Ses La Coordination Par Le Marché

nouvelles configurations structurelles A partir des années 1990, les transformations de l’environnement se sont accélérées, obligeant les entreprises à être plus réactives. Divers facteurs expliquent ces transformations : * L’instabilité des marchés * L’accélération des vagues d’innovation * Les attentes des actionnaires * Les attentes des clients Pour faire face à ces transformations environnementales et aux exigences croissantes des parties prenantes, les entreprises ont du mettre

Bibliographie p.3 II. Concepts 1. Les composants fondamentaux de l’organisation p.5 2. Les mécanismes de coordination p.6 3. Les paramètres de conception p.6 4. Les facteurs de contingence

organisations mettent en place des stratégies dans cet environnement. L’organisation se définit comme « un ensemble de personne rassemblée afin d’atteindre les objectifs, par une division du travail et des fonctions, et grâce à des modalités de coordination définit » (Enzo & Robbins 2008). La notion d’environnement, quant à elle, « regroupe l’ensemble des éléments qui sont en relation avec une organisation. Il est à la fois sa source d’approvisionnement en ressources, un débouché pour son activité

peut être d’appeler le concept de structure d’entreprise. Pour Henri Mintzberg, théoricien et auteur en management, la structure « est la somme totale des moyens employés pour diviser le travail entre tâches distinctes et pour ensuite assurer la coordination nécessaire entre ces tâches». Il ressort de cette définition que la fonction de la structure consiste à fournir de manière concrète les moyens de diviser et coordonner le travail. Schématiquement, la structure peut être représentée par un organigramme

I-Firme japonaise et firme J 1.L’approche par les faits stylisés : méthodologie et objet d’Aoki 2.L’opposition A/J ou la spécificité de la firme japonaise selon Aoki II-Firme J et théorie générale de la firme : les trois principes de dualité 1.Coordination, Hiérarchie et Incitations 2.Managers, Actionnaires, Banquiers 3.Le principe du double contrôle III-Une évaluation critique de l’apport d’Aoki 1.Les bénéfices de l’analyse en termes de “ faits stylisés” et de “structure d'échange d'informations"

Première partie - Le capitalisme I – Notions clés du capitalisme A- Définition Système économique caractérisé par la propriété privée des moyens de production, par le rôle de marché où s’exerce une concurrence entre les agents économiques, par l’importance de l’initiative individuelle (qui n’exclut pas totalement le rôle de l’Etat), par la recherche et le réinvestissement systémique du profit. La notion de capitalisme apparait au 18ème siècle mais on ne parlait à cette époque que de

achat production  Décentralisation (Définition :…) - Verticale (faible, les cadres se contentent de faire exécuter les ordres du comité de direction - Horizontale (recours a un expert comptable + avocat lors du rachat)  Mécanismes de coordination (Définition :…) - Standardisation des procédés normes de production strictes 2) Montrez 3) Analysez Théorie de contingence : Les firmes les plus performantes sont celles dont l’organisation interne est la mieux adaptée à la nature de

est confrontée à la difficulté de concilier différenciation et intégration. Quelles en sont les conséquences pour l'entreprise ( ? Sotutions argumentées ffi§ En vous aidant des travaux de Mintzberg et d'Aoki, proposez des mécanismes de coordination permettant d'améliorer l'efficacité de I'entreprise. ffi o c o a L c Rrésentez les stratégies que pourraient adopter les dirigeants d'lmprimatur pour répondre à I'évolution de la structure de leur entreprise. Expliquez la relation

: • Rationalité standard = rationalité substantive ou parfaite • Rationalité limitée = capacité cognitives et info disponibles réduites Ces 2 types de rationalité font que la procédure s’arrête à un moment donné. B. La typologie de James March March propose 4 modèles de rationalité contrôlée (= action logique consciente) et 3 modèles de rationalité collective. 4 modèles de rationalité contrôlée : • 1er modèle : rationalité limitée au sens de Simon • 2ème modèle : rationalité contextuelle

distinctes et pour ensuite assurer la coordination entre ces tâches ». A- Les caractéristiques de la structure La structure définit la manière dont le travail est réparti au sein de l’organisation entre les différents niveaux de responsabilité (définition des fonctions et des relations) et comment la coordination est assurée. La structuration de l’organisation repose donc sur la division du travail (définition des tâches de chaque intervenant) et sur la coordination nécessaire entre ces tâches. Elle