Sens propre et sens figuré

moi doit découvrir le Soi et s’effacer devant lui. Reste l’erreur de Narcisse, l’âme peut être éblouie par sa propre beauté et rester captivée par sa propre image. Alors dans son auto-contemplation elle se noie et meurt. La leçon de Psyché c’est que l’âme est beauté. Si la psychologie ne redevient pas la science de l’âme et n’est pas fondée sur la beauté, nous construisons notre propre destruction. Si nous ne redonnons pas sa place à la beauté, notre âme ne pourra jamais se réaliser dans son essence

........................... 119 Section 3 : Le savoir conceptuel comme vraie figure de la vérité et sa relation avec les connaissances qui pensent au sein de la différence du savoir et de l’objet .......................... 123 A) Le savoir philosophique conceptuel et sa relation aux « autres » philosophies............................................................ 124 1) Le sens du système comme vraie figure de la vérité. .......... 124 2) La fluidification des fixités dans la question de

Les figures de style. Les figures de style sont des procédés (moyens) d’expression utilisés par l’auteur d’un texte qui cherche à le rendre expressif pour attirer l’attention du lecteur. Les figures de style contribuent à l’originalité du style en lui donnant de la force et de la beauté. Appelées aussi figures de rhétorique (« art de persuader » des orateurs), elles cherchent à produire une impression plus forte pour mettre en relief des pensées, séduire et convaincre. |Les figures d’analogie

Elle peut en effet aussi bien s´en tenir à la relation la plus immédiate qu´il est possible d´avoir à l´objet des sens que dépasser cette immédiateté vers des savoirs de plus en plus élaborés de l´objet et du monde. Ainsi Hegel a-t-il consacré l´un de ses ouvrages les plus impressionnants, la Phénoménologie de l´esprit (1807), à montrer comment s´enchaînent les différentes figures de la conscience d´objet, selon une trajectoire qu´il décrit comme étant celle de l´« expérience de la conscience »

essentiellement autobiographiques, intitulées « Délires » constituent le point central de l’œuvre. « Alchimie du verbe » forme la deuxième partie de cette section et se présente comme une alternance de poésie et de réflexions en proses. Rimbaud s’expose ses propres folies, ses idéaux, ses quêtes poétiques dans une forme nouvelle. En quoi est-ce que « Alchimie du Verbe » constitue un art poétique nouveau du poète et un bilan sur son oeuvre ? (Le texte est construit en deux temps.) prose et vers // opéra, //

L’Illusion Comique : tirade de Pridamant (Acte 1, scène 1) « J’en attends plus de choses et brûle de le voir »  * Figure de sens : antithèse accentuée par la figure de construction qu’est le chiasme * Figure de logique : paradoxe, d’un côté une impatience, de l’autre une lassitude Cela traduit une forme d’instabilité, d’angoisse. Ces figures de style traduisant une angoisse à l’homme sont caractéristiques du baroque. Ces deux premiers vers de la tirade s’inscrivent dans l’esthétique baroque

Les figures de style Art de la persuasion Le rhéteur = l’orateur * La rhétorique * L’éloquence Persuader / le langage, séduire… A) Les figures d’analogie (ressemblance) ou image Elle relie deux éléments séparés dans la réalité. * La comparaison Elle rapproche 1 élément comparé d’un élément comparant. * La comparaison filée Elle se prolonge sur pls termes € au même champ lexical que le comparant * La métaphore Une comparaison elliptique (sans « comme ») qui

humaine est que, dans son principe, une argumentation suppose que les interlocuteurs fassent intervenir le point de vue de l’autre et se soumettent à une série de règles partagées qui rendent possible cet échange singulier : Il faut intégrer dans sa propre argumentation le point de vue de la personne que l’on veut influencer et tout argumentation doit chercher un point d’entente. Il faut aussi respecter des règles telles que la véracité ou la sincérité de nos énoncés. Série de règles auxquelles

suspension oscille entre défaut ou un excès qui affectent également le sens. Furetière, en 1690, le signale en des termes fort explicites : « Plusieurs points après un mot, c’est signe que le sens est imparfait, qu’il y a quelque lacune, ou quelque chose à ajouter ». En effet, d’un côté, les points de suspension présentifie un espace vide (une lacune) où le possible sémantique est simplement suggéré et, dans tous els cas, où l’attente du sens se trouve différée ; de l’autre, il signale l’infinitude d’un « dire

exploits sans pour autant chercher la gloire ou la justice. L’« antihéros » est cependant aussi, assez souvent, un héros, en ce sens que, « héros malgré lui » ou « personnage sans quête », il peut au cours des péripéties auxquelles il est confronté, réaliser des exploits héroïques, ne serait-ce qu’à son corps défendant. Dans les représentations du monde moderne, où la figure héroïque a disparu (voir désenchantement du monde), l’antihéros peut être identifié au has-been ou au maladroit attachant (Schlemihl