Sesterce

arbitrum postulo uti des. Itaque in eo genere actionis sine poena quisque negabat. Item de hereditate dividenda inter coheredes eadem lex per iudicis postulationem agi iussit ... "Je dis que, en vertu de ton engagement, tu dois me donner 10 000 sesterces. Je te demande si tu l'admets ou le nies." Si l'adversaire affirmait ne rien devoir, le demandeur disait alors : "Puisque tu nies, je te prie, préteur, de désigner un juge ou un arbitre." Ainsi dans ce genre d'action, on pouvait nier sans

une maison dont le toit compte au moins 1500 tuiles, et cela sans dol. Celui d'entre eux qui ne possédera pas en propre une telle maison ou qui achètera ou acquerra une maison pour frauder cette loi sera obligé de verser,pour chaque année, 5000 sesterces au municipe de Tarente. IV. Qu'à l'intérieur des murs de la ville qui tiendra lieu de centre à ce municipe, personne ne découvre, ne démolisse ou ne démantèle de maison s'il ne la remet pas ultérieurement dans un état au moins comparable à son

Dans les provinces : Préfet de cohorte* Tribun angusticlave de légion* Préfet d’aile* Milices équestres A Rome Tribun de cohorte de vigiles Tribun de cohorte urbaine* Tribun de cohorte prétorienne* Procuratèles Procurateur à 60 000 sesterces par an 100 000 200 000 300 000 = chef de service dans la chancellerie, ou dans les finances, ou gouverneur de provinces* Préfectures Préfet de flotte* Préfet des vigiles*

transmet uniquement de père en fils, par décision de l’empereur ou en rentrant dans l’armée. D’autre part, sur le plan hiérarchique de la cité, les citoyens peuvent faire partis de l'ordre équestre, ou de l'ordre sénatorial, (selon le nombre de sesterces qu’il possèdent, respectivement 500 000 et 1 000 000) ce qui leur donnera du pouvoir, cela permet notamment à ceux-ci de devenir magistrat. Etre citoyen signifie également pouvoir se marier légalement. Le peuple est donc divisé, c’est une situation

trésors. Néron (54-68) : l'incendie de 65[modifier | modifier le code] Néron, œuvre en marbre du ier siècle Sous le règne de Néron en 64, les notables de Lugdunum ont connaissance de l’incendie qui a ravagé Rome, et envoient quatre millions de sesterces d’aide pour la reconstruction. L’année suivante en 65, Lugdunum est lui-même victime d’un terrible incendie. Sénèque indique : « Assez souvent on a vu des villes endommagées par le feu, mais jamais tellement qu'il ne restât quelque vestige de ce

qu'ont fait s'entretuer. Les gladiateurs peuvent sauver leurs vie si l'empereur le décide, il écoute le publics pour donner son choix. Question 5 :qui paie les combats? Les combats sont payés par l’empereur , il paye une charge de 200 000 sesterces. Question 6 : Quelles sont les condition de vie des gladiateurs ? Les gladiateurs vivait dans des écoles de gladiateurs composé de cellules d'habitation et de services autour d'une aire d' entrainement et s'entrainer tous les jours , la discipline

de la République de Platon. Les tyrans faisaient largesse du quart de blé, du septier de vin, du sesterce, et c’était pitié alors d’entendre crier : > Ces lourdeaux ne s’avisaient pas~ qu’ils ne faisaient que recouvrer une part de leur bien, et que cette part même qu’ils en recouvraient, le tyran n’aurait pu la leur donner si, auparavant, il ne la leur avait enlevée. Tel ramassait aujourd’hui le sesterce, tel se gorgeait au festin public en bénissant Tibère et Néron de leur libéralité qui, le lendemain

l'autre en l'honneur de son aïeul Drusus. Ces combats furent célébrés en divers temps et en divers lieux: le premier dans le forum, le second dans l'amphithéâtre. Il y fit paraître des gladiateurs émérites, moyennant un engagement de cent mille sesterces. Il donna aussi des jeux, mais en son absence, et déploya la plus grande pompe, aux frais de sa mère et de son beau-père. (3) Il épousa Agrippine, fille de Marcus Agrippa, et petite-fille de Caecilius Atticus, chevalier romain, à qui Cicéron a adressé

pourraient devenir nombreux au sein du Sénat peuplé en majorité d'Italiens. L'élite de la société romaine est formée par les Sénateurs. Ils sont avec l'empereur à la tête de la société. En effet pour être sénateur, il faut posséder un million de sesterces et avoir exercer de hautes magistratures. C'est donc l'aristocratie romaine qui s'oppose à la possibilité des Gaulois d'entrer au Sénat. Le philosophe Sénèque traduit ce refus dans un écrit et se moque de l'empereur Claude. Claude réfute

disais-je, s'il faut qu'on m'enlève aussi mes coupes, je n'aurai plus rien qui soit de quelque valeur. Attendris par mes plaintes : Eh bien ! me dirent-ils. Que veux-tu donner pour qu'elles ne te soient pas enlevées ? Bref, ils demandent mille sesterces. Je les promets. Sur ces entrefaites le préteur appelle ; il demande les coupes : ils lui disent qu'ils avaient cru sur la foi d'autrui qu'elles étaient de quelque valeur, mais qu'elles sont indignes de figurer parmi l'argenterie de Verrès. Le préteur