Sénoufos

pays limitrophes. Avec 15 millions de résidents, la population malienne est constituée de différentes ethnies, dont les principales sont les Bambaras, les Bobos, les Bozos, les Dogons, les Khassonkés, les Malinkés, les Minianka, les Peuls, les Sénoufos les Soninkés (ou Sarakolés), les Sonrhaïs, les Touaregs, les Toucouleurs. Le français est la langue officielle, mais la population parle majoritairement les langues nationales, le bambara étant la plus utilisée et sert, parallèlement au français

a. L’organisation familiale La communauté familiale est la base de la cellule sociale. C’est l’homme le plus âgé qui est le chef de famille. On l’appelle zaksoba chez les Mossi ; fâ chez chez les Malinké ; Nanan chez les Akan ; Lèhou chez les Sénoufo. Il est le gérant des biens de la famille. L’homme assure toutes les responsabilités au niveau de de la famille. Les familles vivent en communauté. La hiérarchie sociale repose sur les critères suivants : l’âge et le sexe. La société est dominée par

également au contrôle de la société. Les faces énigmatiques et abstraites des reliquaires des Kotas, des Sogos et des Fangs du Gabon, par exemple, sont destinées à protéger du vol et du mauvais sort les reliques des ancêtres. Les Dogons du Mali et les Sénoufos de Côte-d'Ivoire sculptent des portes de cases et de greniers très ouvragés, abris servant tout à la fois aux provisions et aux objets sacrés.  Rôle thérapeutique : Les thérapies traditionnelles nécessitaient des formes artistiques particulières

d’Ivoire. Sujet 14 : Les migrations des peuples de Côte d’Ivoire du XVIe au XVIIIe siècle. Sujet 15 : Les premiers habitants de Côte d’Ivoire. Commentaire de document N°14 Les premiers groupes Sénoufo vivaient de la chasse et de la cueillette. Ils étaient installés dans les régions septentrionales du pays Sénoufo actuel. L’adoption de l’agriculture entraîna la fondation des villages. Ces transformations capitales contribuèrent à un accroissement de population tel qu’il fallut rechercher de nouvelles

Côte-d'Ivoire et se sont formés progressivement depuis le XVIIIe siècle, après une série de migrations akan venues du Ghana actuel. En se constituant, ils ont assimilé divers éléments de culture non-akan (notamment des Mandésud —Gouro, Wan— et des Sénoufo) vivant aujourd'hui dans leur voisinage. De langue akan, la société baoulé comporte ainsi de nombreux traits culturels non-baoulé, particulièrement sensibles chez les groupes du Nord-Est et du Nord tels que les Kodè, les Goli, les Satikran, les Bro

des comités villageois de gestion foncière rurale ont permis de mobiliser toutes les communautés pour leur participation active. Nous pouvons estimer le nombre de participant par village à cinquante (50), composés d’autochtone (Bété), d’allogène (Sénoufo, Baoulé, Abrons et Malinké) et d’allochtones (Burkinabé, Malien et Béninois) Sur les 35 villages sensibilisés, seize (16) ont bénéficié de la sensibilisation deux fois ce qui donne un total de cinquante et un (51) séances de sensibilisation réalisées

2007/2008(PNUD) :173/177 Esperence de vie :49 ans Taux de fécondité par femme :6,7enfants Taux de mortalité infantile :136 pour mille Religions :Islam sunnite pour 80% de la population,christianisme et anismisme Ethnies : Banbara à 33% ,Peuhl à 10%,Senoufo à 9%,Maliké à 6%,Touareg à 5%, Songhoi à 7%,Djogoromé,Dogon,Bozo : VILLE PINCIPALE Bamako :2 millions Segou :107.000 Sikasso :90.000 Mopti :86.00 Langue : Français(officielle),Bambara(dialecte le plus répandu),Dioula,Songhoi

Population Histoire Yamoussoukro 20'617'068 (estimation 2009) On ne sait pas grand-chose sur la Côte d’Ivoire avant l’arrivée des Portugais en 1460. La majorité des groupes ethniques actuels sont arrivés des régions voisines. Les Krus du Libéria, les Senoufos et les Lobis du Burkina Faso et du ème ème Mali. Durant les 18 et 19 siècles les Baoulés et les Akans ont immigrés du Ghana et les Malinkés de la Guinée. Les premiers Européens à pénétrer le pays sont les navigateurs portugais au ème 15 siècle. Le

réduction de la pauvreté. Leçon 9 Les alliances interethniques, les cultures des peuples GOUR et des peuples Mandé et la cohésion 1- Les peuples Gour et Mandé Les peuples gour sont constitués des Senoufo, des Lobi et des Koulango; ils occupent actuellement les régions du nord (entre les fleuves bandaman et comoé) et du nord – est (Bouna et le nord de la région de Bondoukou Deux grands groupes composent les mandé : Les mandés du sud composés des Yacouba

français est la langue officielle de la Côte d’Ivoire et environ 70 % des habitants du pays le comprennent et le parlent9. Selon l'OIF en 2009, 99 % des habitants de la plus grande ville du pays Abidjan savent lire, écrire et parler français10. Le sénoufo (1 500 000 locuteurs) et le dioula (276 000 locuteurs) sont les langues les plus parlées dans le nord, tandis que le baoulé (3 000 000 locuteurs) et le bété (2 500 000 locuteurs) sont les langues les plus parlées dans le sud. D’autres langues comme