Shuars

jeune homme va voyager et sillonner l'Amérique du Sud. Il séjourne en Équateur, où il fonde une troupe de théâtre dans le cadre de l'Alliance française; puis au Pérou, en Colombie et au Nicaragua. En 1978, il partage pendant un an la vie des indiens shuars dans le cadre d'un programme d'étude pour l'UNESCO afin d'étudier l'impact de la colonisation sur ce peuple. Au Nicaragua, il s'engage dans la lutte armée aux côtés des sandinistes (il intègre en 1979 la Brigade internationale Simon Bolivar). Après

situation de pauvreté, contre 45% au niveau national (Inec, 2010). Enfin, cette population se compose de blancs (10%), métisses (60%) et indigènes (30%). Ces derniers sont répartis en une dizaine de nationalités, parmi lesquelles les Kichwas, les Shuars et les Huaoranis sont les plus nombreux. La grande majorité des réserves pétrolières se situe au nord de l’Oriente, dans les provinces de Sucumbíos et Orellana. Avec des réserves s’élevant à 4,63 milliards de barils de réserves prouvées, l’Équateur

l'uniformisation et le manque de générosité créative ».(extrait d'un article de Raphaëlle Rerolle, Le Monde, 2 janvier 1998). Il séjourne dans divers pays d'Amérique du Sud (Équateur, Pérou, Colombie, Nicaragua). En 1978, il passe un an chez les Indiens Shuars dans le cadre d'un programme de recherche de l'UNESCO. Il part ensuite pour Europe et s'installe en 1982 à Hambourg où il passe 14 ans.« Les raisons pour lesquelles Luis Sepúlveda, est venu se fixer à Hambourg sont plutôt diverses. Parmi elles

le temps d’une lecture. Il est également permit de découvrir des cultures et des habitants de certains pays, comme dans Le vieux qui lisait des romans d’amour de Luis Sépulveda, où tout au long de ce roman, l’Amazonie nous est décrite avec ses Shuars est leurs impressionnantes cultures. On peut également être séduit par un personnage, d’après les descriptions le trouver attirant , ou par ses pensés le trouver intéressant, ou au contraire avoir de la pitié envers lui. Il est dans ce cas possible

Rasatafari, le nom JAH Shua est utilisé au lieu du nom de Jésus. C'est parce que le nom de Jésus a été utilisé pour endosser et de faire respecter l'esclavage dans les Caraïbes. La tribu des Douze de la foi d'Israël est fondée sur l'illumination individuelle. Ils croient aussi dans l'Ancien Testament (Torah) et le Nouveau Testament. Ils ne croient pas que le roi Haile Selassie I est le dernier roi et Dieu. Toutefois, on croit que le roi Haile Selassie I est une manifestation de JAH Shua. Il n'existe pas

l’écologie, la réalité de notre société qui engloutit la nature petit à petit est amenée dans le roman de Luìs Sepulveda, Le vieil homme qui lisait des romans d’amour, où l’on voit une société blanche colonisatrice accusant à tort et à travers les Shuars (tribu vivant dans la forêt Amazonienne, vouant un respect extrême à la nature) pour des meurtres causé par la cruauté des gringos sur une bête. Une réflexion peut aussi être amené différemment sur la société, d’une manière

leur propre style vestimentaire, leur propre coutume. Toutes les personnes parlant le Jivaros se considèrent comme shuar « prototype d’humanité que sont les jivaros et c’est par une convention que le terme en est venu à désigner la seule tribu des shuars. » Pour les Achuar, les héros de la mythologie vivent toujours auprès des hommes, en forêt, sous les eaux, dans les jardins… On apprend qu’autrefois, un peuple nommé « les ajaimp » mangeait les Achuar « cannibalisme » comme le montre Descola dans

est fondée grâce à nos connaissances, nos intuitions typiquement humaines. Elle aussi comme un diamant brut et c’est la société qui le taille au fur et à mesure du temps. Car nous européens  ne pouvons pas avoir le même type de conscience que les Shuars d’Amazonie. Cependant, je prône l’idée d’une conscience individuelle de départ. Certes la société nous aide grandement à forger nos principes et nos mœurs, mais notre conscience vient de nous et seulement de nous. La conscience n’est qu’une infime

découverte de l’inconnu, la sagesse, l’évolution du garçon et le savoir. Par ailleurs, les Contes du monde est un recueil de soixante contes de tous les continents, retrouvés et remaniés par la romancière brésilienne, Ana María Shua. Peuplé de personnages inquiétants, drôles ou magiques, de créatures étranges et exotiques, chaque récit tente de lever le voile sur les origines présumées du monde. Cependant, comment le savoir est-il représenté et utilisé dans le conte de Jean-Yves

que nous appelons Jésus. Jean, le prénom, vient donc de JEHO sous la forme « JEHO HANNAN » en hébreu, JOKANNAN en araméen, que l’on peut traduire littéralement par « celui à qui, celui qui fait naître, a donné la lumière » JEHO HANNAN, Jean. JEHO SHUA, Jésus. JEHO VAV, Dieu. De nombreux mythes antiques ont emprunté cette racine. Ainsi on trouve EANUS chez les phéniciens ou bien encore, chez les babyloniens OANNES sorti des eaux par trois fois pour enseigner aux hommes. C’est le « dieu du commencement