Serment Du Sacre

défendre le quêteur romain Fonteius d’où le titre du document Pro Fonteius. Dans la majeure partie de ce texte, il conteste la crédibilité des témoignages gaulois. Dans cet extrait-ci, il prend pour exemple leur irrespect des Dieux (sur qui se font les serments), appuyés pour cela, par la mention de faits militaires qui ont ravagé des sanctuaires. Retour en arrière pour comprendre la situation : la colonie de Narbonne est crée en 118 et fut le théâtre d’une insurrection générale lors du départ de Pompée

En maçonnerie, la Bible contenant l'Evangile de Jean est appelée Volume de la Loi Sacrée. Elle est déposée sur l'autel des serments et ouverte au prologue de l'Evangile de Jean. Saint Jean-Baptiste et Saint Jean l'Evangéliste sont évoqués dans le rituel du premier grade du REAA lorsque le V M déclare « ouverte au grade d’apprenti cette respectable loge de SAINT JEAN » puis lorsque le prologue est lu, et plus tard, lorsque le V M peut demander aux frères visiteurs qui ont demandé l’entrée

HISTOIRE DES ARTS LE SACRE DE NAPOLÉON Jacques-Louis DAVID 1) PRÉSENTER L’ŒUVRE ET L’AUTEUR :  Le Sacre de Napoléon est une huile sur toile (peinture) peinte entre 1806 et 1808 par Jacques-Louis DAVID. Cette toile représente une scène historique : le 2 Décembre 1804, le jour où Napoléon s’est fait sacré Empereur de France. Elle mesure six mètres vingt et un de hauteur pour neuf mètres quatre vingt deux de largeur et elle est exposée au musée du Louvre à Paris. C’est une oeubre monumentale 

LE SERMENT DES HORACES Jacques-Louis David a peint ce tableau à Rome en 1785. Nous sommes dans le courant artistique du Néoclassicisme. C’est une grande peinture d’histoire romaine représentant les frères Horace prêtant serment sur les épées, présentées par leur père, de défendre la cité de Rome contre les Curiaces (qui défendent Albe). Maintenant nous allons étudier l’œuvre en elle-même et sa composition. Tout d’abord, nous allons observer les différents plans qui

proclamation est publiée dans laquelle Louis-Napoléon Bonaparte se réclame de l’héritage de la Révolution et du Premier Empire. Le pouvoir exécutif est renforcé, les ministres sont responsables uniquement devant le chef de l’état, a qui ils prêtent un serment de fidélité. Le législatif est fragmenté en trois assemblées : le conseil d’état est une assemblée nommée (rédaction des projets de loi et des décrets et examen des amendements), le sénat est le gardien de la Constitution et le Corps Législatif est

  changé   de   nature.  Il   a   aussi  changé de contenu, le pouvoir impérial n'est plus uniquement un pouvoir civil  et militaire comme les autres. C'est un pouvoir différent, un pouvoir d'essence  sacrée. Les empereurs sont divinisés après leur mort et l'empereur lui­même  devient sacré, comme tout ce qui le concerne : Sa famille, ses collaborateurs  et   même   son   domicile.  Avec   les   conquêtes   militaires   de   l'empire,   il  devient difficile à un seul empereur de tout contrôler

suscité par l'empereur. Puis la situation change au milieu du 3 siècle : des édits prévoyant des répression de porté général contre les chrétiens. On leur reprochait en particulier le fait qu'il refuse de se prêter au culte impérial et de prêter serment à l'empereur. Puis deuxième vague de répression sous le règne de l'empereur Dioclétien. Puis Constantin viendra reconnaître l'importance de la doctrine chrétienne. Puis l'empereur Galère reconnaitra officiellement du christianisme mais seulement dans

joyeux avènement. Il n’y a plus de confirmation. Les fonctionnaires du roi sont devenus des fonctionnaires de l’Etat. • Les traités : si c’est le roi s’engage, il faut revoir tous les traités. En principe, le roi n’est pas tenu par le serment de son prédécesseur, mais en pratique, on fait en sort que les traités subsistent tant qu’ils ne sont pas dénoncés, de même pour les lois du roi (ordonnance royale). Seuls les privilèges doivent être confirmés par le roi, contre un droit de joyeuse

politique et liant le roi à d'autre hommes libres par contrat synallagmatique « un commendatio » ,et s'appuyant sur un réseaux de fidélité, ce sont les antécedant de la féodalité , ce système qui sera réorganiser par les carolingiens qui y ajoutèrent un serment de fidélité prêté sur les Evangiles ou des reliques , contrat qui va peu à peu s’effriter et qui se faisant finira d’isoler la dynastie de Clovis avant sa fin grâce a un tour de main politique des plus habile orchestré par Pépin le Bref. Quelles

accusatoire et le tribunal se content d’être arbitre, c’est à celui qui est soupçonné de prouver qu’il est innocent et que l’autre partie ment. L’homme médiéval est forcément croyant, quand on prête serment on pose la main sur une relique, celui qui prête serment et persuader qu’il met en jeu son âme. Ce serment est dis par l’accusé mais aussi par les co jureurs. Si je me trompe dans le prononcé de la formule « dieu a voulu que je me trompe … » donc je suis coupable, le magistrat est le témoin. Le magistrat