Sens Et Puissance De Georges Balandier

DYL www.tourismes.info PREMIERE PARTIE :SYNTHESE ( 140 POINTS) Le détour Vous rédigerez une synthèse concise, objective et ordonnée des documents suivants : Document 1 : Georges Balandier, le Détour, Pouvoir et modernité (1985) Document 2 : Denis Boisseau, Ne vaut pas le voyage, Revue La Licorne (2000) Document 3 : La Fontaine, « Le Renard et le Bouc », Fables (1668-1694) Document 4 : Jacques Attali, Chemins de Sagesse -Traité du Labyrinthe (1996) DEUXIEME PARTIE : ECRITURE PERSONNELLE

PARTIE ÉCRITURE PERSONNELLE (20 points) Durée : 4 heures 09 – CULTGEN Page 1 sur 6 PREMIERE PARTIE : SYNTHESE (140 POINTS) Le détour Vous rédigerez une synthèse concise, objective et ordonnée des documents suivants: Document I : Georges Balandier, le Détour, Pouvoir et modernité (1985) Document 2: Denis Boisseau, Ne vaut pas le voyage, Revue La Licorne (2000) Document 3: La Fontaine, « Le Renard et le Bouc », Fables (1668-1694) Document 4: Jacques Attali, Chemins de Sagesse Traité du

ÉCRITURE PERSONNELLE (20 points) Durée: 4 heures 09-CULTGEN Page 1 sur 6 PREMIERE PARTIE: SYNTHESE ( /40 POINTS) Le détour Vous rédigerez une synthèse concise,objective et ordonnée des documents suivants: : Document 1 Georges Balandier, le Détour, Pouvoir et modernité (1985) Document 2 : Denis Boisseau, Ne vaut pas le voyage, Revue La Licorne (2000) « », Document 3 Document 4 : La Fontaine, Le Renard et le Bouc Fables (1668-1694) : Jacques Attali

centralisation du pouvoir 2.3.8 Hiérarchies dans les sociétés d'Europe occidentale 2.3.9 Les formes de résistance au pouvoir 3 Bibliographie 4 Notes et références Généralités[modifier] Le mot politique a pour sens : qui se rapporte à la cité (de polis, la cité en grec). La cité est l'ensemble des citoyens organisés suivant des lois. Cette organisation est un politeion, mot que l'on peut traduire par constitution (cf. Aristote, Les Politiques). Selon Aristote

 politique la politique en son sens plus large, celui de civilité ou Politikos, indique le cadre général d'une société organisée et développée ; plus précisément, la politique, au sens de Politeia, renvoie à la constitution et concerne donc la structure et le fonctionnement (méthodique, théorique et pratique) d'une communauté, d'une société, d'un groupe social. La politique porte sur les actions, l’équilibre, le développement interne ou externe de cette société, ses rapports internes

administration moderne ; 3 : Laïcisation et démocratisation de la politique. [pic]Fiche 1: repère chronologique (pdf) [pic] Chapitre 1. Les cadres de la vie politique Section 1 - La domination politique Balandier G., 1967, Anthropologie politique, Paris, PUF. Balandier G., 1971, Sens et puissance, PUF-Quadrige Burdeau G., 1979, La politique au pays des merveilles, PUF §1 – Pouvoir et pouvoir politique A - La notion de pouvoir Le pouvoir est l’ensemble des processus et des rôles sociaux par lesquels

dans sa totalité et comme une totalité à part entière, dans une perspective synchronique. Il inverse donc le principe de l'évolutionnisme. Pour lui impossible d'isoler un des aspect de la société car tout est en interrelation, chaque élément prend sens lorsqu'il est étudié dans un tout. C'est la naissance du fonctionnalisme, de la méthode de l'observation participante et de l'ethnographie. L'anthropologie comme discipline se divise en trois regards : L'anthropologie physique et l'anthropologie

  A la veille du 15 août 1952, dans une France déjà vacancière, cet article passa presque inaperçu. Le terme qu'il créait devait cependant faire carrière, explicité notamment dans un ouvrage paru en 1956 sous la direction d'Alfred Sauvy et Georges Balandier. Le rapprochement du titre et du sous-titre aurait pu officialiser un glissement d'interprétation et suggérer une équivalence entre tiers-monde et sous-développement. Dans l'esprit des auteurs, il s'agissait en fait de préciser, voire d'infléchir

politiques concernent l’étude du pouvoir. Le concept est décevant parce que trop ambigu, trop vague, plein de passion. Les sciences politiques renvoient à trois notions sur le pouvoir : • le sens substantialiste : le pouvoir est une possession qui consiste en des bénéfices, des avantages ; il peut donc se dilapider. • le sens institutionnaliste : le pouvoir désigne les gouvernants, les gens de pouvoir, les pouvoirs publics. Il en résulte que l’opposition, ceux qui ne sont pas au gouvernement, ne disposent

Références bibliographiques : 1-Jean-Christophe MARCEL “Georges Gurvitch: les raisons d'un succès”. Un article publié dans la revue Cahiers internationaux de sociologie, vol. 110, janvier-juin 2001, pp. 97-119. Paris: Les Presses universitaires de France. : http://www.uqac.ca/jmt-sociologue/ 2-Jacques Le Goff, Georges Gurvitch. Le pluralisme créateur, Michalon, coll. « Le bien commun », 2012, 125 p. 3-: Revues.org 4-Georges Gurvitch, « « Les cadres sociaux de la connaissance sociologique