Sénèque

Songe d'une nuit d'été, 1595-1596). Sénèque Cependant, tandis que moralités et interludes s'acheminaient peu à peu vers une expression dramatique à la fois plus proche de la vie et plus complexe, une influence capitale vint stimuler le développement du théâtre élisabéthain, dont la forme et l'esprit furent tributaires, dès le milieu du XVIe siècle et jusqu'à son extinction, de l'œuvre dramatique de Sénèque. C'est, en effet, le théâtre de Sénèque, et non celui de ses illustres modèles

évincé la question en affirmant que l’explication serait trop longue, il avance cependant deux arguments pour défendre l’utilisation du surnaturel dans sa pièce : les actes de magie de Médée sont conformes à la tradition du mythe et Euripide et Sénèque n’ont pas déplu au public en utilisant le surnaturel dans leur pièce. 2. Lecture de l’Examen  Comment Corneille justifie-t-il le fait de ne pas avoir respecté l’unité de lieu ? L’unité de lieu est rompue par deux fois au cours de la pièce :

précepteur Sénèque et du préfet du prétoire Burrus, le début du règne de Néron, disons les cinq | |premières années, fut empreint par la modération et la clémence (mis à part qu’il fit empoisonner Britannicus en 55).  | |Ce meurtre le fit se dégager progressivement de l'influence de ses tuteurs et en 59 il en vint à tuer sa propre mère (car elle avait| |critiqué sa maîtresse, Poppée Sabine), puis vint la mort de Burrus (peut-être empoisonné) et la disgrâce de Sénèque en 62, ensuite

raison, et m’avancer autant que je pourrais en la connaissance de la vérité, suivant la méthode que je m’étais prescrite. » "Descartes à Élisabeth - Egmond, 4 août 1645 Madame, Lorsque j'ai choisi le livre de Sénèque de vita beata, pour le proposer à Votre Altesse comme un entretien qui lui pourrait être agréable, j'ai eu seulement égard à la réputation de l'auteur et à la dignité de la matière, sans penser à la façon dont il la traite, laquelle ayant depuis considérée

INTERROGATIONS PHILOSOSPHIQUES Sénèque : Consolation à Marcia, XI La condition humaine Si le sage stoïcien est un roc, un athlète de la vertu, c'est qu'il a compris que l'homme est un être faible, fragile, né pour mourir : Marcia, qui a perdu son fils, doit se consoler en pensant que ce deuil, aussi pénible soit-il, ne fait que sanctionner la dure loi de la nature. Quae deinde ista tuae publicaeque condicionis oblivio est ? Mortalis nata es, mortales peperisti. [...] Decessit filius tuus

La littérature grecque[->4] a trois grands auteurs de tragédie[->5] : Eschyle[->6], Sophocle[->7] et Euripide[->8]. Le théâtre romain[->9] ne semble pas avoir assez apprécié la tragédie pour que se développe une littérature tragique importante. Sénèque[->10], cependant, a adapté en latin[->11] des tragédies grecques comme Phèdre[->12] ou Médée[->13]. A la renaissance. La tragédie humaniste est un genre théâtral du Théâtre de la Renaissance. Elle consiste en une déploration passive d'une catastrophe

virulente. Cela reste tout de même une vision de l’art très structurée, typique du classicisme. ! L’œuvre a pour sujet un mythe grec, il en existe de nombreuses versions parmi lesquelles Hippolyte porte-couronne d’Euripide (Ve siècle av. JC) Phèdre de Sénèque (Ier siècle). Même si l’histoire varie légèrement d’une version à l’autre, le sujet est toujours le même. ! La pièce est représentée pour la première fois en 1677 (soit juste après sa parution). Deux jours après, Nicolas Pradon crée une autre version

L’héritage de Rome La politique Monarchie République : (latin) la chose de tous Empire Code Justinien : Code de la loi mis en place par l’empereur Justinien ( base de notre code) Civilisation urbaine : urbanisme La philosophie Cicéron, Sénèque, Lucrèce > politique, religion, vie, mort, destinée… Lucrèce : « De natura rerum » (au sujet de la nature des choses) > philosophie matérialiste : l’Homme est matière. La littérature Poésie Ovide, « L’art d’aimer » ; Virgile, « L’Enéide »

symptômes sont décrits avec précision à plusieurs reprises. Le terme de fureur ( Furor en latin) est employé par la reine elle-même, notamment lors de l’aveu de son amour à Hippolyte.   Les philosophes antiques et en particulier les stoïciens comme Sénèque considéraient également les passions comme des maladies.   D’ailleurs, au vers 676, Phèdre compare cet amour à un poison. Cela amplifie son sentiment de désespoir face aux sentiments malsains qu’elle éprouve envers son beau-fils.   La passion que

Dans Phèdre, Vénus s'acharne contre la famille de la reine dont l'ancêtre, le Soleil, avait révélé les amours coupables de la déesse et de Mars. La fatalité prend ainsi la forme de cette haine implacable attachée à toute la descendance du Soleil. Sénèque, philosophe et poète romain du premier siècle après J.-C., est également l'auteur d’une Phèdre. Le récit de Théramène, dans toute son horreur, doit beaucoup à cette source sur laquelle Racine insiste moins. Les ravages de la passion comme maladie