, afin de réduire les effets négatifs des exigences sociales. La gamme de produits accessibles est très vaste, on l’a vu, et la frontière entre les produits légaux et illégaux s’estompe dans un usage comparable. Ces pratiques touchent un débat fondamental

aussi de la souffrance éthique du soignant, mais d’autres intervenants éthiciens le feront sans doute…Disons au plus court qu’en Soins Palliatifs, compte tenu de la solennité du moment, les enjeux humains sont lourds, et certaines décisions, de sédation par exemple , si elles ne sont pas solidement arrêtées en équipe, peuvent être très douloureuses. 5° LES SOINS PALLIATIFS Leur création ne serait-elle pas le symptôme de ce que J.P.LEBRUN a nommé « La maladie Médicale » que je nommerais plutôt

pharmacologiques : Paracétamol : antalgique et antipyrétique. Aspirine : antiagrégant plaquettaire, antalgique, antipyrétique et anti-inflammatoire. Opioïdes : agoniste endogène, analgésie spinale et supra-spinale, dépression respiratoire, myosis, sédation et euphorie, hallucinations et dysphorie, tolérance et dépendance. Enoncer la surveillance clinique et biologique de l’aspirine Hémorragie : surveillance clinique et biologique (anémie) Allergie Gastralgie : traitement antiacide possible ;