Sheraa Par Sadi

excessivement petit… »[3] Comme en général les hommes de lettres du Siècle des Lumières, Voltaire trouvait absolument indispensable que son ouvrage fût une sorte de miroir de ses pensées philosophiques. Dans l’épître dédicatoire de Zadig à la sultane Sheraa « Sadi-Voltaire » affirme que cet « ouvrage… dit plus qu’il ne semble dire »[4]. De telle manière, à l’aide de ses contes on peut se faire une idée tout à fait claire de la philosophie voltairienne. Pour pouvoir présenter les changements de sa philosophie

d’abord à l’enchaînement malicieux des récits. ‘’Zadig’’ fut, sous ce titre, réédité en 1748, cette édition contenant une dédicace et deux chapitres nouveaux : ‘’Le souper’’ et ‘’Le pêcheur’’. L'”Épitre dédicatoire de Zadig à la sultane Sheraa par Sadi”, la sultane étant évidemment Mme de Pompadour, était empreinte de persiflage : «Zadig fut écrit d’abord en ancien chaldéen. On le traduisit en arabe pour amuser le célèbre sultan Ouloug-beb. C'était du temps où les Arabes et les Persans commençaient

vigilent à ce qu’il se passe dans la politique et à se rebeller contre ce qui nous paraît contraire à nos valeurs. è Bilan: C’est une nouvelle avec un sens profond à chercher => c’est un apologue. Page 22 à 24: « Epître dédicatoire à la sultane Sheraa, par Sadi » 1/ Epître = grande lettre didactoire. 2/ Il y a des expressions dans cette lettre qui renvoient à un contexte oriental: « les tapis d’Iran », « la sultane », « l’hégire et Schewal Mille et Une Nuits », « les derviches », « Oulougbeg »,

traite chaque conte séparément, en dégageant le rôle de la femme qui y figure, pour établir ensuite une comparaison entre les deux personnages féminins principaux. J’amorce donc mon analyse par la présentation de Zadig en tenant compte de la figure de Sheraa en tant que destinataire du texte. Ensuite je passe à l’étude du personnage d’Astarté, qui est confrontée aux autres femmes dans le récit : Sémire, Azora, la femme de l’envieux, Missouf et Almona. 1. Zadig ou la destinée Zadig est publié sous ce

d’abord à l’enchaînement malicieux des récits. ‘’Zadig’’ fut, sous ce titre, réédité en 1748, cette édition contenant une dédicace et deux chapitres nouveaux : ‘’Le souper’’ et ‘’Le pêcheur’’. L'”Épitre dédicatoire de Zadig à la sultane Sheraa par Sadi”, la sultane étant évidemment Mme de Pompadour, était empreinte de persiflage : «Zadig fut écrit d’abord en ancien chaldéen. On le traduisit en arabe pour amuser le célèbre sultan Ouloug-beb. C'était du temps où les Arabes et les Persans commençaient

amusant, moral, philosophique, digne de plaire à ceux mêmes qui haïssent les romans. Ainsi, je l'ai décrié, et j'ai assuré monsieur le cadi-esker que c’est un ouvrage détestable.» Même persiflage dans I'”Épitre dédicatoire de Zadig à la sultane Sheraa par Sadi”, la sultane étant évidemment Mme de Pompadour : «Zadig fut écrit d’abord en ancien chaldéen. On le traduisit en arabe pour amuser le célèbre sultan Ouloug-beb. C'était du temps où les Arabes et les Persans commençaient à écrire des “Mille et

même qui haïssent les romans. Ainsi je l'ai décrié, et j'ai assuré M. le cadilesquier que c'est un ouvrage détestable. [Texte accompagnant toutes les éditions du conte sauf la première et la dernière.] ÉPÎTRE DÉDICATOIRE DE ZADIG À LA SULTANE SHERAA PAR SADI Le 18 du mois de schewal, l'an 837 de l'hégire. Charme des prunelles, tourment des cœurs, lumière de l'esprit, je ne baise point la poussière de vos pieds, parce que vous ne marchez guère, ou que vous marchez sur des tapis d'Iran ou sur des

amusant, moral, philosophique, digne de plaire à ceux mêmes qui haïssent les romans. Ainsi, je l'ai décrié, et j'ai assuré monsieur le cadi-esker que c’est un ouvrage détestable.» Même persiflage dans I'”Épitre dédicatoire de Zadig à la sultane Sheraa par Sadi”, la sultane étant évidemment Mme de Pompadour : «Zadig fut écrit d’abord en ancien chaldéen. On le traduisit en arabe pour amuser le célèbre sultan Ouloug-beb. C'était du temps où les Arabes et les Persans commençaient à écrire des “Mille et

dut d’abord à l’enchaînement malicieux des récits. ‘’Zadig’’ fut, sous ce titre, réédité en 1748, cette édition contenant une dédicace et deux chapitres nouveaux : ‘’Le souper’’ et ‘’Le pêcheur’’. L'”Épitre dédicatoire de Zadig à la sultane Sheraa par Sadi”, la sultane étant évidemment Mme de Pompadour, était empreinte de persiflage : «Zadig fut écrit d’abord en ancien chaldéen. On le traduisit en arabe pour amuser le célèbre sultan Ouloug-beb. C'était du temps où les Arabes et les Persans commençaient

roman connut un vif succs quil dut dabord lenchanement malicieux des rcits. Zadig fut, sous ce titre, rdit en 1748, cette dition contenant une ddicace et deux chapitres nouveaux Le souper et Le pcheur. Lpitre ddicatoire de Zadig la sultane Sheraa par Sadi, la sultane tant videmment Mme de Pompadour, tait empreinte de persiflage Zadig fut crit dabord en ancien chalden. On le traduisit en arabe pour amuser le clbre sultan Ouloug-beb. Ctait du temps o les Arabes et les Persans commenaient crire