Shogun

Lorsqu’en 1603 Ieyasu Tokugawa devient shogun, qui veut dire « général », il devient un puissant chef de guerre et décide de mettre en place son gouvernement militaire à Edo, que l’on appelle aujourd’hui Tokyo. La ville va rapidement devenir la plus puissante d’un Japon alors unifié, grâce aux diverses réformes (sociales, fiscales et politiques) qu’il entreprendra à l’aide de son gouvernement. A sa mort en 1616, son fils Hidetada va continuer sa politique de domination de sa dynastie. En effet il

Japon a dû établir de nouvelles relations commerciales. C’est un commodore américain qui a su faire plier le Japon. Ayant amarré ses navires dans la baie de Tokyo en 1853, le commodore Perry a usé de toutes les stratégies possibles pour convaincre le shogun de rouvrir le Japon au commerce. Représentation de l’arrivée du commodore Perry par un artiste japonais C’est en 1858 que le Japon a signé le premier traité commercial avec les États-Unis. Peu à peu, d’autres accords ont été signés avec

héréditaires. L’ingérence des seigneurs féodaux ainsi que l’envie d’étendre leurs fiefs plongèrent le japon dans une longue période de guerre civil. S’en suivit une période où le shôgun partage le pouvoir avec le l’empereur. Si ce dernier est surtout le garant des traditions, c’est bien le shôgun qui a un pouvoir effectif. Parmi ces shôgun, on peut citer ceux de la dynastie Tokugawa qui renforcèrent considérablement le système de caste jusqu’à régler, de manière différente la conduite des individus (par des

temples. Ces appuis amenèrent les danseurs de sarugaku et de dengaku à mettre l'accent sur la dimension dramatique de leur art. En 1374, KANAMI (1333-1384) et son fils ZEAMI (1363-1443) sont invités à implanté leur troupe de sarugaku à la cour du shogun (équivalent des seigneurs féodaux occidentaux) ASHIKAGA (1358-1408). Ils ont alors pu développer leur art dans le milieu aristocratique et le transformer en nô. Le théâtre devient alors plus raffiné ; la parole devient du chant qui est parfois accompagnée

cela évidemment, l’attrait de l’or de Cipangu. Enfin dernier motif à ne surtout pas négliger : L’Evangélisation de nouveaux peuples. Par exemple, au XVIème siècle, les Portugais interviennent dans les luttes entre clans japonais pour le titre de Shogun. Ils fournissent des armes à feu contre la promesse du Daimyo (ou daïmio) d’être chrétien.(1542 : arrivée des Portugais, 1549 : début de l’Evangélisation) Quelques voyages Doc 1 p.100 Les Portugais recherchent la route vers l’Extrême Orient

les construction de bois, pour leur esthéticité. Mais elle est également lié à la prépondérence des arbres sur l'ile. L'usage du bois s'accrut donc afin de sastisfaire les besoins de la population rurale et urbaine. A partir de 1570, Hideyoshi, le shogun Ieyasu et d'autres daimyos furent construire d'impossants chateaux et temple dans le but de montrer leur puissance par rapport les uns aux autres. Ainsi pour fabriquer les trois plus grand chateaux de Ieyasu, il fallut abattre vingt-cinque kilomètre

produite sur place. en 1603 c'est l'année de la fin d'une guerre civile elle est remporté par un shogun : ieyasu tokugawa. la famille tokugawa va dominer jusqu'en 1868. ce shogun ferme le pays au étrangers, il commence par les espagnol ( 1623 ), puis les portugais, et en 1637_38 il y a un massacre des japonais christianisés système politique : il y a à la tête de l'état un empereur et ont même niveau le Shogun qui possède vraiment le pouvoir, lui est sa famille détiennent 25% des terres. en dessous il

des techniques martiales », shi le « guerrier » et do la « voie ». La première mention de ce mot est faite dans le Koyo Gunkan, écrit aux alentours de 1616 mais l'apparition du bushido est liée à celle de la féodalité japonaise et des premiers shoguns à l'époque de Minamoto no Yoritomo au XIIe siècle. Ce code de vie a emprunté au Bouddhisme l'endurance stoïque, le respect du danger et de la mort; au Shintoïsme, le culte religieux de la Patrie et de l'Empereur ; au Confucianisme, une certaine

force d’inertie tient enlisés dans leurs vices, alors qu’ils se sentent pourtant envahis de l’émotion favorable au bien et à la pratique des vertus indispensables à celui qui veut affronter en triomphateur la mêlée de l’existence.” Voilà pourquoi le Shogun ne parle pas de créer le sentiment qui donne le désir du Bien ; il veut simplement l’éveiller, car il sait à n’en pas douter qu’il habite toutes les âmes. S’il ne se manifeste pas, c’est que les qualités psychiques nécessaires à sa production ne savent

a) L’historique du Kyôgen Le Kyôgen était à la base une forme de théâtre comique appelé sarugaku ou danse du singe, inspirée du théâtre chinois. Il devînt populaire à la période Muromachi (période pendant laquelle le Japon était contrôlé par des shoguns de la famille des Ashikaga) et reçu l’assentiment et le support des classes régnantes. Puis pour des raisons esthétiques, il fût associé au théâtre Nô. Le théâtre Kyôgen regroupe également certaines ballades, les Kouta, qui étaient très appréciées