Serment Du Sacre

EXPOSE : Le sacre de Philippe Ie Intro : « On ne nait pas saint, on le devient » (« Le sacre royal », Jacques le Golf, Eric Palazzo, Jean Claude Bonne, Marie-Noël Colette). La sacralité des rois du Moyen Age était un acquis et non un donné. Le texte dont il est question est un compte rendu de la cérémonie du sacre de Philippe Ie, le 23 mai 1059 à Reims. L’auteur est l’archevêque Gervais de Reims. On retrouve dans ce corpus deux documents iconographiques de Saint Louis que nous mettrons en relation

meilleur part revient au roi. Lorsque un évêché ou abbaye sont vacants, le roi présente un candidat au pape. Si ce candidat satisfait les conditions requises, le pape doit l'accepter et lui conférer l'investiture canonique. Ensuite, le clerc prête serment de fidélité au roi qui lui remet alors son temporel: patrimoine de l'ecclésiastique qui lui permet de vivre sans travailler pour qu'il puisse se consacrer à son activité religieuse. Au terme de ce texte, le roi se présente comme le maitre du recrutement

ou l'exaspération d'Hermione culmine, face à la froideur de celui qui la repousse avec dédain. Les Dieux seront ses alliés (v.28 : « Ces Dieux, ces justes Dieux n'auront pas oublié & ») car elle est dans son bon droit (v.29 : « Que les mêmes serments avec moi t'ont lié ») Ils n'accepteront pas ce parjure « au pied des autels » (v.30). Le dernier vers exprime bien le risque que prend alors Pyrrhus : Qu'y aura-t-il au pied de ces autels ? Hermione morte (elle menace peut-être de se suicider au

ferme le volume de la loi sacrée, efface le tableau de loge, et à la suite de quoi, le frère maitre des cérémonies éteint les Etoiles des piliers Sagesse, Force, et Beauté (, à l’acclamation du VM, 1er surveillant et second surveillant. C’est donc le 1er surveillant, qui dit cette acclamation « Que l’amour règne parmi les Hommes » au moment où les travaux sont fermés, et que nous retournons dans le monde profane.Il y a donc ici un élément de transition entre le monde sacré et le monde profane, et

le critère de territorialité c'est-à-dire le lieu de naissance, va servir de base, de fondement pour présumer l’appartenance à une loi. C’est la 1ère étape vers la territorialité des lois. II. La tradition romano-germanique : A partir du sacre de Pépin Le bref l’Etat et l’église deviennent les alliés objectif et cette convergence d’intérêt facilite la construction de ce que l’on appel le droit romano-germanique. A) L’empire carolingien : Charlemagne parce qu’il est maître de presque

car les chrétiens refusèrent parfois de prendre par à la vie politique. Par exemple, ils refusèrent d’exercer des fonctions de juges ou des charges municipales ou d’exercer le métier de soldats cela parce que ces fonctions impliquaient de prêter un serment de fidélité à l’empereur à aux dieux protecteurs de Rome. Or ils refusèrent de s’associer à ces croyances païennes (divers dieux). Les chrétiens furent alors réputés dangereux et menaçant pour l’état romain. Les premiers chrétiens furent persécutés

forment ce que les germains appellent Gefolgschaft. Celle-ci est composée des personnes qui suivent le roi en permanence, que l’on appellera plus tard sa suite. Ces proches doivent prêter un serment particulier qui les obligent à la fidélité la plus stricte à la personne du roi et non à sa fonction, serment qui les voue au service quotidien. Parmi ses proches se trouvent les officiers du palais, de simples domestiques qui, ayant une proximité extraordinaire avec le roi, seront au fur et à mesure

De Midi à Minuit Un espace temps sacré De midi à minuit, c’est d’abord et d’évidence, un espace temps. C’est l’espace de travail du FM. C’est entre ces bornes temporelles que le FM construit son Temple intérieur. Midi et Minuit délimitent l’espace de travaux par ailleurs délimité par l’Ouest, l’Est, le Sud, le Nord, le Nadir et le Zénith. Ce temps couvert est donc un Temps Sacré. Un temps sacré dans lequel on s’inscrit progressivement. Avant l’ouverture des travaux, les FF, jusque là

évangélistes. Ce sont des titres informels. Puis un terme laicos : laïque : les chrétiens qui forment la grande masse des chrétiens qi forment la communauté. C’est un terme grec qui signifie peuple. Ce qui est du peuple, laïque va s’opposer à se qui est sacré. Le laïque va se distinguer du clerc. 1) Les laïques et les clercs Règle fondamentale dans les cités antiques : chaque individu a une foncion précise, on n’échappe pas à sa condition. Au sein des communautés chrétiennes, on distingue certains

du terme « laos » qui signifie «peuple». Ce vocable de laïc, dès le 2ème siècle, va servir à désigner les individus que l'on oppose aux clercs. Le laïc est celui qui est du peuple, commun, par opposition à cet autre chrétien titulaire d'une charge sacrée. Cette distinction et ses conséquences vont marquer la culture occidentale et les institutions publiques de nos origines. 1- Les laïcs et les clercs Cette distinction apparaît au Ier siècle et trouve tout son sens au 3ème siècle quand les