Shuars

font de ce roman, un ouvrage fortement écologique. Les lieux sont, eux aussi, signes de présence écologique dans le texte. Encore une fois, Le personnage principal se divise en deux. Il est déchiré entre la forêt amazonienne, où se trouvent les Shuars, et El Idilio, ou sont les colons, les chercheur d’or, le maire et les gringos, tous des gens qu’il n’affectionne pas qui font partie de sa culture, puisqu’il est lui-même originalement un colon. Dans la forêt amazonienne, où vivent les indiens, c’est

l'humain, à cause de la présence d' animaux dangereux et difficile d'accès à cause de sa densité. Malgré cela, quelques peuples indigènes vivent dans ces contrées lointaines. L'une d'elle est appelée les Shuars, notamment connus pour leur croyance en la protection apportée par les têtes réduites. Les Shuars sont un peuple amérindien de la Haute Amazone. Les collons espagnols les appelaient Jivaros (Xibaros). Ce terme signifie barbare ou sauvage. D'après wikipedia: « Cinq peuples sont regroupés sous le

du livre 5 Publications en français 6 Distinctions Résumé[modifier | modifier le code] Lorsque les habitants d'El Idilio, petite ville d'Amazonie, découvrent dans une pirogue le cadavre d'un homme blond assassiné, ils accusent les Indiens (les Shuars) de meurtre. Le maire, surnommé « la limace », est l'un des plus virulents accusateurs. Seul Antonio José Bolivar, un vieil homme, déchiffre dans la blessure l'attaque d'un félin et fait l'hypothèse - qui se révélera juste - qu'il s'agit de la vengeance

Étudiant en Lettres, il est condamné à vingt-huit ans de prison par le régime de Pinochet. Il est libéré deux ans et demi plus tard grâce à l’intervention d’Amnesty international. Sepúlveda a également étudié l’impact de la colonisation sur les Indiens Shuars pour l’Unesco et a promu la culture française à l’étranger à travers la Fondation Alliance française. Son œuvre, et notamment Le Vieux qui lisait des romans d’amour et Le Monde du bout du monde, est largement inscrite dans la lignée de son engagement

Étudiant en Lettres, il est condamné à vingt-huit ans de prison par le régime de Pinochet. Il est libéré deux ans et demi plus tard grâce à l’intervention d’Amnesty international. Sepúlveda a également étudié l’impact de la colonisation sur les Indiens Shuars pour l’Unesco et a promu la culture française à l’étranger à travers la Fondation Alliance française. Son œuvre, et notamment Le Vieux qui lisait des romans d’amour et Le Monde du bout du monde, est largement inscrite dans la lignée de son engagement

à El Idilio pour la colonisation de l’Amazonie. 2. Pourquoi quitte-t-il cette ville pendant une période pour aller vivre en forêt avec les Shuars ? (1 point) Il quitte El Idilio parce que sa femme est morte de la malaria et que la culture de la terre est vaine à cause des pluies qui détruisent tout. 3. Pourquoi le vieux a-t-il une dette envers les Shuars ? (1 point) Ils l’ont sauvé d’une morsure de serpent qui l’aurait tué. 4. Comment devra-t-il « rembourser » cette dette ? (1 point) Il doit

aux hommes seulement pour défendre les siens. Résumé : Le Dr Rubincondo Loachamin, dentiste itinérant, soignait les habitants d’El Idilio, un petit village perdu sur les rives du Nangaritza, un bras de l’Amazone, quand l’arrivée d’une pirogue de Shuars (peuple sauvage qui vivait dans la forêt amazonienne) vint troubler la vie paisible du village. Ils ramenaient le corps d’un chasseur blanc assassiné et furent immédiatement accusés du meurtre par le maire, surnommé « la Limace » (parce qu’il transpirait

vivre. Les Shuars sont d'ailleurs un très bon exemple attestant le côté environnemental du livre. En effet, ce peuple amérindien habitant les forêts de la Haute Amazone respecte énormément les autres espèces vivantes, qu'elles soient végétales ou animales. Lorsque Luis Sepúlveda du livre écrit: «Les Shuars ne chassent pas le jaguar. La viande n'est pas comestible et la peau d'une seule bête suffit pour faire des parures qui durent des générations.», il illustre bien le respect que les Shuars éprouvent

Le maire surnommé « la limace » qui ne connait pas grand-chose de la forêt est l’un des principaux accusateurs des Shuars, habitants des profondeurs amazoniennes. Seul le vieil Antonio José Bolivar remarque la marque d’un félin dans la blessure. Antonio José Bolivar, c’est le fameux vieux qui lisait des romans d’amour. Après la mort de sa femme il partit vivre avec ses amis les Shuars. C’est grâce à eux qu’il apprit à connaître la forêt mieux que lui-même. « Il ne faisait pas partit d’eux mais il

Coutume TEEO La coutume tsantzas ou plus communément appelé la coutume des têtes réduites est un rituel ou plutôt des objets de rituels réalisés par certaines tribus d'Amérique du sud comme plus particulièrement les Shuars aussi appelés par les conquistadors et explorateurs espagnols "Jivaros" ( se prononçant Xivaros) signifiant "sauvage" introduisant ce terme pour qualifier cette tribu qui est aujourd'hui la dernière à pratiquer cette coutume restant comme l'une des coutumes les plus surprenantes