Sénoufos

(PNUD) Religion (s) : islam : 38.6%, christianisme : 32.8%, animisme : 11.9%, sans religion : 16.7% (CIA World) Indice de développement humain : 163ème/ 182 (PNUD) Classement Transparency International : 154ème/180 pays Langues utilisées : Sénoufos, Dans, Agris, Bétés, Baoulés, Dioulas, Malinkés Données Géographiques et générales Nom officiel : Côte d’Ivoire Superficie : 322.463 km² Capitale : Yamoussoukro Villes principales : Abidjan, Bouaké, Daloa, Yamoussoukro Langue (s) officielle

1 TABLE DES MATIERES TABLE DES MATIERES ..................................................................................................................1 LISTE DES TABLEAUX ...................................................................................................................2 FICHE DE SYNTHESE .....................................................................................................................3 0.1- Brève description du projet ...............................

% d’individus âgés de moins de 15 ans constituent une population particulièrement jeune. La densité moyenne s’élève à 42,3 h/km². La population burkinabè est composée de groupes ethniques variés : Mossi, Gourounsi, Lobi, Bobo, Peul, Gourmantché, Sénoufo, Bissa, Mandé... en tout plus de soixante ethnies. Le climat, de type tropical, se distingue par une saison sèche de novembre à mai et une saison des pluies de juin à octobre. Ouagadougou est la capitale du Burkina Faso et la plus grande ville du

offre des surprises>> en effet un mardi très ensoleillé le virus de l’amour contracta l’enfant MARTINO face à une beauté irrésistible, une belle fille selon sa vision. Cette attrayante créature se nomme TERESA KOUAKOU petite baoulé sans produit sénoufo. MARTINO avait 17 ANS, à cette période de sa vie qu’il tomba amoureux pour la première fois. L’enfant décide de prendre la décision : celle d’avouer à la jeune fille ses sentiments à cette fille, il avait la conviction que cette fille l’appréciait

horizontal dans la mesure où des associations ont un rôle de trait d’union entre les villages et l’autorité centrale. Ces groupes associatifs exerçaient des fonctions politiques et administratives. La modalité était très répandue chez les Mandés et les Sénoufos ; – la monarchie centralisée. Ce type d’organisation dominait chez les Mossis (Haute-Volta actuel Burkina-Faso), les Zoulous, les Swazis (Afrique du sud). Les associations y étaient remplacées par des « sages ». Ces derniers, loyaux au monarque

|principales instigatrices des troubles qui déchirent le continent. Les| | |ethnies du nord de la Côte-d'Ivoire : Dioula, Sénoufo ou Malinké, ont| |Sous-partie n° 11 : elle débute d’abord par une idée secondaire (ici |transformé leur frustration en mouvement politique et militaire. Ces | |en gras) et elle se poursuit par l’exposé des faits ou des arguments |mouvements se

donc comme un carrefour culturel où cohabitent des populations d’origines ethniques variées et aux modes de vie diversifiés. Les ethnies sont déterminées par leurs langues différentes. A coté des Bambaras (majoritaires), on trouve les peuls, les senoufos, les soninkés, les dogons, les songhaïs. Tout en conservant leur identité et leurs traditions, les ethnies se trouvent fragmentées de l’intérieur par des structures tribales et des hiérarchies sociales complexes toujours vivaces. Diverses nuances

Nzima constituent les petits peuples des lagunes. Les Agni, les Baoulé et les Gouro vivent à la limite de la forêt. Les Kru, les Dan (ou Yacouba), les Bété et les Guéré habitent les forêts à l’ouest du Bandama tandis que les Malinké, les Lobi et les Sénoufo habitent les savanes du Nord. 3.2 Langues et religions Un cinquième de la population pratique le christianisme (le catholicisme surtout, mais également le protestantisme et des cultes syncrétiques) ; un autre cinquième adhère à l’islam, surtout

maternels IV.1.1. L’ethnie Notre échantillon est composé de 11 ethnies dont la répartition s’effectue comme suit dans le tableau I. Tableau I : Distribution ethnique des mères Ethnies Mossi Bissa Gourounsi Samo Peulh Dioula Gourmanthché Dagari Bobo Lobi Sénoufo Autres Total Effectifs 580 29 25 19 16 12 8 7 7 5 1 36 745 % 77,9 3,9 3,4 2,6 2,1 1,6 1,1 0,9 0,9 0,7 0,1 4,8 100 * “Autres” représente les ethnies non précisées et les mères d’autres nationalités. De ce tableau il ressort une nette prédominance

dites « allogènes » ou « dioula ». Les « étrangers » exploitent les terres wè depuis parfois plusieurs générations mais ont un lignage d’origine extérieur à la zone, que ce soit en Côte d’Ivoire – comme les Malinké, les Baoulé, les Yacouba ou les Sénoufo – ou hors de ses frontières – comme les Burkinabè et autres ressortissants ouest-africains. Au plus fort de l’adversité, les « autochtones » ont eu tendance à percevoir indistinctement ces populations composites comme partisanes des rebelles et