Serment Maçonnique Devoir Engagement

pour le monde entier. A travers toutes ces péripéties, le G?O?D?F?, par la voie d’intégration ou testamentaire, est dépositaire des patentes de ces Rites. Au cours du XIXème siècle, sa double dimension spiritualiste et républicaine cohabite avec un engagement progressiste, voire combatif avec les Carbonari. Dès le début du XXème siècle, les composantes morales et libertaires durent faire place à certains postulats spiritualistes, voire christiques. Sous l’Occupation, le Rite eut un comportement honorable

fois semblable à tout engagement et en même temps spécifique. C’est un engagement comme un autre : il s’agit de s’intégrer à une communauté déjà existante, dotée d’un passé riche et complexe qu’il faut considérer. L’accès à cette communauté suppose un certain nombre d’engagements, qui sont matérialisés par des serments. A cet égard, ce n’est guère différent du fonctionnaire qui doit prêter serment devant l’autorité judiciaire. Même si dans le cas de la Franc Maçonnerie ces serments sont forts d’une mise

DEVOIR lorsqu’au début de l’année 2012, j’ai fait le premier pas et ai envoyé un courrier à notre respectable loge Qu’est ce qui a bien pu me prendre pour que je fasse ce premier pas. Cette questions plutôt que des réponses m'a apporté bien d'autres questions et j’en suis arrivé à la conclusion, qu’à l’époque, même si j’étais sincère, je ne savais pas vraiment ce que je voulais, parce j'ignorais qu’était vraiment la Franc-Maçonnerie. Je savais toutefois que c'était une association à

dont celui du Divan de Hafez[1] , voici un extrait : « Pendant des années nos cœurs ont désiré le pouvoir de la coupe [...] et ont cherché auprès d’autres ce qu’elle avait en elle-même. » Ainsi, cette coupe peut s’apparenter à notre miroir maçonnique : elle nous révèle, nous met face à ce que nous sommes et nous oblige à chercher la vérité en nous plutôt que de l’attendre des autres. Avant d’entrer en franc-maçonnerie, je cherchais moi aussi les réponses, la confiance et la force auprès de mon

cette étude, avec pour objectif de trouver la quintessence de la nécessité du travail, par les épisodes suivants : * Les définitions du mot « travail » * Les différentes conceptions du travail à travers les civilisations * La conception maçonnique du travail Définitions du travail Parmi plusieurs définitions, j’ai noté avec intérêt celle de Karl Marx lorsqu’il détermine ce concept en ces termes, et je cite : « Le travail est un effort individuel ou collectif, physique ou intellectuel, conscient

et qui effraie. Si on refuse en soi tout ce que la pensée a créé - et cela exige un cran formidable - qu’obtient-on? On se retrouve en compagnie de la mort ; la vie, c’est mourir, donc se renouveler. Chambre de Preparation L'initiation maçonnique n'est autre que la naissance de l'homme à une vie nouvelle, la chambre de preparation symbolise le sein maternel dans lequel s'accomplit la préparation de la renaissance spirituelle. La chambre de preparation est une petite pièce, sans fenêtre

Nostalgique de la solitude de l’isolement Le silence laborieux ou se mêle concentration et maitrise de soi Le silence coupable de celui qui cache des faits répréhensibles Le silence réglementaire comme celui imposé par une règle monastique ou un devoir professionnel de réserve Le silence douloureux d’une minute de silence Le silence discret qui fait retenir des paroles ou qu’on n’ose ou ne veut prononcer Ou le silence approbateur car ne dit on pas « qui ne dit mots consent » Tous sont des parcelles

veux développer un sujet tel que l’engagement et le comportement du franc-maçon et à posteriori d’un maître maçon, en loge et dans la vie profane, la référence première est le Code maçonnique en vigueur dans la Grande Loge Suisse Alpina, code remis à chaque nouvel apprenti au terme de sa première initiation maçonnique. Tout est dit dans ce code, dont je joins en annexe une photocopie à toutes fins utiles. Son contenu est clair, précis, concis et complet, soit pour celui qui me fut remis il y a plus

terme même de marche implique un mouvement , une volonté d’initier le changement. Aussi, est-il bon de se rappeler que sans tentative, il n’est pas d’avancement. Il ne faut pas craindre l’erreur au risque de ne jamais rien accomplir. C’est dans son engagement à changer les choses que le maçon se distingue du profane, dans la rectitude du chemin qu’il emprunte pour y arriver mais surtout dans le courage qui lui permet de continuer en rectifiant , un pas à la fois, la marche qu’il a entreprise. Certes

spiritualité sur l’amour fraternel que je me propose de travailler. Mais qu’est- ce que la fraternité ? La fraternité n’est pas un état permanent, elle se ressent à la faveur de certaines circonstances que sont par exemple, les fêtes, les banquets, les serments… La fraternité ne se décrète pas non, elle se vit. On est frères de sang ou de cœur mais pour autant, la fraternité ne va pas de soi, il faut l’enrichir, la cultiver, la rendre démonstrative. Aussi je m’interroge : et si la fraternité ce n’était