Séraphîta

fois humain et angélique, Minna qui se dévouait au culte de la souffrance, comme plus tard Séraphîta et Henriette. Wann-Chlore (1825) était une confession épistolaire. Dans les années 1831-1836 les spéculations philosophiques et mystiques circulent d'une oeuvre à l'autre. La genèse du Lys dans la vallée profite d'idées déjà formulées dans Les Proscrits (1831), L'Enfant maudit (1831 et 1837) et surtout Séraphîta (1835). Ce roman appartient aussi à une période où Balzac fait des projets politiques et

de la vie parisienne ( ex : Ferragus ), Scènes de la vie politique ( ex : Un Episode Sous La Terreur ), Scènes de la vie militaire ( ex : Les Chouans ), Scènes de la vie de campagne ( ex : Le Médecin De Campagne ), en Etudes physiologiques ( ex : Séraphita ), et Analytique ( ex : Petite misère de la vie conjugale ). Il a aussi écrit quelques pièces de théâtre comme « Vautrin ». Honoré de Balzac est un des maîtres incontestés du roman français dont il a abordé plusieurs genres : le roman historique

chagrin en Août. Contes drolatiques, I (1832), Contes drolatiques, II (1833), Le Médecin de Campagne (1833), Eugénie Grandet (1833). Histoire des Treize (1834), La Recherche de l'absolu (1834) Le Père Goriot (1835), Le Contrat de mariage (1835), Séraphita (1835). En décembre 1835, il reprend la revue La Chronique de Paris. Six mois plus tard, la publication est suspendue, il laissera une somme énorme dans ce fiasco. Le lys dans la vallée (1836). Illusions perdues, I (1837). César Birotteau (1837)

Chouans Le réquisitionnaire El Verdugo Un drame au bord de la mer L'auberge rouge L'élixir de longue vie Maître Cornélius Sur Catherine de Médicis. 1. Le martyr calviniste. 2. La confidence des Ruggieri. 3. Les deux rêves Les proscrits Louis Lambert Séraphita Études de moeurs Scènes de la vie privée Albert Savarus (1842) Le bal des Sceaux La maison du chat-qui-pelote La bourse La vendetta Madame Firmiani Une double famille La paix du ménage Page 11 sur 13 www.funsofts.fr.st Français La fausse maîtresse

écrits entre 1822 et 1825 sous divers pseudonymes, reniés par leur auteur, mais réédités dans les volumes I et II des Œuvres diverses où l'on trouve les germes et les thèmes des œuvres de la Comédie humaine, Falthurne étant considéré comme la base de Séraphîta. Le philosophe Alain a défini la Comédie humaine comme un « carrefour où les personnages se rencontrent, se saluent, et passent. De là vient qu'au lieu d'être dans un roman, on est dans dix. » Pour François Mauriac, c'est un « rond-point (..) d'où

(1831) - 13. Un drame au bord de la mer (1834) - 14. Maître Cornélius (1832) - 15. L'Auberge rouge (1832) - 16. Sur Catherine de Médicis (1842) - 17. L'Élixir de longue vie (1831) - 18. Les Proscrits (1831) - 19. Louis Lambert (1832) - 20. Séraphîta (1835) Études analytiques - 1. Physiologie du Mariage (1829) - 2. Petites misères de la vie conjugale (1846) Pathologie de la vie sociale - 1. Traité de la vie élégante (1839) - 2. Théorie de la démarche (1833) - 3. Traité

nombreux textes qui tracent déjà les grandes lignes de la Comédie humaine. Les « études philosophiques » qu’il définit comme la clé permettant de comprendre l’ensemble de son œuvre57 ont pour base la Peau de chagrin (1831), Louis Lambert (1832), Séraphîta (1835), la Recherche de l'absolu (1834). Les scènes de la vie privée qui inaugurent la catégorie « études de mœurs » commencent avec Gobseck (1830), la Femme de trente ans (1831), et la construction de « l'édifice », dont il expose le plan dès 1832

peut-être plus un témoignage qu'un véritable poème. Avant cela, le critique littéraire Édouard Monnais considère déjà que le poème en prose existe sous forme de contes ou de récits. En 1835, il écrit dans Le Courrier français à propos de Séraphîta de Balzac : « Séraphîta, roman symbolique et ténébreux, poème en prose bâti sur les rêveries obscures du théosophe Swedenborg1 ». Dans cette voie, on retrouve plus tard d'autres exemples sur lesquels on s'interroge encore : vers la fin du Second Empire, le Comte

une admiratrice polonaise, qu’il épousera en Mars 1850. De 1830 à 1835 il publie de nombreux textes qui forme « la Comédie Humaine »  , constitué notamment des oeuvres sur les « études philosophiques » tel que « Peau de Chagrin » en 1831 et «Séraphita« en 1835. les « scènes de la vie privée » sont à l’origine des « études des moeurs » comme « Gobseck » en 1830 et « La Femme de trente ans » publié un an après. S’en suit alors les « scènes de la vie de campagne » dont « Colonel Chabert » (1832-1835)

L'Auberge rouge Sur Catherine de Médicis : I. Le Martyr calviniste Idem : II. La Confession de Ruggieri Idem : III. Les Deux Rêves Le Nouvel Abeilard L'Élixir de longue vie La Vie et les Aventures d'une idée Les Proscrits Louis Lambert Séraphita Études analytiques Anatomie des corps enseignants La Physiologie du mariage Pathologie de la Vie sociale Monographie de la Vertu Dialogue philosophique et politique sur la perfection du XIXe siècle L'Héritière de Birague Jean-Louis ou la