Séraphîta

Pléiade et dans lesquels certains balzaciens voient en germe des thèmes des œuvres de la Comédie humaine. Notamment Pierre Barbéris dans son ouvrage : Aux sources de Balzac, les romans de jeunesse (1965), qui considére Falthurne comme la base de Séraphîta, et Maurice Bardèche : Balzac romancier l' intelligence de l'art chez Balzac, 1947. La Comédie humaine a été divisée par Balzac en divers sous-ensembles correspondant à des milieux sociaux, des lieux géographiques, ou des catégories psychologiques

nombreux textes qui tracent déjà les grandes lignes de la Comédie humaine. Les « études philosophiques » qu’il définit comme la clé permettant de comprendre l’ensemble de son œuvre ont pour base la Peau de chagrin (1831), Louis Lambert (1832), Séraphîta (1835), la Recherche de l'absolu (1834). Les scènes de la vie privée qui inaugurent la catégorie « études de mœurs » commencent avec Gobseck (1830), la Femme de trente ans (1831), et la construction de « l'édifice », dont il expose le plan dès 1832

écrits entre 1822 et 1825 sous divers pseudonymes, reniés par leur auteur, mais réédités dans les volumes I et II des Œuvres diverses où l'on trouve les germes et les thèmes des œuvres de la Comédie humaine, Falthurne étant considéré comme la base de Séraphîta. Les textes sont classés par milieux sociaux, par lieux géographiques, ou par catégories psychologiques (Scènes de la vie privée, Scènes de la vie de province) réunis dans des ensembles génériques (Études de mœurs, Études philosophiques, Études

Birotteau, Splendeurs et misères des courtisanes, la Cousine Bette, le Cousin Pons, Histoire des Treize), politique (Un épisode sous la Terreur), militaire (les Chouans), de campagne (le Médecin de campagne), en Études philosophiques (Louis Lambert, Séraphita) et analytiques (Petites Misères de la vie conjugale). Il a également écrit les Contes drolatiques, une abondante correspondance (Lettres à l’Étrangère, adressées à la comtesse polonaise Hanska, qu’il épousa en 1850 peu de mois avant de mourir) et

entre 1822 et 1825 sous divers pseudonymes, reniés par leur auteur, mais réédités dans les volumes I et II des Œuvres diverses[3] où l'on trouve les germes et les thèmes des œuvres de la Comédie humaine, Falthurne étant considéré comme la base de Séraphîta[4]. Les textes sont classés par milieux sociaux, par lieux géographiques, ou par catégories psychologiques (Scènes de la vie privée, Scènes de la vie de province) réunis dans des ensembles génériques (Études de mœurs, Études philosophiques, Études

au premier doigt de la main gauche, avec lequel je tiens mon papier, en sorte que ta pensée m'étreint, tu es là avec moi, maintenant au lieu de chercher en l'air mes mots et mes idées je les demande à cette délicieuse bague et j'y ai trouvé tout Séraphita (2). Amour céleste, que de choses j'ai à te dire, et pour lesquelles il faudrait les saintes heures pendant lesquelles le cœur sent le besoin de se mettre à nu. Les adorables plaisirs de l'amour ne sont que les moyens d'arriver à cette union, cette

entre 1822 et 1825 sous divers pseudonymes, reniés par leur auteur, mais réédités dans les volumes I et II des Œuvres diverses où l'on trouve les germes et les thèmes des œuvres de la Comédie humaine, Falthurne étant considéré comme la base de Séraphîta. Les textes sont classés par milieux sociaux, par lieux géographiques, ou par catégories psychologiques réunis dans des ensembles génériques .L’écriture de l’ensemble s’échelonne de 1829, avec les Chouans, à 1850, avec les ouvrages inachevés à

qu'il rencontre plusieurs fois et qu'il va courtiser pendant dix-sept ans. Ses lettres sont réunies après sa mort sous le titre Lettres à l’étrangère. De 1830 à 1835, il publie de nombreux textes : la Peau de chagrin (1831), Louis Lambert (1832), Séraphîta (1835), la Recherche de l'absolu (1834), Gobseck (1830), la Femme de trente ans (1831), le Colonel Chabert (1832-35). Entre 1847 et 1848, Balzac séjourne chez la comtesse Hańska. De plus en plus malade, Honoré de Balzac l’épouse le 14 mai 1850

écrivit 91 romans et créa plus de 2000 personnages dont les emblématiques Eugène de Rastignac, le Père Goriot, César Birotteau... Ses ouvrages embrassent de nombreux genres comme le théâtre (Mercadet Le Faiseur), le fantastique (Peau De Chagrin 1831, Séraphîta 1834), romantique (Le Lys dans la vallée 1836) ou réaliste. Il serait réducteur de le considérer uniquement comme un auteur réaliste mais la Comédie humaine décrit à la fois la vie parisienne, provinciale et la vie privée. C'est la plus grosse œuvre

1831 La Peau de chagrin. 1832 contes drolatiques I 1833. contes drolatiques II, Le médecin de campagne et Eugénie Grandet. 1834 Histoire des Treize et La recherche de l’absolu 1835 Le père goriot, le Contrat de mariage et Séraphita 1836. Le lys dans la vallé 1837. Illusion perdues I et César Birotteau 1839 est élu président de la Société des gens de lettres. 1841. Le curé du Village, La comédie Humaine. Parution en feuilleton de La Fausse Maitresse. 1844.